Filmed over a period of three years, from summer 1963 to the late winter of 1965, and released in 1967, the Netsilik series is about the traditional lifestyle of Netsilingmiut living in the area around Kugaaruk.
In this episode, the family moves into an igloo and build a qamutik. When it is ready, the family heads down the river to the coast.
Court métrage documentaire faisant partie d’une série sur le mode de vie traditionnel des Esquimaux de Netsilik. Parce qu’ils habitaient une région difficilement accessible, les Netsilik, aussi appelés « peuple des phoques », ont été les derniers Inuits à abandonner la vie nomade des chasseurs de l’Arctique. Dans cette première partie du film de Quentin Brown, nous suivons une famille qui dresse sa tente à Pelly Bay et apprête un phoque qu’elle vient de chasser, en évitant de perdre quoi que ce soit.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : transmettre nos histoires.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Un phoque sort d'une mare d'eau, tandis que le chasseur taille un os pour son harpon et que la femme coud une moufle, tous deux mangeant du poisson congelé. Son harpon réparé, le chasseur traque le phoque toute la nuit et il le manque par deux fois. Il ramasse alors des oeufs de mouette sur une falaise et la famille quitte la région.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Documentaire de Bill Mason, gagnant d’une dizaine de prix internationaux, il a été tourné dans les eaux du Nord en 1974, et suit une expédition de scientifiques étudiant les caractéristiques physiques et comportementales des baleines franches, menacées d’extinction. Le phoque, le morse et l’ours polaire sont également étudiés.
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Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Documentaire personnel de l'artiste Élisapie Isaac. En pleine immensité boréale, au bord de la mer Arctique, un village : Kangirsujuaq, au Nunavik. Ici, traditions et modernité se croisent quotidiennement. Les rires des enfants habitent joyeusement les rues, les jeunes carburent à la culture « du Sud », alors que les vieux tentent encore de se faire à leur étrange sédentarité. Dans cette toundra à couper le souffle, la jeune cinéaste originaire de Salluit, maintenant installée à Montréal, décide de plonger au cœur de ses origines.
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Amusante fable inuite teintée d'humour et rendue par un court métrage d'animation qui a su conserver toute la couleur locale de la légende. Des Inuits ont prêté leurs voix pour les dialogues et les effets sonores. Ce film raconte l'histoire de ce pauvre hibou qui épouse une oie. Elle lui donne une progéniture, mais quand vient le temps pour les oies d'écouter la nature qui les appelle à la migration, papa hibou ne peut pas suivre sa famille sans risques.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Dans ce court métrage documentaire, Georges Annanack, premier président de la Coopérative esquimaude de Port-Nouveau-Québec, raconte un chapitre de sa vie et de celle des Inuit de l'Ungava. Au début de 1959, les quelque 150 Inuit de Port-Nouveau-Québec voulaient quitter leur petite patrie parce qu'ils mouraient de faim, le caribou ayant disparu de la région. Une équipe du gouvernement se rendit donc sur place, rencontra les habitants et chercha avec eux de nouvelles façons de subsister en ce coin de l'Arctique qu'ils aimaient tant. On parla fabrication d'embarcations légères, pêche à l'omble, et fondation d'une coopérative, tandis que les Inuit s'initiaient avec intérêt au domaine nouveau du monde des affaires...
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Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
« Drôle? Qu’est-ce que les Blancs, que les Inuits appellent Qallunaat, ont de si drôle? Eh bien, parmi les comportements étranges qui les caractérisent, les Qallunaat échangent des inepties en guise de salutations, répriment leurs fonctions physiologiques, se plaignent constamment du froid et semblent avoir une propension à vouloir dominer le monde. Pourquoi les blancs sont drôles nous donne une belle leçon d’humilité en nous faisant ressentir ce que c’est que d’être sous la loupe de l’homme blanc. Rafraîchissant et original, ce documentaire possède la rare qualité d’éduquer avec intelligence.
La pandémie de COVID-19 fait vibrer une corde douloureusement familière chez les Inuvialuits du delta du fleuve Mackenzie. Au début du 19e siècle, John Franklin et son équipe ont transmis la variole, maladie mortelle, à leurs ancêtres. D’autres épidémies dévastatrices suivront. L’historien Randal Pokiak retourne sur l’ancien site de Kitigaaruk, une communauté abandonnée après la grande épidémie de grippe de 1918, pour livrer un récit saisissant et révélateur.
Chanson de l’Arctique, de l’artiste, conteuse et réalisatrice inuite Germaine Arnattaujuq (Arnaktauyok), est un court métrage d’animation qui présente des histoires orales sur la création provenant de la région d’Iglulik, au Nunavut : le corbeau qui apporte la lumière du jour au monde, les géants qui se transforment en montagnes, et les animaux qui créent des constellations chatoyantes et des aurores boréales. Le film rend les connaissances traditionnelles accessibles aux jeunes générations en combinant certaines œuvres de Germaine Arnattaujuq avec des animations et une narration en inuktitut. Ces légendes sont chantées de manière envoûtante, insufflant au film une impression de beauté méditative. Chanson de l’Arctique ne se contente pas de transmettre le savoir inuit, mais met aussi en lumière l’univers foisonnant de l’art inuit qui s’est épanoui dans l’Arctique canadien et continue de ravir le public à travers le monde.
Le cinéaste inuk Jobie Weetaluktuk combine séquences d’archives et nouvelles images pour mettre en lumière différentes formes d’appropriation de sa culture au cours de l’histoire.
Malgré de grandioses paysages qui semblent encore vierges, le Nunavut n'échappe pas aux maux du reste de la planète. Sous cette couche de neige immaculée, des montagnes de déchets de toute sorte s'entassent. À Iqualuit, on compte deux dépotoirs remplis au-delà de leur capacité et la municipalité n'a aucun plan pour remédier au problème. Certains citoyens inquiets ont décidé d'agir. À travers ces personnages, on découvre la gravité de la situation et les difficultés propres à ce territoire isolé. Mais surtout, on entend l'appel à l'action de ces citoyens qui ne veulent pas perdre leur Nord.
Ce film a été produit dans le cadre du concours Tremplin, en collaboration avec Radio-Canada.