Ce court métrage documentaire présente un Inuit de l'île de Baffin qui pratique plusieurs formes d'arts et d'artisanat. Construire des kayaks, décorer des vêtements faits de peaux de bêtes, fabriquer des harpons et sculpter l'ivoire font partie de sa vie, à l'instar des récits mythiques, du tambour, du chant et de la danse.
Pour avoir plus d’informations sur ce film, visitez le Blogue de l'ONF.
Documentaire personnel de l'artiste Élisapie Isaac. En pleine immensité boréale, au bord de la mer Arctique, un village : Kangirsujuaq, au Nunavik. Ici, traditions et modernité se croisent quotidiennement. Les rires des enfants habitent joyeusement les rues, les jeunes carburent à la culture « du Sud », alors que les vieux tentent encore de se faire à leur étrange sédentarité. Dans cette toundra à couper le souffle, la jeune cinéaste originaire de Salluit, maintenant installée à Montréal, décide de plonger au cœur de ses origines.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Le 14e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
Court métrage documentaire tourné au cap Dorset, en Terre de Baffin, parmi les Inuits de Kingait et de Kangiyak. Selon ces Inuits, chaque pierre que recueillent les sculpteurs renferme un secret et une histoire. La sculpture inuite, découverte dans les années cinquante, fut une véritable révélation. Elle est l'expression simple et poétique d'une culture bien particulière. Mis en nomination aux Oscars en 1958.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Court métrage d'animation sur une Inuit nommée Ulayok Kaviok. Cette femme apprécie tout le confort apporté par les Blancs. Mais dès qu'arrive le printemps, elle attelle ses chiens et retourne planter sa tente dans la toundra pour y recueillir des œufs d'oies sauvages ou braquer son fusil sur un phoque dont la peau lui fournira la matière première pour la confection des Kamik, ces bottes magnifiques qui ont assuré la survie de générations de chasseurs. Kamik, un film étonnant sur la rencontre de deux modes de vie en apparence diamétralement opposés.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Documentaire sur les Inuits de la terre de Baffin, pendant le court été arctique, qu'ils mettent à profit pour faire leurs provisions en vue du long hiver à venir. Dans la région de Pont Inlet dans l'île d'Alukseevee, les Inuits Tununermiut chassent le phoque ainsi que le narval et le béluga. Nous rencontrons la famille d'un chasseur, dont chaque membre a un rôle à jouer afin de survivre dans cette contrée au climat si rude.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Documentaire sur trois villages inuits du Québec, qui luttent pour la survie de leur culture. Voulant demeurer maître de leur destinée, leurs habitants défient la société du développement à outrance, en contestant la convention de la Baie-James qui, selon eux « ouvre la porte du pays inuit aux hommes blancs ». Le film nous présente quelques-uns de ces Inuits dissidents dans leur vie de tous les jours, au gré de scènes de chasse, de pêche et de la vie familiale.
Court métrage d’animation mettant en scène un hibou et un corbeau. Dans un igloo construit selon les normes en usage chez les Inuit, un hibou et un corbeau tracent, avec de petits os de phoque, le contour d'un igloo miniature, puis passent à un autre divertissement qui consiste à se peindre le plumage avec de la suie jusqu'à ce que le hibou perde patience... Les marionnettes et les décors ont été fabriqués selon des dessins ou des modèles authentiques. La bande sonore, où alternent conversation et chants inuits, crée l'ambiance nécessaire au déroulement de la légende.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels. Andrew Qappik est un graveur inuit de renommée mondiale vivant à Pangnirtung, au Nunavut. D'abord inspiré par les images des bandes dessinées qu'il lisait quand il était enfant, Andrew puise aujourd'hui ses sujets dans les histoires, les traditions et les événements quotidiens de son univers.
Dans Moi, je fais de l'art comme Andrew Qappik, il fascine les élèves en créant sous leurs yeux une gravure en relief en utilisant une pierre à savon comme support. Puis, c'est au tour des enfants. Explorant l'imagerie symbolique d'Andrew, ils créent dans la mousse de polystyrène une gravure en relief représentant leur autoportrait.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
« Drôle? Qu’est-ce que les Blancs, que les Inuits appellent Qallunaat, ont de si drôle? Eh bien, parmi les comportements étranges qui les caractérisent, les Qallunaat échangent des inepties en guise de salutations, répriment leurs fonctions physiologiques, se plaignent constamment du froid et semblent avoir une propension à vouloir dominer le monde. Pourquoi les blancs sont drôles nous donne une belle leçon d’humilité en nous faisant ressentir ce que c’est que d’être sous la loupe de l’homme blanc. Rafraîchissant et original, ce documentaire possède la rare qualité d’éduquer avec intelligence.
Documentaire sur les débats entourant le complexe hydroélectrique de La Grande Rivière, vingt ans après la signature de la Convention de la baie James et du Nord québécois. Tandis que les uns célèbrent les succès du génie québécois, les autres crient à l'apocalypse et au génocide. Une lutte hautement médiatisée qui a pour enjeu le contrôle de la Radissonie.
Dans ce court métrage documentaire, Georges Annanack, premier président de la Coopérative esquimaude de Port-Nouveau-Québec, raconte un chapitre de sa vie et de celle des Inuit de l'Ungava. Au début de 1959, les quelque 150 Inuit de Port-Nouveau-Québec voulaient quitter leur petite patrie parce qu'ils mouraient de faim, le caribou ayant disparu de la région. Une équipe du gouvernement se rendit donc sur place, rencontra les habitants et chercha avec eux de nouvelles façons de subsister en ce coin de l'Arctique qu'ils aimaient tant. On parla fabrication d'embarcations légères, pêche à l'omble, et fondation d'une coopérative, tandis que les Inuit s'initiaient avec intérêt au domaine nouveau du monde des affaires...
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Âge 15 à 17 ans
Médias - Films documentaires
Sciences humaines - Les communautés au Canada/Dans le monde
Études autochtones - Les arts
Les élèves analysent les effets, sur les spectateurs, des attitudes et des croyances paternalistes qui se manifestent dans la narration écrite non esquimaude par rapport au savoir-faire et à l’ingéniosité que l’on retrouve dans les illustrations de l’artisanat esquimau. Les élèves se penchent sur l’importance de ce savoir-faire pour la survie, la cohésion et l’organisation de la communauté en le mettant en perspective avec la signification et l’utilisation du terme « artisanat ».