In Heaven on Earth, acclaimed director Deepa Mehta highlights the isolation and disappointment faced by a family of Punjabi immigrants to Canada. When Chand leaves her family and community behind in India to marry a man she's never met in Brampton, Ontario, she finds herself at the mercy of his temper and her mother-in-law's controlling behaviour.
After a magic root fails to transform her husband into a kind and loving man, Chand takes refuge in a familiar Indian folk tale featuring a King Cobra.
Voici l’histoire profondément personnelle que relate en ses mots Namrata Gill, l’une des nombreuses inspiratrices issues de « la vraie vie » du film Heaven on Earth de Deepa Mehta. Après avoir courageusement mis fin à une relation de violence qui persistait depuis six ans, Namrata Gill entreprend une étonnante carrière.
Documentaire donnant la parole à deux immigrantes d'origine arabe, qui ont été violentées par leur mari et qui ont décidé de raconter leur histoire. Le film propose une réflexion sur le processus d'intégration à de nouvelles valeurs sociales, notamment le droit des femmes à l'égalité.
Roselène contemple. Mary médite. En toile de fond, il y a les longues heures, la pandémie, le travail de soins périlleux et exigeant. À travers une succession rythmée d’images d’archives et contemporaines, cet essai rappelle et confond le milieu institutionnel et le moment de recueil. Suggérant la continuité historique de la violence des politiques de travail et leurs répercussions sur les femmes noires, Sòl évoque une prière prononcée en plein quart de nuit, une méditation.
Documentaire personnel sur le statut d’immigrant. Au seuil de la quarantaine, le réalisateur marque un temps d'arrêt pour réfléchir au trajet parcouru depuis son départ du Liban à l'âge de 30 ans. Il reviendra sur les lieux de son enfance, dans le petit village de Abey pour y redécouvrir les maisons de pierre, les mets traditionnels, la voix fascinante de Ferouz, bref, l'âme d'un pays.
Fiction mettant en vedette Monique Mercure et Marc Favreau. Au milieu des plaisirs de l'été et des ébats de ses enfants, une jeune femme s'interroge sur la signification de sa vie d'épouse et de mère et sur ses chances de bonheur. Tourné au cours des années 1960, ce film dépeint, dans une atmosphère empreinte de romantisme, une situation universelle et combien actuelle.
Court métrage d’animation sur une femme qui porte la guerre en elle. Dans sa tête les soldats avancent, piétinant tout sur leur passage. Telle une pietà, elle pleure son fils, son frère. De sa douleur et du sang de l'homme mort au combat surgit une armée de femmes, puissante colonne drapée dans la foi et la révolte. La soif de justice devient soif de vengeance. Le corps de la femme est une arme, sa robe une armure. Celle qui jadis donnait la vie donnera la mort. Film sans paroles.
Dans ce long métrage documentaire, le réalisateur Masoud Raouf présente des entrevues avec d'anciens prisonniers politiques iraniens vivant maintenant au Canada et qui, comme lui, ont lutté pour la démocratie sous le régime brutal de l’Ayatollah Khomeni. Mariant des témoignages d'horreur, des séquences véridiques et une animation évocatrice magnifiquement rendue, le réalisateur rend hommage à la mémoire des victimes de la lutte et à l'endurance des survivants. En anglais avec sous-titres français.
Une femme de tête brosse le portrait émouvant d’une immigrante d’origine marocaine qui se bat pour ses droits et sa dignité.
Ce documentaire est issu du projet La tête de l'emploi, qui vise à mettre fin au racisme direct et à la discrimination systémique dans les milieux de travail au Canada. Il cherche également à suggérer de nouvelles stratégies pour lutter contre le racisme auquel sont confrontés les minorités visibles et les autochtones.
Long métrage documentaire sur l’histoire de Terre-Neuviennes ayant uni leur vie à des militaires américains. Pendant la Seconde Guerre mondiale, certaines bases américaines parmi les plus importantes se trouvaient à Terre-Neuve. On estime à environ 40 000 le nombre de ces femmes ayant épousé des Américains. Quelques-unes témoignent.
Documentaire sur l'immigration italienne au Québec. Pour les Italiens issus de l'immigration, la réussite collective vaut plus que réussite individuelle. Et la famille est au centre de la communauté. On vit à cinq entassés dans une chambre, en attendant un avenir meilleur. Acheter une maison, élever une famille. La moitié des 150 000 Italiens de Montréal habitent le même quartier. Ils prennent d'assaut les métiers de la construction, se font peintres, maçons, terrassiers et transforment leur jardin en un paysage familier.
Ce film jette un regard sur la communauté portugaise de quelque 30 000 personnes établie à Montréal, plus particulièrement la famille de Manuel Borges arrivée au Québec en 1967. Il expose ainsi, avec nuance et sensibilité, les problèmes qu'entraîne la condition d'immigrant et montre comment on apprend à vivre dans un pays qu'on veut faire sien.
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