Director Mina Shum makes her foray into feature documentary by reopening the file on a watershed moment in Canadian race relations – the infamous Sir George Williams Riot. Over four decades after a group of Caribbean students accused their professor of racism, triggering an explosive student uprising, Shum locates the protagonists and listens as they set the record straight, trying to make peace with the past.
Long métrage documentaire de Mina Shum sur un tournant dans les relations raciales canadiennes et l’un des épisodes les plus contestés de l’histoire de la nation. À Montréal, un groupe d’étudiants issus des Caraïbes soupçonnent leur professeur de racisme et occupent une section de l’école en guise de protestation. Des décennies plus tard, les acteurs principaux du mouvement de contestation se remémorent les événements, cherchant à comprendre ce qui s’est passé et à mesurer le progrès réalisé depuis.
Œuvre cinématographique aussi sensible qu’hypnotique, La fin des terres sonde avec finesse et lucidité la conscience politique et identitaire de notre époque, du point de vue de millénariaux.
Après avoir participé aux soulèvements populaires contre Bachar Al-Assad, Adnan Al-Mahamid a dû fuir la Syrie avec Basmah, sa femme, et leurs quatre enfants. Établie à Montréal depuis plusieurs années, cette famille a ouvert ses portes au réalisateur Pascal Sanchez. S’ils ont pu s’acclimater relativement rapidement au cours paisible de la vie montréalaise, Adnan et Basmah craignent toujours pour les proches dont ils sont sans nouvelles. Malgré les milliers de kilomètres qui les séparent de la guerre, celle-ci ne les quitte pas. Elle surgit par bouffées au détour d’une conversation, d’un appel par Skype ou d’un fil Facebook. Loin de Bachar raconte le quotidien émouvant d’une famille aux prises avec les tourments d’un conflit dont on ne voit malheureusement pas la fin.
Le long métrage documentaire Advienne que pourra de Julia Kwan se penche sur un épisode déterminant de la vie du quartier chinois de Vancouver : l’arrivée d’immeubles de copropriété et d’entreprises non chinoises. Au fil d’une année, la caméra accompagne des gens du quartier, dont une marchande de journaux ambulante de 90 ans et le propriétaire de deuxième génération d’une boutique de thé, qui évoluent dans cette communauté en mutation.
Court métrage documentaire sur le boulevard Saint-Laurent, à Montréal, une rue qui demeure, pour nombre d'immigrants, l'endroit où s'est amorcée leur vie nouvelle. Dans ce film, le cinéaste revisite la rue qui l'a accueilli à l'âge de huit ans lorsqu’il arriva au Canada avec ses parents; il la décrit telle qu'elle est aujourd'hui et telle qu'il se la rappelle : un port d'attache des groupes ethniques les plus variés.
Les mornes terres intérieures du Labrador abritent depuis peu un nombre croissant d’ouvriers philippins ayant franchi des milliers de kilomètres dans l’espoir de trouver à Happy Valley-Goose Bay l’emploi qui procurera à leur famille bonheur et prospérité. Au rythme du Labrador accompagne quelques-uns de ces hommes et de ces femmes qui s’efforcent de se tailler une place au Labrador malgré le prix à payer pour vivre loin des leurs.
Documentaire explorant la tradition pacifiste mennonite, vieille de 400 ans, à travers le déchirement moral d’une population du sud du Manitoba, lorsque le Canada prend part à la Seconde Guerre mondiale. L’auteur mennonite Rudy Wiebe nous livre des témoignages des objecteurs de conscience, des anciens combattants et d’une nouvelle génération de mennonites canadiens.
L'agence Voice Job propose des alternatives à la recherche d'emploi traditionnelle.
Ce documentaire est issu du projet La tête de l'emploi, qui vise à mettre fin au racisme direct et à la discrimination systémique dans les milieux de travail au Canada. Il cherche également à suggérer de nouvelles stratégie pour lutter contre le racisme auquel sont confrontés les minorités visibles et les autochtones.
Long métrage documentaire tourné dans les coulisses de l’action à l’Université de Moncton (Nouveau-Brunswick), théâtre du réveil acadien de la fin des années 1960. Dans une province où 40 pour cent des gens s'expriment en français, le film témoigne de la détermination des étudiants, qui s'étendra à une majorité d'Acadiens, après des siècles de défaitisme et de résignation.
Dans un style cinéma-vérité, ce long métrage documentaire, conçu à partir de plus de 250 heures de tournage, jette un regard pénétrant sur les réactions qui ont entouré le référendum sur la souveraineté qui a eu lieu au Québec en 1995. Cédant la parole au citoyen ordinaire comme au personnage public, le film nous livre leurs espoirs et leurs craintes du futur durant les journées tendues qui ont mené au vote. Il offre le portrait fascinant et nuancé d'une société parvenue à un tournant de son histoire.
1994 à 1997. Réfugiés respectivement du Guatemala et de la Bosnie, les Élias et les Petrov s'installent à Sherbrooke. Pour les parents comme pour les enfants, une nouvelle vie commence. Une vie marquée par la nostalgie d'un passé révolu et l'incertitude d'un avenir encore inconnu. Avant de chercher du travail, il faut apprendre le français et se familiariser avec la culture du pays d'accueil. Alors que le Québec vit à l'heure du référendum de 1995 et se questionne sur sa propre destinée, ceux qui ont fui leur pays d'origine déchiré par la dictature ou la guerre doivent apprivoiser une réalité qui ravive d'anciennes blessures. Face à toute cette instabilité, les Élias et les Petrov surmonteront-ils leurs craintes ou cèderont-ils à l'appel d'un nouveau départ?
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