Court métrage issu du Wapikoni mobile : le réalisateur Kevin Papatie réalise ce film très sobre sur la perte de la langue algonquine. Ce film sera choisi par la productrice Denise Robert et gonflé en 35 pour accompagner L’âge des ténèbres de Denys Arcand dans 85 salles du Québec.
À cinq-six ans, les enfants de la communauté de Wemotaci ont été enlevés à leurs familles et envoyés dans un pensionnat de Blancs. Ce déracinement a eu des conséquences désastreuses : perte d'identité, abus d’alcool et de drogues, violence familiale. Aujourd'hui adultes, ils tentent de se libérer en retrouvant leur lien d’appartenance au peuple atikamekw et d'offrir leur guérison en cadeau aux générations futures. Un film émouvant sur un drame trop lourd à porter pour des enfants.
À Betsiamites, tout le monde dit les chiffres en français plutôt qu'en innu. Un film sympathique qui vous aidera à comprendre pourquoi! Depuis 2004, le Wapikoni mobile donne aux jeunes des Premières nations du Québec l’occasion de s’exprimer par le biais de réalisations vidéo et musicales
Pour offrir une meilleure vie à ses enfants, Ticky est retourné à l'école en 2001. Aujourd'hui, après avoir réussi son secondaire, il entreprend fièrement une nouvelle étape, celle du cégep. Ses amis algonquins de la communauté Kitcisakik l'encouragent, mais il souhaiterait qu'à leur tour ils fassent la même démarche et se donnent les moyens de changer leur existence. Une belle histoire de courage, de motivation, de maturité.
Depuis 2004, Wapikoni mobile donne aux jeunes Autochtones l'occasion de s'exprimer au moyen de réalisations vidéo et musicales. Ce documentaire a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie du Dvd - Sélection 2007 - Wapikoni mobile.
À un moment charnière de sa vie, celui de la naissance de son premier bébé, Sybèle revient vivre à Pikogan, la réserve où elle a passé son enfance. Elle veut faire connaître à son fils les traditions algonquines, mais craint que ce milieu où règne la consommation d?alcool et de drogues ne soit nocif pour elle-même et pour son enfant. Pour lui offrir une vie meilleure, devra-t-elle s?éloigner à nouveau? Une réflexion lucide sur la situation des jeunes mères algonquines.
Depuis 2004, Wapikoni mobile donne aux jeunes Autochtones l?occasion de s?exprimer au moyen de réalisations vidéo et musicales. Ce documentaire a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie du Dvd - Sélection 2007 - Wapikoni mobile.
Sous forme de carte postale vidéo, Evelyne Papatie raconte son voyage dans les forêts du Mato Grosso au Brésil. À travers les rites et coutumes de ses frères, les Ikepengs, Evelyne retrouve la fierté d'être une anishnabe.
Depuis 2004, le Wapikoni mobile donne aux jeunes des Premières nations du Québec l’occasion de s’exprimer par le biais de réalisations vidéo et musicales. Cet essai a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie du DVD - Sélection 2008 - Wapikoni mobile.
Réalisé dans le cadre de la série Souvenir, ce court métrage de Kent Monkman utilise des archives de l’ONF pour établir des parallèles entre l’anéantissement du bison et les ravages provoqués par le système des pensionnats indiens. Une critique impitoyable de la période coloniale du Canada et de la douleur et de la perte infligées aux peuples autochtones.
Ce court métrage documentaire nous amène au coeur d'un véritable pow-wow traditionnel. En suivant le parcours de Tony Chachai, jeune Autochtone en quête d’identité, la cinéaste originaire de Manawan se penche sur la culture, le passé et la transmission du savoir et des connaissances au sein des membres d’une communauté atikamekw. Mu par le désir de renouer avec sa famille et ses racines, Tony Chachai livre un témoignage touchant sur le chemin qui l’a ramené auprès des siens. À l’aube de devenir père, il prend conscience de la richesse de cet héritage et célèbre ce passé en dansant dans un pow-wow aux côtés de son cousin Ronny Chachai.
Ce film a été réalisé par Thérèse Ottawa, cinéaste à l'occasion du concours Tremplin NIKANIK, destiné aux cinéastes francophones des Premières Nations du Québec.
Ce court métrage de fiction raconte l'histoire d'une relation homosexuelle tumultueuse, envahissante et dévastatrice. Quand l’une se suicide, l’autre reste aux prises avec le questionnement, la honte, le cauchemar. Peur de l’appel du vide, peur du monde, peur de poser le même geste fatal. Une détresse palpable, un monologue intérieur bouleversant. Cette œuvre poétique a été tournée chez les Atikamekws dans la communauté de Manawan.
Depuis 2004, Wapikoni mobile donne aux jeunes Autochtones l’occasion de s’exprimer au moyen de réalisations vidéo et musicales. Ce film a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie du coffret DVD - Sélection 2007 - Wapikoni mobile.
Documentaire musical signé Marie Clements, Droit devant rattache un moment charnière de l’histoire des droits civils au Canada — les origines du nationalisme autochtone vers 1930 — au souffle puissant qui anime aujourd’hui le militantisme des Premières Nations.
Un très beau clip où le groupe Uashtushkuau chante, en innu, avec talent et émotion, l'importance de préserver les langues autochtones.
Réalisé dans le cadre de la série « Souvenir », le court métrage Etlinisigu’niet (Vidés de leur sang) de Jeff Barnaby pulvérise ce qui subsistait du mythe d’un Canada juste et équitable. Le message du réalisateur est clair : nous sommes toujours là. Les efforts en vue de « se débarrasser du problème indien » ont échoué.
Âge 15 à 16 ans
Histoire et éducation à la citoyenneté - Libertés et droits civils
Éthique et culture religieuse - Valeurs morales
L’enseignant demande aux élèves de lire la déclaration de la Chambre des communes (2008) présentant des excuses aux anciens élèves de pensionnats indiens et commenter; de compléter un tableau énonçant les changements survenus dans la culture algonquine au fil des années : langue, religion, territoire, etc.; d’établir un parallèle avec d’autres peuples assimilés; d’étudier les grandes lignes de la Déclaration sur les droits des peuples autochtones; de discuter des droits non respectés par le Canada vis-à-vis des Algonquins.