Dans ce court métrage d’animation autobiographique, Diane Obomsawin (dit Obom) raconte avec humour et lucidité les grandes étapes de son enfance, vécue entre Montréal et la France. De l’Expo 67 au divorce de ses parents, en passant par ses années passées au lycée, la cinéaste dessine le portrait de sa famille et expose la relation qu’elle entretient avec les lieux et les événements qui ont marqué sa jeunesse.
Le 34e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
Tiré d'une nouvelle de Mordecai Richler, ce film d'animation raconte le drame vécu par les familles où l'un des membres est devenu impotent. Les magnifiques dessins de la cinéaste marient magistralement sobriété et souci du détail pour insuffler vie aux personnages.
Comment réagir lorsqu'un nouveau confrère de travail s'asseoit à côté de vous et vous lance de l'encre au visage, hurle au téléphone et écoute de la musique énervante?
Les personnages colorés de ce court métrage d'animation suggèrent quelques pistes de solution.
Ce film s'inscrit dans la série AnimaPaix, une collection de films d'animation sur le thème de la résolution de conflits
Le 65e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
La grand-mère de Torill Kove lui racontait souvent des histoires. L'une en particulier tournait autour du repassage des chemises du roi de Norvège. Et si ce détail insolite n'était que la pointe de l'iceberg? Peut-être avait-elle travaillé secrètement dans la résistance norvégienne...? ou avait-elle même pris la tête d'un mouvement de guérilla d'un genre nouveau! Tissant l'intrigue à partir de faits personnels, Torill Kove suit le fil d'une histoire familiale, qu'elle enjolive en chemin avec beaucoup de drôlerie. Elle rend de façon inventive la vie et le travail de sa grand-mère à Oslo, particulièrement pendant la Deuxième Guerre mondiale. Elle mêle avec brio et imagination les contes qu'elle lui racontait avec les événements historiques et la fantaisie et montre comment un épisode de la vie familiale peut atteindre au mythe.
Le rythme dansant qui traverse tout ce film évoque l'intimidation incessante que des brutes infligent à leurs victimes. La danse des brutes incite plutôt les spectateurs - enseignants, parents et enfants - à réfléchir aux moyens de lutter contre le phénomène de l'agression entre pairs.
Dans ce court métrage de la bédéiste et cinéaste d’animation québécoise Diane Obomsawin (alias Obom), Charlotte, Mathilde, Marie et Diane racontent avec franchise et candeur leurs premières histoires d’amour. Du coup de foudre à sens unique à l’attirance mutuelle, pour chacune d’entre elles, le moment de l’éveil sexuel a rejoint une prise de conscience identitaire : la découverte du désir homosexuel!
Vous aimez ce film? Affichez vos couleurs en vous procurant l'un de ces articles à son effigie!
Court métrage d’animation dessiné à l'encre noire. D’un trait vif, les images dépouillées se bousculent en une suite de métamorphoses à la fois troublantes et saisissantes : danseuse nue dans un bar, une jeune femme se remémore un moment de sa vie. Enfant, elle a reçu la visite d'un homme qui l'a agressée sexuellement. Périple intérieur douloureux , Le chapeau nous fait partager la douleur d'une femme à la mémoire maculée qui s'offre au regard des hommes.
Court métrage poétique sur l’enfance, qui mélange différentes techniques d’animation, de prise de vue réelle et de photographie. Un film sur le déchirement des parents qui embrassent d'un même regard le débordement de vie de leurs enfants et le monde dans lequel ils glissent tout doucement, sur l'effort jamais conclu de naître, de vivre et de comprendre.
Manivald le renard vient d’avoir 33 ans. Surdiplômé, chômeur et plutôt coincé, il habite avec sa mère, une retraitée dominatrice : une vie facile, certes, mais terne. Cette dépendance mutuelle est toutefois chamboulée par une machine à laver en panne et un réparateur nommé Toomas, jeune loup sexy et aventurier venu à la rescousse.
Animation mettant en scène un petit homme de sable, qui avec l'aide de ses amis, se construit un château pour se protéger du vent. Mais la tempête ne lui facilite pas la tâche... Film sans paroles.
Ce court métrage d'animation d'Eugene Fedorenko raconte l'histoire d'un enfant rejeté et recueilli par deux clochards. Ce film, qui a remporté l'Oscar® du meilleur court métrage d'animation en 1979, a été réalisé pour commémorer la déclaration de l’UNICEF sur les droits de l’Enfant. Il illustre le principe suivant : «L'enfant a droit, dès sa naissance, à un nom et à une nationalité. » Un court métrage sans parole avec la participation des Mimes électriques au bruitage.
Court métrage d’animation racontant l’histoire de Meena. Son nom signifie « poisson » en sanskrit, n'aime pas lire. En fait, elle déteste tout ce qui se rapporte aux livres et à la lecture. Cela inquiète ses parents qui, eux, aiment bien les livres. Ou plutôt ils les adorent au point d'en lire trois à la fois. Un jour, en cherchant Max, son chaton, Meena pénètrera dans l'univers magique des livres, une découverte qui changera toute sa vie. D'après le livre de Manjusha Pawagi. De la collection Les petits conteurs 2.
Âge 10 à 15 ans
Diversité - Identité
Médias - Film d'animation
Sciences humaines - Enjeux contemporains
Ici par ici est un court métrage d’animation qui présente certaines expériences qu’Obom, la cinéaste, a vécues dans son enfance passée à la fois au Canada et en France après le divorce de ses parents. Les élèves pourront discuter de leurs réflexions au sujet des expériences d’Obom, ou écrire sur ce sujet. De nombreux élèves savent déjà ce que c’est de vivre à deux endroits, mais dans ce cas-ci, l’histoire se passe sur deux continents. Quelle incidence cette distance peut-elle avoir sur les relations familiales? Quelles sont vos impressions au sujet des endroits où se passe cette histoire en France et au Canada? Pouvez-vous repérer des indices de l’identité culturelle canadienne et française dans le film? Décrivez le style artistique unique d’Obom. Qu’ajoute-t-il à l’histoire?