Isle of the Dead, by the nineteenth-century painter Arnold Boecklin, is the subject of this McLaren film experiment. The spectral island wakes to mysterious life, flickers in an ethereal light and fades again into the dark--the whole effect heightened by an interpretive musical score by composer Louis Applebaum. (Award: Salerno.)
Une étude impressionniste sur les activités dans une école de beaux-arts, entre 7 h et 17 h. Ce film étudiant de Norman McLaren est le premier film réalisé à la section Cinéma de la Glasgow School of Art; 1er prix au 2e Festival du film amateur de Glasgow, en 1934. Film muet.
Prenant pour point de départ le tableau intitulé L’île des morts, du peintre symboliste allemand Arnold Böcklin, Norman McLaren organise un rêve surréaliste d’où émane une profonde angoisse. Le premier film canadien a avoir été projeté au Festival de Cannes.
Dans ce triptyque aux accents surréalistes, Norman McLaren utilise diverses techniques pour créer des paysages oniriques intrigants, faisant voyager le spectateur dans un espace imaginaire raffiné. La partie centrale du film est directement tirée de Sphères, coréalisé par McLaren et René Jodoin.
Court métrage expérimental explorant les possibilités de l'animation par intermittence et des images spasmodiques. Norman McLaren joue avec les lois de la persistance rétinienne dans une œuvre de pure imagination faisant penser tantôt à un feu d'artifice très nourri, puis ensuite à un dessin lent à se former et dont on ne perçoit que des touches rapides et éphémères. Film sans paroles.
Court métrage d'animation sur la chanson populaire Alouette, gentille alouette. Norman McLaren, à titre de premier producteur du studio Animation de l'ONF, collabore avec René Jodoin à cet extrait d'une série d'émissions intitulée Let's all sing together. Animation par image de découpages de papier.
This short film by Norman McLaren is a slow-motion study of the pas de deux adagio, one of the most exacting dances of classical ballet. A ballet originally choreographed by the Russian ballet master Asaf Messerer is performed for this film by the internationally known Canadian pair David and Anna Marie Holmes, to the music of Albinoni's Adagio.
Kwa'nu'te est un chant de paix qui invoque chez certains autochtones le pouvoir de la création, une façon de faire revivre les esprits et de leur rendre hommage en tentant d'apporter, grâce à eux, un peu d'apaisement dans un monde de plus en plus tourmenté. Les huit artistes micmacs et malécites du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-Écosse dépeints dans ce film partagent tous à divers degrés cette conscience spirituelle.
Maud Lewis puisait dans ses souvenirs les plus heureux pour peindre des images tout à fait charmantes inspirées de son univers. Souffrant d'incapacité physique depuis sa jeunesse, la célèbre artiste néo-écossaise tirait un immense plaisir à peindre des scènes de la vie rurale sur des toiles, des cartes de souhait et même sur les murs de la minuscule pièce qui lui servait de maison.
Dans Moi, je fais de l'art comme Maud Lewis, des élèves de 6e année s'inspirent de sa vie et de son oeuvre hors du commun. Avec l'aide de l'artiste en art populaire Kyle Jackson, ils peignent un tableau représentant leur quartier du centre-ville.
Instructif, profondément touchant et animé par la magie de la création Moi, je fais de l'art comme Maud Lewis témoigne du pouvoir et du plaisir tout simple de l'art populaire.
Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
Court métrage documentaire sur la récupération en tout genre. Des objets pour en faire autre chose, de la réalité pour en faire de la fiction, de la fiction pour en faire du documentaire. C'est un film sur l'abolition des frontières, sur la poésie et la liberté. Nous vivons dans un monde où les réalités sont multiples. Elles valent pour ce qu'on en fait. En les détournant de leur utilité première, en les recyclant dans la vie ou au cinéma, on recycle le quotidien lui-même. De ce regard neuf sur le réel naît la poésie.
Corps fugaces: empreinte est un film stéréoscopique en 3D de 4 minutes qui se penche sur les thèmes de la perte, du souvenir et de la guerre en faisant appel à la danse contemporaine et à l’animation. Réalisé par Marlene Millar, Crystal Pite et Philip Szporer, le film met à l’honneur la chorégraphie de la star canadienne de la danse Crystal Pite et le savoir-faire de l’animateur lauréat Théodore Ushev.
Attention: Bien que le film ait été tourné en 3D, il est seulement disponible en 2D sur le site de l’ONF, en visionnage continu.
Long métrage documentaire sur une religieuse et sculpteure professionnelle. Le réalisateur Rodolphe Caron retrace le parcours singulier de cette femme dont les sculptures révèlent le rapport intime, presque sacré, qui lie l'artiste à la matière. Avec générosité, la sculpteure acadienne nous fait partager le dialogue qu'elle entretient avec la pierre et avec Dieu, et nous fait découvrir, de l'intérieur, une œuvre originale.