This short documentary presents the environmental challenges in Nunavut. Beneath the immaculate layer of snow, there are mountains of trash. Iqaluit's 2 dumps are filled beyond capacity and the municipality has no plan to solve the problem. Throughout the film, we discover the problems faced by this isolated region and learn just how serious they are. But above all, we hear a call to action from the residents, who don't want to see the North they love disappear. In French with English subtitles.
This documentary was made as part of the Tremplin program, with the collaboration of Radio-Canada.
Malgré de grandioses paysages qui semblent encore vierges, le Nunavut n'échappe pas aux maux du reste de la planète. Sous cette couche de neige immaculée, des montagnes de déchets de toute sorte s'entassent. À Iqualuit, on compte deux dépotoirs remplis au-delà de leur capacité et la municipalité n'a aucun plan pour remédier au problème. Certains citoyens inquiets ont décidé d'agir. À travers ces personnages, on découvre la gravité de la situation et les difficultés propres à ce territoire isolé. Mais surtout, on entend l'appel à l'action de ces citoyens qui ne veulent pas perdre leur Nord.
Ce film a été produit dans le cadre du concours Tremplin, en collaboration avec Radio-Canada.
Court métrage d’animation dépeignant un monde où les baleines tombent du ciel et où les poissons se transforment en ballons; un univers monochrome, en prise directe sur le réel, égayé par la fantaisie du conteur. Entre réalisme magique et abstraction figurative, ce petit conte pour humains esquisse un appel à la vigilance pour mieux évoquer cet Arctique qui se fragmente et se livre à l'océan, un peu plus chaque année. Le cinéaste Nicolas Brault a conçu à même une tablette graphique cette ode au Grand Nord et à ses habitants alors qu’il se trouvait à bord du Sedna IV.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Documentaire sur l’exploitation de l’uranium au Canada. Ce pays est le plus important producteur et exportateur d'uranium au monde. Or, les résidus des mines d'où est extrait ce métal se transforment à l'air libre en une douzaine d'autres substances radioactives dont certaines sont extrêmement dangereuses... et dont les effets sont incontrôlables.
Documentaire de Bill Mason, gagnant d’une dizaine de prix internationaux, il a été tourné dans les eaux du Nord en 1974, et suit une expédition de scientifiques étudiant les caractéristiques physiques et comportementales des baleines franches, menacées d’extinction. Le phoque, le morse et l’ours polaire sont également étudiés.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Lettre d’amour-haine adressée au climat de Vancouver, témoignant de l’expérience à la fois banale et palpitante que constitue la vie (la pluie) sur la Côte Ouest. Alors que des lambeaux de nuages s’accrochent et se déchirent sur les montagnes avoisinantes, dans le studio on continue de fabriquer des films. La pluie hivernale colore chaque facette de leur vie, mais les citadins s’en accommodent, brandissant leurs parapluies comme autant d’épées et combattant le déluge à grand renfort de manteaux et de chapeaux. Interprétation personnelle de l’expérience hivernale d’un homme, Fronts froids présente une vision kaléidoscopique du point d’impact entre ville et nature. Pourtant, tel un chaud baiser du soleil sur nos paupières closes, la promesse de l’été demeure.
Ce film a été produit en collaboration avec le COVAN et CODE Canada pour l’Olympiade culturelle 2010.
Docufiction racontant l'histoire charmante d'un gamin vivant dans le centre-sud de Montréal, qui profite d'un jour de congé pour prendre la poudre d'escampette. Il découvrira le bord de l'eau, l'horizon élargi du grand fleuve Saint-Laurent et l'activité fourmillante du port de Montréal. Le film nous montre un aspect souvent oublié de Montréal, tel qu'il était en 1958.
Ce long métrage documentaire suit Navarana, une aînée inughuite venue du coin le plus reculé de la planète : le nord-ouest du Groenland. Par l’un de ses ancêtres, un shaman inuit ayant entrepris une traversée épique du Haut-Arctique dans les années 1860, elle est liée à un groupe d’Inuits canadiens. Aujourd’hui, Navarana s’inquiète pour l’avenir de son peuple, et se doute bien qu’il devra bientôt affronter les plus grands défis sociaux et environnementaux de son histoire.
Le designer Bruce Mau voit dans la pandémie de COVID-19 une crise de courte durée ponctuant une tendance à long terme vers une évolution positive. Il nous met au défi de renoncer à nos habitudes de vie néfastes et nous incite à nous doter d’un aménagement urbain plus audacieux.
Bien connu dans l'Arctique pour son talent et ses œuvres, le sculpteur Isaci Etidloie aborde souvent des tabous et des mythes inuits dans ses créations.
Documentaire sur le problème de l'aménagement et de la gestion des terres arables. Des mesures s'imposent afin d'assurer la survie et l'épanouissement de l'agriculture chez nous : un défi pour la collectivité québécoise dans son ensemble. D'une urgence sociale et politique vitale.
Documentaire sur les Inuits de la terre de Baffin, pendant le court été arctique, qu'ils mettent à profit pour faire leurs provisions en vue du long hiver à venir. Dans la région de Pont Inlet dans l'île d'Alukseevee, les Inuits Tununermiut chassent le phoque ainsi que le narval et le béluga. Nous rencontrons la famille d'un chasseur, dont chaque membre a un rôle à jouer afin de survivre dans cette contrée au climat si rude.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Âge 14 à 16 ans
Géographie - Sujets environnementaux
Sciences humaines - Défis environnementaux
En s’inspirant du cas d’Iqaluit, amener les élèves à s’interroger sur leurs propres actions, sur leur responsabilité concernant l’environnement. Comment peuvent-ils avoir un impact significatif pour la sauvegarde de la planète dans leur quotidien? Que pourraient-ils modifier dans leurs habitudes pour améliorer les choses? À l’école, par exemple, que pourraient-ils améliorer ou changer? Quels projets pourraient-ils proposer?