Court métrage d'animation sur une Inuit nommée Ulayok Kaviok. Cette femme apprécie tout le confort apporté par les Blancs. Mais dès qu'arrive le printemps, elle attelle ses chiens et retourne planter sa tente dans la toundra pour y recueillir des œufs d'oies sauvages ou braquer son fusil sur un phoque dont la peau lui fournira la matière première pour la confection des Kamik, ces bottes magnifiques qui ont assuré la survie de générations de chasseurs. Kamik, un film étonnant sur la rencontre de deux modes de vie en apparence diamétralement opposés.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Documentaire personnel de l'artiste Élisapie Isaac. En pleine immensité boréale, au bord de la mer Arctique, un village : Kangirsujuaq, au Nunavik. Ici, traditions et modernité se croisent quotidiennement. Les rires des enfants habitent joyeusement les rues, les jeunes carburent à la culture « du Sud », alors que les vieux tentent encore de se faire à leur étrange sédentarité. Dans cette toundra à couper le souffle, la jeune cinéaste originaire de Salluit, maintenant installée à Montréal, décide de plonger au cœur de ses origines.
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Dans ce court métrage documentaire, Tuktu accompagne les pêcheurs qui se rendent en expédition à un ancien barrage fait de rochers. Il voit son père et d'autres chasseurs harponner les poissons en grande quantité. Il observe comment son père et son oncle s'y prennent pour faire du feu avec la baguette à archet des Inuit.
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Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Le 14e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
Court métrage documentaire tourné au cap Dorset, en Terre de Baffin, parmi les Inuits de Kingait et de Kangiyak. Selon ces Inuits, chaque pierre que recueillent les sculpteurs renferme un secret et une histoire. La sculpture inuite, découverte dans les années cinquante, fut une véritable révélation. Elle est l'expression simple et poétique d'une culture bien particulière. Mis en nomination aux Oscars en 1958.
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Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Documentaire sur les Inuits de la terre de Baffin, pendant le court été arctique, qu'ils mettent à profit pour faire leurs provisions en vue du long hiver à venir. Dans la région de Pont Inlet dans l'île d'Alukseevee, les Inuits Tununermiut chassent le phoque ainsi que le narval et le béluga. Nous rencontrons la famille d'un chasseur, dont chaque membre a un rôle à jouer afin de survivre dans cette contrée au climat si rude.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Long métrage documentaire sur les relations de couple entre Blancs et Autochtones. Tout au long d'un voyage du nord au sud du Québec, nous entrons dans l'univers de femmes et d'hommes qui ont lié leur vie à celle d'Amérindiens ou d'Inuit. La sensibilité de leurs témoignages nous permet de partager leurs émotions, leurs découvertes et leurs questionnements, tandis que la lucidité de leur regard sur leurs relations avec les autres et le territoire atteste la possible rencontre.
Série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels. Andrew Qappik est un graveur inuit de renommée mondiale vivant à Pangnirtung, au Nunavut. D'abord inspiré par les images des bandes dessinées qu'il lisait quand il était enfant, Andrew puise aujourd'hui ses sujets dans les histoires, les traditions et les événements quotidiens de son univers.
Dans Moi, je fais de l'art comme Andrew Qappik, il fascine les élèves en créant sous leurs yeux une gravure en relief en utilisant une pierre à savon comme support. Puis, c'est au tour des enfants. Explorant l'imagerie symbolique d'Andrew, ils créent dans la mousse de polystyrène une gravure en relief représentant leur autoportrait.
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Dans ce court métrage documentaire, Georges Annanack, premier président de la Coopérative esquimaude de Port-Nouveau-Québec, raconte un chapitre de sa vie et de celle des Inuit de l'Ungava. Au début de 1959, les quelque 150 Inuit de Port-Nouveau-Québec voulaient quitter leur petite patrie parce qu'ils mouraient de faim, le caribou ayant disparu de la région. Une équipe du gouvernement se rendit donc sur place, rencontra les habitants et chercha avec eux de nouvelles façons de subsister en ce coin de l'Arctique qu'ils aimaient tant. On parla fabrication d'embarcations légères, pêche à l'omble, et fondation d'une coopérative, tandis que les Inuit s'initiaient avec intérêt au domaine nouveau du monde des affaires...
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Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Shaman est le fruit de la première collaboration entre l’Office national du film du Canada et l’artiste inuite du Labrador Echo Henoche, qui signe ici sa première œuvre en tant qu’animatrice. Le court métrage donne vie à la légende préférée d’Echo Henoche, celle d’un ours polaire féroce transformé en pierre par un shaman, que racontait son grand-père dans son village natal de Nain, au Nunatsiavut, sur la côte nord du Labrador. Dessiné et peint à la main dans un style unique, Shaman communique le regard de l’artiste sur cette légende inuite du Labrador
Documentaire sur trois villages inuits du Québec, qui luttent pour la survie de leur culture. Voulant demeurer maître de leur destinée, leurs habitants défient la société du développement à outrance, en contestant la convention de la Baie-James qui, selon eux « ouvre la porte du pays inuit aux hommes blancs ». Le film nous présente quelques-uns de ces Inuits dissidents dans leur vie de tous les jours, au gré de scènes de chasse, de pêche et de la vie familiale.
Le cinéaste inuk Jobie Weetaluktuk combine séquences d’archives et nouvelles images pour mettre en lumière différentes formes d’appropriation de sa culture au cours de l’histoire.
Âge 13 à 11 ans
Domaine des arts - Arts plastiques
Géographie - Territoire: autochtone
Science - Science de l'environnement
Études autochtones - Identité/Société
Les élèves font une recherche sur la culture inuit et choisissent un art traditionnel. Ils rédigent ensuite un rapport ou font une présentation et mettent en parallèle les méthodes traditionnelles et l’influence des technologies venues du Sud. Ils font une recherche sur un groupe autochtone vivant dans leur communauté ou à proximité et font un rapport sur un art traditionnel. Ils recherchent des communautés pratiquant l’art inuit (p. ex., Cape Dorset), choisissent un artiste et font connaître son travail à la classe. Les élèves dressent une carte des communautés inuits au Canada et font rapport sur leur environnement, sur leur usage de la terre pour survivre et sur leurs coutumes traditionnelles.