Dans ce quatrième épisode de la série Wapos Bay, T-Bear découvre le passé des vétérans amérindiens de Wapos Bay, pendant que Raven est confrontée à la relocalisation de son enseignante préférée.
La série Wapos Bay suit les aventures de trois jeunes enfants d’une communauté crie du nord de la Saskatchewan. La série a remporté un prix Gemini en 2010.
Maq et l’Esprit de la forêt est un court métrage d’animation racontant l’histoire d’un jeune Micmac qui se fait apprendre les secrets de la vie par de discrets mentors. En traversant la forêt pour aller chez son grand-père et lui montrer un morceau de pierre qu’un Ancien lui a montré à sculpter, il croise un curieux voyageur nommé Mi’gmwesu. Celui-ci lui fait découvrir sa culture à travers les chansons, les contes et les plantes médicinales…
Court métrage d’animation dressant le portrait de grand-mère Kay (inspiré de Kitty Smith), une aînée qui noue des liens avec les enfants du village de Carcross grâce à la tradition du conte oral.
Tish, une fillette de 12 ans, intelligente et réfléchie, adore se retrouver dans la cuisine de grand-mère Kay. Ici, passé et présent s'entremêlent, mythe et réalité se côtoient, et le feu embrase tous les cœurs dans ce lieu baigné de mémoire spirituelle et culturelle.
Court métrage d’animation inspiré de la légende micmaque, Petit Tonnerre examine l’humour autochtone. Nous suivons Little Thunder qui, à contrecœur, quitte sa famille pour entreprendre un long voyage en canot qui fera de lui un homme.
Les jeunes de Shoal Lake 40 racontent ce que signifie pour eux le fait d’être forcés de quitter une famille et une communauté très unies pour faire leurs études secondaires à Kenora, en Ontario. Comme l’école de la communauté n’assure la scolarité que jusqu’à la huitième année, aucune autre solution ne s’offre aux adolescents qui souhaitent poursuivre leurs études. Certains jeunes hommes peuvent travailler à la construction de la route, une rare occasion d’occuper un bon emploi au sein de la communauté : leur fierté est palpable, et ils expriment la satisfaction que leur procure cette possibilité d’assurer la sécurité de leurs aînés et d’offrir des débouchés aux générations futures. La construction de la « route de la liberté » suscite chez les jeunes beaucoup d’optimisme, malgré le racisme systémique et personnel dont ils ont déjà été victimes. Ce projet leur donne de l’espoir quant à l’avenir de leur communauté et à leur propre capacité d’y contribuer.
Dans ce documentaire, on établit un parallèle entre la situation minoritaire des élèves d'origine autochtone et métisse prédominant dans une école de Winnipeg et celle des francophones d'une école de Saint-Boniface. Par le biais d'une pièce de théâtre, montée par les élèves des écoles R.B. Russell et Précieux-Sang à l'occasion du Festival du voyageur, on discute des défis et des problèmes auxquels font face les deux groupes.
Avec humanité et lucidité, ce long métrage documentaire montre comment des parents autochtones du nord du Yukon, menés par Glenna Tetlichi, une des chefs de la nation Vuntut Gwitchin d’Old Crow, et Jean-Marie Mouchet, père oblat octogénaire, ont pris en main leur avenir et celui de leurs enfants. Un bel exemple d’engagement et de persévérance. Une piste de solution aux problèmes des jeunes.
Le 52e film d’Alanis Obomsawin raconte comment la vie de Jordan River Anderson a déclenché un combat pour que les enfants inuits et des Premières Nations bénéficient de soins de santé, de services sociaux et de services d’enseignement public égaux à ceux du reste de la population canadienne.
Aussi disponible dans le coffret DVD Alanis Obomsawin, un héritage
Dans son long métrage documentaire Hi-Ho Mistahey!, Alanis Obomsawin raconte l’histoire du «Rêve de Shannen», une campagne nationale pour que les enfants des Premières Nations aient accès à une éducation équitable et à des écoles sécuritaires et adéquates. Elle rassemble les témoignages de personnes ayant porté la cause de la jeune Shannen Koostachin, emportée dans un accident de voiture en 2010, avec succès d’Attawapiskat jusqu’aux Nations Unies de Genève.
Aussi disponible dans le coffret DVD Alanis Obomsawin, un héritage
Les droits des enfants des Premières Nations sont au premier rang dans ce documentaire monumental. Dans la foulée d’un procès historique découlant d’une plainte déposée contre le gouvernement fédéral par l’Assemblée des Premières nations et la Société de soutien à l’enfance et à la famille des Premières Nations du Canada, Alanis Obomsawin expose les injustices subies de génération en génération par les enfants des Premières Nations vivant dans des réserves et leur famille. Livrant des témoignages passionnés avec une conviction inébranlable, des intervenants de première ligne des services à l’enfance et des experts, dont Cindy Blackstock, s’engagent dans une bataille juridique qui s’étirera sur une dizaine d’années pour que ces enfants reçoivent le même niveau de soins que les autres enfants canadiens. Cette poursuite contre le Canada rappelle brutalement les disparités qui persistent et l’urgence de rendre justice aux Premières Nations.
Aussi disponible dans le coffret DVD Alanis Obomsawin, un héritage
Richard Cardinal s’est suicidé à l'âge de 17 ans, après avoir passé la plus grande partie de sa vie dans de nombreux foyers d'accueil et refuges un peu partout en Alberta. Dans ce court documentaire, la réalisatrice abénaquise Alanis Obomsawin tisse, à partir d'extraits du journal intime du jeune homme, un puissant hommage à sa courte vie. Sorti en 1984 – des décennies avant la Commission de vérité et de réconciliation –, le film a révélé la négligence systémique et les mauvais traitements dont les enfants autochtones sont victimes dans le système canadien de protection de l'enfance. Lauréat du prix du meilleur documentaire de l'American Indian Film Festival en 1986, le film a été projeté au Museum of Modern Art de New York en 2008 dans le cadre d'une rétrospective consacrée à Alanis Obomsawin et continue d'être diffusé dans le monde entier.
Inspiré d'un fait réel, ce court métrage de fiction fait la reconstruction dramatique d’un événement survenu dans un autobus alors que trois jeunes gens batailleurs tiennent des propos racistes à l'endroit d'une jeune Amérindienne et de sa mère, Rhonda. Celle-ci décide de réagir, le lendemain, lorsqu'elle constate à quel point sa fille se sent humiliée. Elle se rend à l'école et fait réaliser aux agresseurs la portée destructrice de leur geste en apparence anodin.
Les évaluations professionnelles et les guides pédagogiques pour cette œuvre sont réservés aux abonnés CAMPUS.
Des fonctionnalités conçues simplement pour les profs.En savoir plus
Déjà abonné? Connectez-vous