A personal film in which Mariana Niquay-Ottawa tries to reconnect with her mother.
Since 2004, the travelling studios of Wapikoni Mobile have enabled Quebec First Nations youth to express themselves through videos and music. This short film was made with the guidance of these travelling studios
and is part of the 2008 Selection - Wapikoni Mobile
Film personnel et intimiste dans lequel Mariana Niquay-Ottawa tente de renouer
les liens avec sa mère.
Depuis 2004, le Wapikoni mobile donne aux jeunes des Premières nations du Québec l'occasion de s'exprimer par le biais de réalisations vidéo et musicales. Cet essai a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie de la - Sélection 2008 - Wapikoni mobile.
Le 52e film d’Alanis Obomsawin raconte comment la vie de Jordan River Anderson a déclenché un combat pour que les enfants inuits et des Premières Nations bénéficient de soins de santé, de services sociaux et de services d’enseignement public égaux à ceux du reste de la population canadienne.
Aussi disponible dans le coffret DVD Alanis Obomsawin : un héritage
Dans son premier long métrage documentaire, sorti en 1977, Alanis Obomsawin rend hommage à la place centrale des femmes et des mères dans les cultures amérindiennes. Album de témoignages féminins autochtones, le film dépeint ces cultures matriarcales fortes, auxquelles on a tenté d'imposer pendant des siècles des habitudes et coutumes étrangères. Suivant le cycle de la vie des femmes autochtones de la naissance à la vieillesse en passant par l'enfance, la puberté, l'âge adulte et la maturité, il montre comment ces femmes se sont battues pour retrouver un sentiment d'égalité, inculquer la fierté de leur culture à leurs enfants et transmettre leurs histoires aux nouvelles générations.
Aussi disponible dans le coffret DVD Alanis Obomsawin : un héritage
Les droits des enfants des Premières Nations sont au premier rang dans ce documentaire monumental. Dans la foulée d’un procès historique découlant d’une plainte déposée contre le gouvernement fédéral par l’Assemblée des Premières nations et la Société de soutien à l’enfance et à la famille des Premières Nations du Canada, Alanis Obomsawin expose les injustices subies de génération en génération par les enfants des Premières Nations vivant dans des réserves et leur famille. Livrant des témoignages passionnés avec une conviction inébranlable, des intervenants de première ligne des services à l’enfance et des experts, dont Cindy Blackstock, s’engagent dans une bataille juridique qui s’étirera sur une dizaine d’années pour que ces enfants reçoivent le même niveau de soins que les autres enfants canadiens. Cette poursuite contre le Canada rappelle brutalement les disparités qui persistent et l’urgence de rendre justice aux Premières Nations.
Aussi disponible dans le coffret DVD Alanis Obomsawin : un héritage
Tout comme le Petit Prince de St-Exupéry, un jeune Algonquin découvre un autre monde, celui des Blancs, avec sa télé, son McDo, son école. Partagé entre sa communauté Kitcisakik où il vit l?été et la ville où il passe l?hiver, il ressent un profond sentiment d?abandon. Adolescent, il expérimente l?errance, l?univers de la drogue, l?envie d?en finir jusqu?au jour où une simple question de son enfant le ramène à la réalité. Raconter des histoires à un petit, n?est-ce pas l?essentiel de la vie?
Depuis 2004, Wapikoni mobile donne aux jeunes Autochtones l?occasion de s?exprimer au moyen de réalisations vidéo et musicales. Ce film d?animation a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie du Dvd - Sélection 2007 - Wapikoni mobile.
Richard Cardinal s’est suicidé à l'âge de 17 ans, après avoir passé la plus grande partie de sa vie dans de nombreux foyers d'accueil et refuges un peu partout en Alberta. Dans ce court documentaire, la réalisatrice abénaquise Alanis Obomsawin tisse, à partir d'extraits du journal intime du jeune homme, un puissant hommage à sa courte vie. Sorti en 1984 – des décennies avant la Commission de vérité et de réconciliation –, le film a révélé la négligence systémique et les mauvais traitements dont les enfants autochtones sont victimes dans le système canadien de protection de l'enfance. Lauréat du prix du meilleur documentaire de l'American Indian Film Festival en 1986, le film a été projeté au Museum of Modern Art de New York en 2008 dans le cadre d'une rétrospective consacrée à Alanis Obomsawin et continue d'être diffusé dans le monde entier.
À un moment charnière de sa vie, celui de la naissance de son premier bébé, Sybèle revient vivre à Pikogan, la réserve où elle a passé son enfance. Elle veut faire connaître à son fils les traditions algonquines, mais craint que ce milieu où règne la consommation d?alcool et de drogues ne soit nocif pour elle-même et pour son enfant. Pour lui offrir une vie meilleure, devra-t-elle s?éloigner à nouveau? Une réflexion lucide sur la situation des jeunes mères algonquines.
Depuis 2004, Wapikoni mobile donne aux jeunes Autochtones l?occasion de s?exprimer au moyen de réalisations vidéo et musicales. Ce documentaire a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie du Dvd - Sélection 2007 - Wapikoni mobile.
Court métrage issu du Wapikoni mobile : le réalisateur Kevin Papatie réalise ce film très sobre sur la perte de la langue algonquine. Ce film sera choisi par la productrice Denise Robert et gonflé en 35 pour accompagner L’âge des ténèbres de Denys Arcand dans 85 salles du Québec.
Dans ce court métrage, une jeune femme aux origines métissées devant remplir un formulaire d'équité en matière d'emploi se trouve confrontée à un dilemme. Que répondre à l'énoncé « Origine ethnique – Cocher l'une de ces réponses »?
À la réserve mohawk de Kahnawake, située en banlieue de Montréal, au Canada, deux règles tacites sont profondément inculquées à tous les membres de la communauté : ne pas épouser une personne de race blanche et ne pas avoir d'enfant avec une personne de race blanche. Les conséquences possibles de la transgression de ces règles sont très claires - perte d'appartenance à la bande pour le parent et son enfant - et extrêmement dramatiques pour ceux et celles qui les subissent. Enfreindre ces règles, c'est aussi risquer de se faire accoler l'étiquette de traître à la nation mohawk pour avoir dilué la «pureté» de la lignée.
Dans son long métrage documentaire Hi-Ho Mistahey!, Alanis Obomsawin raconte l’histoire du «Rêve de Shannen», une campagne nationale pour que les enfants des Premières Nations aient accès à une éducation équitable et à des écoles sécuritaires et adéquates. Elle rassemble les témoignages de personnes ayant porté la cause de la jeune Shannen Koostachin, emportée dans un accident de voiture en 2010, avec succès d’Attawapiskat jusqu’aux Nations Unies de Genève.
Aussi disponible dans le coffret DVD Alanis Obomsawin : un héritage