Court métrage documentaire faisant partie d’une série sur le mode de vie traditionnel des Esquimaux de Netsilik. Parce qu’ils habitaient une région difficilement accessible, les Netsilik, aussi appelés « peuple des phoques », ont été les derniers Inuits à abandonner la vie nomade des chasseurs de l’Arctique. Dans cette première partie du film de Quentin Brown, nous suivons une famille qui dresse sa tente à Pelly Bay et apprête un phoque qu’elle vient de chasser, en évitant de perdre quoi que ce soit.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : transmettre nos histoires.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Documentaire sur les Inuits de la terre de Baffin, pendant le court été arctique, qu'ils mettent à profit pour faire leurs provisions en vue du long hiver à venir. Dans la région de Pont Inlet dans l'île d'Alukseevee, les Inuits Tununermiut chassent le phoque ainsi que le narval et le béluga. Nous rencontrons la famille d'un chasseur, dont chaque membre a un rôle à jouer afin de survivre dans cette contrée au climat si rude.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Dans ce court métrage documentaire, Tuktu accompagne les pêcheurs qui se rendent en expédition à un ancien barrage fait de rochers. Il voit son père et d'autres chasseurs harponner les poissons en grande quantité. Il observe comment son père et son oncle s'y prennent pour faire du feu avec la baguette à archet des Inuit.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Dans ce court métrage documentaire, Tuktu accompagne sa famille pendant le long et rigoureux hiver, à l'époque où l'on pratique la pêche à travers la glace. Il voit également son père attraper les poissons avec un harpon pendant l'été et il n'a qu'un désir : devenir grand pour pouvoir attraper du poisson lui aussi.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Court métrage d’animation mettant en scène un hibou et un corbeau. Dans un igloo construit selon les normes en usage chez les Inuit, un hibou et un corbeau tracent, avec de petits os de phoque, le contour d'un igloo miniature, puis passent à un autre divertissement qui consiste à se peindre le plumage avec de la suie jusqu'à ce que le hibou perde patience... Les marionnettes et les décors ont été fabriqués selon des dessins ou des modèles authentiques. La bande sonore, où alternent conversation et chants inuits, crée l'ambiance nécessaire au déroulement de la légende.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Court métrage documentaire réalisé par René Bonnière et écrit et produit par Pierre Perrault. Le film suit Henri et Rosaire Otis, de l'Anse-aux-Basques, deux chasseurs de loups marins et de marsouins, amoureux des grands espaces. Le savent-ils, les frères Otis, qu’ils sont les derniers descendants des chasseurs basques du 16e siècle?
Ce film fait partie de la série documentaire intitulée Au pays de Neufve-France.
Documentaire sur trois villages inuits du Québec, qui luttent pour la survie de leur culture. Voulant demeurer maître de leur destinée, leurs habitants défient la société du développement à outrance, en contestant la convention de la Baie-James qui, selon eux « ouvre la porte du pays inuit aux hommes blancs ». Le film nous présente quelques-uns de ces Inuits dissidents dans leur vie de tous les jours, au gré de scènes de chasse, de pêche et de la vie familiale.
Court métrage d'animation sur une Inuit nommée Ulayok Kaviok. Cette femme apprécie tout le confort apporté par les Blancs. Mais dès qu'arrive le printemps, elle attelle ses chiens et retourne planter sa tente dans la toundra pour y recueillir des œufs d'oies sauvages ou braquer son fusil sur un phoque dont la peau lui fournira la matière première pour la confection des Kamik, ces bottes magnifiques qui ont assuré la survie de générations de chasseurs. Kamik, un film étonnant sur la rencontre de deux modes de vie en apparence diamétralement opposés.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Documentaire de Bill Mason, gagnant d’une dizaine de prix internationaux, il a été tourné dans les eaux du Nord en 1974, et suit une expédition de scientifiques étudiant les caractéristiques physiques et comportementales des baleines franches, menacées d’extinction. Le phoque, le morse et l’ours polaire sont également étudiés.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Court métrage documentaire de la série Tuktu, sur le mode de vie inuit. Lorsque le caribou traverse les petits lacs pour gagner de nouveaux pâturages, les Inuit montent dans leurs kayaks pour le chasser. Le père de Tuktu n'a pas eu de chance au cours de la chasse et un caribou a évité sa lance. Nous le voyons cependant ramener un caribou au campement et le film se termine autour d’un grand feu en plein air et un festin, auquel participe tout le monde, y compris Tuktu.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Le 14e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
Court métrage documentaire tourné au cap Dorset, en Terre de Baffin, parmi les Inuits de Kingait et de Kangiyak. Selon ces Inuits, chaque pierre que recueillent les sculpteurs renferme un secret et une histoire. La sculpture inuite, découverte dans les années cinquante, fut une véritable révélation. Elle est l'expression simple et poétique d'une culture bien particulière. Mis en nomination aux Oscars en 1958.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.