The NFB and its community partner, the Ottawa-Carleton District School Board, present a Virtual Classroom with acclaimed documentary filmmaker and social activist Alanis Obomsawin and community activists Gabrielle Fayant and Brock Lewis. Recorded live at the OCDSB’s Aboriginal Learning Center, and moderated by CBC journalist and author Waubgeshig Rice, the event focusses on the topic of social justice in Indigenous communities and the positive shifts brought about by Indigenous youth. The panellists come together to talk about the hot-button social issues that young people in Indigenous communities are facing, with an emphasis on the various ways in which these youth are working to overcome these challenges.
Réalisé dans le cadre de la série Souvenir, ce court métrage de Kent Monkman utilise des archives de l’ONF pour établir des parallèles entre l’anéantissement du bison et les ravages provoqués par le système des pensionnats indiens. Une critique impitoyable de la période coloniale du Canada et de la douleur et de la perte infligées aux peuples autochtones.
NE LE FAIS PAS, C’EST TOUT. Contestation de l’appropriation culturelle des coiffes autochtones.
Dans toute l’Amérique du Nord, les langues autochtones risquent de disparaître. «Quand tu ne connais ni ta langue ni ta culture, tu ne sais pas qui tu es», affirme Armand McArthur, l’une des dernières personnes à parler couramment le nakota dans la bande Pheasant Rump Nakota, sur le territoire du Traité no 4, dans le sud de la Saskatchewan. En prévision de l’avenir, l’homme de 69 ans est déterminé à revitaliser sa langue pour sa communauté et les générations futures. Dans une salle de classe où les gens de tous âges se rassemblent pour partager savoir et mode de vie dans de grands éclats de rire, il ravive le lien avec la terre qui fut pendant des siècles le domaine de ses ancêtres.
En 1963, Lena Wandering Spirit se trouve, comme plus de 150000 enfants autochtones, soustraite à sa famille et envoyée au pensionnat. Le court métrage documentaire de Jay Cardinal Villeneuve Retour à Holy Angels retrace de façon percutante l’histoire coloniale du Canada au moyen d’images impressionnistes et du langage fragmentaire d’une enfant. Villeneuve rencontre Lena alors qu’il travaille comme vidéaste à la Commission de vérité et réconciliation. Filmé avec une farouche détermination à révéler le passé, mais aussi à tourner la page, Retour à Holy Angels témoigne de la résilience d’un peuple qui a su trouver des moyens de guérir et de revenir aux sources.
Ce court métrage explore le quotidien des élèves autochtones de l’école alternative N’Swakamok et souligne la valeur et la nécessité des espaces communautaires autochtones. On y suit les élèves pendant qu’ils apprennent et partagent leurs histoires, leurs aspirations, leurs difficultés et leurs réalisations. Dirigée en partenariat avec le N’Swakamok Native Friendship Centre, l’école alternative N’Swakamok, un établissement satellite de l’école secondaire de Sudbury, offre aux élèves des activités culturelles et un espace de soutien où ils peuvent acquérir des aptitudes à la vie quotidienne tout en poursuivant leurs objectifs scolaires et personnels.
Pendant les préparatifs de leur pow-wow annuel, les hommes de Shoal Lake 40 racontent l’histoire de la vie dans la communauté selon leur perspective. Lorne Redsky s’emploie à faire fonctionner la station de pompage désuète : l’argent manque pour réparer les systèmes de base et il faut se servir quotidiennement de l’eau embouteillée. Alors que Lorne concentre son énergie sur la tâche monumentale qui consiste à acheminer de l’eau propre jusqu’au lieu du pow-wow, un membre de la communauté du nom de Kavin Redsky prépare sa tenue cérémonielle en vue de la danse, une démarche très personnelle liée à son parcours de guérison. Les deux hommes incarnent ces inestimables richesses que sont la communauté, la culture traditionnelle et la médecine, des cadeaux grâce auxquels la population de Shoal Lake 40 a pu trouver la résilience nécessaire pour continuer le combat pour la « route de la liberté ».
C'est le premier film réalisé par l'Indian Film Crew, dans le cadre du programme Challenge for Change de l'ONF. Il a été tourné à Akwesasne (réserve de St. Regis). Deux porte-parole expliquent les aspects historiques et autres de la religion, de la culture et du gouvernement de la maison-longue, qui sont imbriqués. Ils réfléchissent sur l'impact de l'arrivée des colons sur le mode de vie autochtone et sur ce que l'avenir peut apporter.
Réalisé dans le cadre de la série « Souvenir », le court métrage Etlinisigu’niet (Vidés de leur sang) de Jeff Barnaby pulvérise ce qui subsistait du mythe d’un Canada juste et équitable. Le message du réalisateur est clair : nous sommes toujours là. Les efforts en vue de « se débarrasser du problème indien » ont échoué.
À Saskatoon, en janvier 2000, sous une température glaciale de -20 ºC, le jeune autochtone Darrell Night est abandonné sur le bord de la route par deux policiers. Il parvient à échapper à une mort certaine en s'abritant dans une centrale électrique située aux abords de la ville.
Plus tard, à sa grande stupeur, Darrell apprend que le corps gelé d'un Autochtone est découvert dans les mêmes environs. Quelques jours plus tard, le scénario se répète quelques centaines de mètres plus loin.
Le choc de deux mondes (Two worlds Colliding) nous fait un récit des événements bouleversants entourant la mort tragique de ces deux jeunes autochtones. De plus, le film expose la dissidence d'une communauté méfiante face à une force policière qui doit maintenant affronter la vérité.
M. Night décide de partager sa mésaventure publiquement. Son action déclenche une série d'événements, dont l'ouverture d'une enquête majeure de la GRC sur plusieurs de ces morts suspectes, la condamnation des deux officiers qui ont abandonné Darrell, et la reprise d'une autre enquête sur le cas de Neil Stonechild trouvé mort dans les mêmes circonstances en 1990.
Dans une entrevue unique, Night nous raconte son cauchemar, et les parents de Lawrence Wegner, l'une des victimes, nous font part avec une grande émotion de leur impatience face à l'incapacité des autorités à trouver des réponses.
Un sergent sympathisant à la cause de Night et l'enquêteur spécial qui l'aide dans cette affaire partagent des sentiments de honte vis-à-vis de leur profession. Est-ce que la venue d'un nouveau chef de la GRC à Saskatoon réussira à rapprocher ces deux mondes?
Nos histoires - Ça devait être fait explore le lourd héritage des pensionnats autochtones par l'entremise de deux femmes extraordinaires ayant pris l'étonnante décision de retourner à l'école qui a
si profondément bouleversé leur vie. Ce film intimiste et touchant témoigne de la force et de la dignité dont elles ont fait preuve pour défendre leur cause et changer les choses à leurs propres conditions.
Ce documentaire nous présente Rene Catcheway et Melvin Delorme, deux jeunes Autochtones issus de milieux perturbés qui risquent d’échouer leur secondaire. Or, Randy Baleski, enseignant et ancien boxeur, croit au pouvoir transformateur de la boxe. Melvin et Rene multiplient les entraînements exténuants, et constatent que la boxe est davantage un mode de vie qu’un sport. Mais est-ce suffisant pour leur permettre de rompre avec une existence jalonnée de coups durs?
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