Court métrage poétique sur l’enfance, qui mélange différentes techniques d’animation, de prise de vue réelle et de photographie. Un film sur le déchirement des parents qui embrassent d'un même regard le débordement de vie de leurs enfants et le monde dans lequel ils glissent tout doucement, sur l'effort jamais conclu de naître, de vivre et de comprendre.
Court métrage d’animation racontant l’histoire d’une jeune fille et de sa grand-mère. Lorsque ses parents la quittent pour la première fois, Madeleine leur dit au revoir les larmes aux yeux. Heureusement, grand-mère est là pour la consoler. Sa maison cache toutes sortes de surprises. Il y a même un coffre rempli d'élégants costumes pour se déguiser. Ensemble, la grand-mère et sa petite-fille jouent et cuisinent. Peu à peu, Madeleine découvre que grand-mère sait comment s'amuser. Film sans paroles.
En 1978, Pierre Hébert utilise le court métrage documentaire et l’animation pour s’inscrire en faux dresser une charge contre un système capitaliste qui exclut systématiquement une main d’œuvre vouée au chômage. Grâce à l’animation, aux compositions originales et à des moments audios et vidéos captés sur le vif, Entre chiens et loup donne nous permet d’avoir un aperçu d’une vie qui reste bien monotone malgré les bouleversements sociaux qui marquent le pays.
Le 34e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
Tiré d'une nouvelle de Mordecai Richler, ce film d'animation raconte le drame vécu par les familles où l'un des membres est devenu impotent. Les magnifiques dessins de la cinéaste marient magistralement sobriété et souci du détail pour insuffler vie aux personnages.
Réalisé avec le concours de spécialistes, ce film d'animation campe le personnage de l'enfant, du premier jour à l'adolescence, et montre le rôle que jouent dans sa vie ceux qui participent de près à son éducation. Des suggestions et des conseils sont donnés aux jeunes mères et aux instituteurs qui, plus que quiconque, doivent favoriser l'épanouissement psychologique de l'enfant par la connaissance de son univers.
Le 65e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
La grand-mère de Torill Kove lui racontait souvent des histoires. L'une en particulier tournait autour du repassage des chemises du roi de Norvège. Et si ce détail insolite n'était que la pointe de l'iceberg? Peut-être avait-elle travaillé secrètement dans la résistance norvégienne...? ou avait-elle même pris la tête d'un mouvement de guérilla d'un genre nouveau! Tissant l'intrigue à partir de faits personnels, Torill Kove suit le fil d'une histoire familiale, qu'elle enjolive en chemin avec beaucoup de drôlerie. Elle rend de façon inventive la vie et le travail de sa grand-mère à Oslo, particulièrement pendant la Deuxième Guerre mondiale. Elle mêle avec brio et imagination les contes qu'elle lui racontait avec les événements historiques et la fantaisie et montre comment un épisode de la vie familiale peut atteindre au mythe.
C'est l'été et Ludovic est invité à passer quelques jours chez son grand-père. Le petit ourson est heureux de retrouver grand-papa, mais il se rappelle avec tristesse que grand-maman n'est plus là. Une pièce remplie de souvenirs attire l'ourson qui, après un moment d'hésitation, décide d'y pénétrer. Le portrait de grand-maman est là, Ludovic l'étreint. Les visites au boudoir se multiplient et, petit à petit, le portrait s'anime. Ludovic peut l'embrasser, la serrer contre lui, mettre sa musique préférée et lui tendre la main pour une dernière valse... Une histoire attachante où l'émotion est mise en relief par la musique de Daniel Lavoie. Un grand moment d'intimité et de complicité entre un grand-père et son petit-fils qui apprivoisent tranquillement le deuil de grand-maman.
Court métrage d’animation touchant et drôle, qui nous invite à voir la ménopause comme une étape positive. Mabelle jongle sans cesse pour concilier son travail avec les besoins de ses adolescents et de sa mère âgée, quand la vie lui présente un nouveau défi : les bouffées de chaleur et les poils au menton
Ce court métrage d’animation raconte l'histoire d'une jeune femme au visage disgracieux qui écrit des romans à succès, au loin, sur une île... Pendant ce temps, sa sœur Marie, son unique compagne, veille à leurs besoins quotidiens. Un beau jour, elles reçoivent la visite d'un étranger qui vient rompre l'harmonie de leur solitude à deux... Sur le ton de la nouvelle, cette saisissante étude de caractère nous transporte dans un univers trouble où la dépendance prend plusieurs visages. Réalisé par mode de gravure sur pellicule 70 mm teintée, puis tourné au banc-titre.
Ce court métrage d’animation, d’après le livre de Rachna Gilmore, raconte l’histoire de la petite Gita, huit ans. Elle a très hâte de célébrer dans son nouveau pays le Divali, le festival hindou des lumières. Mais tout est différent de New Delhi, d'où elle vient. Ici, le temps est froid et gris, et une terrible tempête de verglas coupe le courant et ruine ses plans de fête. Pourtant, devant la beauté scintillante des rues glacées, le traditionnel festival de lumières prend une merveilleuse tournure...
La collection Les petits conteurs est une vibrante et exceptionnelle série de courts métrages d'animation pour les enfants de cinq à neuf ans. Tiré d'un livre, chaque film reprend un célèbre conte interculturel pour enfants, qui amène les jeunes spectateurs à suivre des personnages fascinants et une trame dramatique dynamique, tout en stimulant leur imagination avec des animations finement fignolées.
Court métrage d’animation sur Léon, un petit garçon chauve qui aime beaucoup son grand-père. Il aime la barbe hirsute du vieil homme, cette grosse masse de poils noirs qui semble douée de pouvoirs magiques. Sa grand-mère, par contre, voudrait bien la couper pour que son mari retrouve l'allure distinguée de ses jeunes années. Léon, toutefois, veille au grain : tant que grand-père vivra, la barbe restera! Mais voilà qu'un bon matin grand-père ne se réveille pas. Léon est triste, d'autant plus que sa grand-mère en profite pour lui raser le visage. Adieu la sainte barbe qui lui couvrait le menton… Pour conjurer sa peine, Léon creuse une fosse, au cœur de la forêt, dans laquelle il dépose son précieux secret. Film sans paroles.
Une courtepointe pour grand-maman traite de l'amour, de la vie et du changement. La maison où grand-maman a vécu plus de la moitié de son existence regorge de souvenirs qui lui réchauffent le coeur. Ce jour-là, la maison est vide : tous les fragments de sa vie se trouvent soigneusement rangés dans des caisses. Grand-maman va emménager dans une résidence pour aînés, où elle ne connaît personne. Sa petite-fille Émilie observe le déroulement des opérations. Émilie sent bien que sa grand-mère n'est pas sûre d'aimer sa nouvelle maison. Désireuse d'alléger le poids que représente pour son entourage un changement aussi important, la petite fille décide de faire quelque chose
Âge 15 à 17 ans
Sciences humaines - Enjeux contemporains
Économie domestique/Étude de la famille - Développement chez l'enfant
Ce film utilise bien le concept du développement psychomoteur et de la perception d’autrui de l’enfant. À partir des images d’enfants du tiers monde, on peut exploiter l’idée de l’apprentissage d’un l’enfant né dans une société d’abondance afin d’entamer un débat au sujet du monde occidental et des pays en voie de développement. Ainsi, les élèves prendront conscience des différences, ce qui fera développer leur esprit critique.