Série de plans fixes où l’on voit la maître vannière lil’wate Mathilda Jim récoltant les matériaux pour créer une œuvre d’art fonctionnelle. Narré dans la langue lil̓’wate, ce court métrage documentaire évoque les liens solides entre la langue, le savoir-faire et la culture. Ce court métrage fait parte de la série L’il’wata. Au début des années 1970, au tout début de sa carrière de documentariste, Alanis Obomsawin a visité la nation líl̓’wate, une Première Nation salish de l’intérieur de la Colombie-Britannique, et a créé une série de courts métrages où des Autochtones parlent de la culture, des histoires et du savoir-faire des Lil’wats.
Faisant appel à une ingéniosité séculaire, les aînés attikameks Agatha et César Néwashish fabriquent un modèle réduit de canot d’écorce de bouleau. Leurs mains expertes créent une véritable œuvre d’art. Ce court métrage fait partie de la série Manawan réalisée par Alanis Obomsawin.
Long métrage documentaire réalisé par Alanis Obomsawin, qui retourne à son village natal d’Odanak. En récoltant des témoignages d’anciens et en discutant avec des acteurs importants de la communauté, la réalisatrice dresse un portrait de son peuple, reflétant les luttes menées par les différentes nations autochtones qui habitent le territoire. Travail de mémoire et d’espoir.
La remarquable fabrication des incontournables raquettes, du début à la fin. Les aînés attikameks Mariane et Athanas Jacob nous entraînent dans la forêt pour choisir l’arbre qui se transformera bientôt en une belle paire de raquettes toutes neuves. Ce court métrage fait partie de la série Manawan réalisée par Alanis Obomsawin.
Dans ce long métrage documentaire, la cinéaste Reaghan Tarbell part à la découverte de ses racines en retraçant l'histoire de la communauté mohawk de Brooklyn (New York). Du début du XXe siècle aux années 1960, les Mohawks de Kahnawake, au Québec, ont participé sans interruption à la construction des gratte-ciels de la métropole américaine. Plusieurs s’y sont établis, créant une sous-culture autochtone citadine au cœur de Brooklyn. La cinéaste leur rend hommage.
Randy Horne est un monteur de poutres d'acier de la communauté mohawk de Kahnawake, près de Montréal. Durant la crise d'Oka de 1990, il était connu sous le nom de «Spudwrench». Il se retrouva derrière les barricades pour empêcher la municipalité d'Oka d'agrandir un terrain de golf qui aurait empiété sur un territoire mohawk sacré.
Comme de nombreux autres Mohawks, Horne a parcouru le continent et travaillé sur certains des plus hauts édifices du monde, sans toutefois perdre de vue ses racines. Spudwrench, l'homme de Kahnawake est à la fois un portrait de Randy Horne et des générations de Mohawks audacieux qui l'ont précédé comme travailleurs dans la construction, et un regard unique derrière les barricades sur un homme qui défend avec passion un territoire sacré.
C'est le troisième film de la collection d'Alanis Obomsawin sur les évènements de 1990. Les deux autres sont Je m'appelle Kahentiiosta et Kanehsatake : 270 ans de résistance, un long métrage documentaire qui a remporté de nombreux prix un peu partout dans le monde.
Des dizaines d’années avant la tenue de la Commission de vérité et réconciliation, Shirley Bear défiait les récits colonialistes répressifs avec ses inspirantes représentations imagées de la féminité autochtone. Catherine Martin trace le portrait de cette artiste malécite connue sous le nom de Minqon Minqon (Arc-en-ciel Arc-en-ciel).
Les aînés Mariane et Athanas Jacob – de la communauté attikamek de Manawan – nous livrent les secrets de l’appel à l’orignal au moyen d’un cornet d’écorce. Ce magnifique cornet est un outil vital pour attirer l’orignal, un animal essentiel dans leur culture et leur communauté. Ce court métrage fait partie de la série Manawan réalisée par Alanis Obomsawin.
Kahentiiosta était à Kanehsatake, du début à la fin de la crise. Le film décrit ce qu'elle y a vécu, puis surtout sa comparution au tribunal parce que le Procureur général n'acceptait pas son nom mohawk et enfin sa vie et celle d'autres «warriors» au camp militaire de Farnham.
Portrait intime de Marie Leo, une Sto:lo adoptée tout bébé par des Líl̓’wats. Quand elle raconte doucement la tendre enfance paisible qu’elle a vécue, on constate que ses liens profonds à la culture, à la terre et à la famille persistent. Ce court métrage fait parte de la série L’il’wata. Au début des années 1970, au tout début de sa carrière de documentariste, Alanis Obomsawin a visité la nation líl̓’wat, une Première Nation salish de l’intérieur de la Colombie-Britannique, et a créé une série de courts métrages où des Autochtones parlent de la culture, des histoires et du savoir-faire des Lil’wats.
Inspiré de l’expérience personnelle de la scénariste et réalisatrice Alanis Obomsawin, Quand toutes les feuilles seront tombées allie l’autobiographie, la fiction et la fable pour créer un récit profondément touchant sur la puissance du rêve.
Le cinéaste inuk Jobie Weetaluktuk combine séquences d’archives et nouvelles images pour mettre en lumière différentes formes d’appropriation de sa culture au cours de l’histoire.
Vistas est une série de 13 courts métrages sur le thème de la Nation produits par l'Office national du film du Canada, en collaboration avec la chaîne APTN.