This documentary, by filmmaker Carol Geddes, is a unique portrait of George Johnston, a photographer who was himself a creator of portraits and a keeper of his culture. Johnston cared deeply about the traditions of the Tlingit people, and he recorded a critical period in the history of the Tlingit nation. As Geddes says, his legacy was "to help us dream the future as much as to remember the past."
En 1929, un totem mortuaire appartenant au peuple Haisla, le G'psgolox, est coupé et emmené en Europe. Il est retrouvé en 1991 dans un musée de Suède. Ce long métrage documentaire relate les efforts des Haisla du village de Kitamaat pour récupérer le précieux objet.
Version originale anglaise avec sous-titres français.
À l’âge de 22 ans, le sculpteur d’origine haïda Robert Davidson a grandement contribué à changer l’histoire des gens de sa communauté. Grâce au soutien de sa famille, il a pu sculpter le tout premier totem du village de Old Masset en près d’un siècle. Avec des animations spectaculaires, des entrevues touchantes et des images d’archives, Maintenant plus que jamais dépeint le portrait de trois générations des clans de l’Aigle et du Corbeau qui ont travaillé ensemble à ériger le totem à la manière de leurs ancêtres jusqu’à ce qu’il trône, fort et fier.
Ce court documentaire impressionniste se penche sur la création d’une couverture à boutons en intégrant l’exécution d’une danse traditionnelle à l’art du peuple heiltsuk de la Côte Ouest.
C'est le premier film réalisé par l'Indian Film Crew, dans le cadre du programme Challenge for Change de l'ONF. Il a été tourné à Akwesasne (réserve de St. Regis). Deux porte-parole expliquent les aspects historiques et autres de la religion, de la culture et du gouvernement de la maison-longue, qui sont imbriqués. Ils réfléchissent sur l'impact de l'arrivée des colons sur le mode de vie autochtone et sur ce que l'avenir peut apporter.
Court métrage d’animation inspiré de la légende micmaque, Petit Tonnerre examine l’humour autochtone. Nous suivons Little Thunder qui, à contrecœur, quitte sa famille pour entreprendre un long voyage en canot qui fera de lui un homme.
Kwa'nu'te est un chant de paix qui invoque chez certains autochtones le pouvoir de la création, une façon de faire revivre les esprits et de leur rendre hommage en tentant d'apporter, grâce à eux, un peu d'apaisement dans un monde de plus en plus tourmenté. Les huit artistes micmacs et malécites du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-Écosse dépeints dans ce film partagent tous à divers degrés cette conscience spirituelle.
Ce court métrage documentaire relate les événements entourant le retour définitif du totem G'psgolox chez lui, à Kitamaat. Dans Le totem d'origine de G'psgolox, tourné pour l'ONF en 2003, le cinéaste Gil Cardinal documentait le long combat de la nation Haisla de la Colombie-Britannique pour récupérer un totem mortuaire retrouvé dans un musée à Stockholm, en Suède. Malgré d'intenses efforts, les Haisla n'avaient pas réussi à rapatrier leur totem. Or, en 2007, le musée suédois décide de rendre le précieux objet à ses propriétaires légitimes.
Le cinéaste inuk Jobie Weetaluktuk combine séquences d’archives et nouvelles images pour mettre en lumière différentes formes d’appropriation de sa culture au cours de l’histoire.
L’aîné attikamek César Néwashish poursuit l’histoire de la communauté de Manawan entamée dans L’histoire de Manawan : Première partie. Tandis que les traditions chrétiennes et européennes s’enracinent de plus en plus dans la communauté – soutenues en cela par les pensionnats indiens et les politiques d’assimilation radicales du gouvernement – des changements de culture selon toute apparence irréversible commencent à se produire. Malgré ces difficultés, la communauté continue d’aller de l’avant. Ce court métrage fait partie de la série Manawan réalisée par Alanis Obomsawin.
Dans ce long métrage documentaire signé par le réalisateur autochtone Brian J. Francis, des participants à la cérémonie de la danse sacrée du soleil passent quatre jours sans boire ni manger, puis transpercent la chair de leur poitrine dans une offrande au Créateur. Un point de vue privilégié sur la spiritualité des Premières Nations d’Amérique du Nord et la transmission unique d’une tradition culturelle de la nation Elsipogtog à la nation Mi’gmaqs.
Des dizaines d’années avant la tenue de la Commission de vérité et réconciliation, Shirley Bear défiait les récits colonialistes répressifs avec ses inspirantes représentations imagées de la féminité autochtone. Catherine Martin trace le portrait de cette artiste malécite connue sous le nom de Minqon Minqon (Arc-en-ciel Arc-en-ciel).
Âge 16 à 18 ans
Histoire et éducation à la citoyenneté - Expansion européenne (de 1500 à 1800)
Histoire et éducation à la citoyenneté - Économie et développement (1500 à nos jours)
Éthique et culture religieuse - Valeurs morales
Études autochtones - Histoire/Politique
Études autochtones - Identité/Société
Études autochtones - Les arts