Manivald le renard vient d’avoir 33 ans. Surdiplômé, chômeur et plutôt coincé, il habite avec sa mère, une retraitée dominatrice : une vie facile, certes, mais terne. Cette dépendance mutuelle est toutefois chamboulée par une machine à laver en panne et un réparateur nommé Toomas, jeune loup sexy et aventurier venu à la rescousse.
Dans ce court métrage de la bédéiste et cinéaste d’animation québécoise Diane Obomsawin (alias Obom), Charlotte, Mathilde, Marie et Diane racontent avec franchise et candeur leurs premières histoires d’amour. Du coup de foudre à sens unique à l’attirance mutuelle, pour chacune d’entre elles, le moment de l’éveil sexuel a rejoint une prise de conscience identitaire : la découverte du désir homosexuel!
Vous aimez ce film? Affichez vos couleurs en vous procurant l'un de ces articles à son effigie!
Présentée par l’ONF, Canal+ et Sacrebleu, la collection Chroniques du 9e art rend hommage à la grande affinité entre deux formes d’art : la bande dessinée et le cinéma d’animation. À travers 4 histoires de 3 minutes tirées du quotidien, elle révèle le style et l’imaginaire fascinant de créateurs québécois (Guy Delisle, Zviane) et français (Aude Picault, Lewis Trondheim, Jean Matthieu Tanguy) renommés. Découvrez l’humour, la créativité et la fantaisie de ces bédéistes devenus réalisateurs. La pureté de l’enfance L’écoute d’une cassette retrouvée transporte la bédéiste Zviane vers son enfance. Basé sur un enregistrement réel, ce film hilarant traduit avec un style ludique l’imaginaire des enfants. Une fenêtre sur le quotidien, signée Chroniques du 9e art.
Sorti en 1992, ce long métrage documentaire remastérisé en HD fait plonger le spectateur dans la riche histoire de l’expérience lesbienne telle qu’elle était vécue au Canada au milieu du 20e siècle. Entrevues contemporaines, métrage d’archives et fiction inspirée des romans de gare des années 1950 s’entrecroisent dans ce film à la fois drôle, émouvant et libérateur.
Court métrage de pâte à modeler sur table lumineuse, qui donne vie avec beaucoup de sensibilité aux diverses émotions qui tissent le quotidien de John et Michael. Le film transcende nos idées préconçues sur la déficience, la sexualité et la mort. Dans ce récit fortement touchant, les différences s'évanouissent. L'amour n'est-il pas le propre de la condition humaine!
Gagnant de plus de 35 prix à l'international, La maison du hérisson est un film d'animation d’Eva Cvijanović inspiré de la célèbre histoire de l'auteur ex-yougoslave, Branko Ćopić. Un conte chaleureux et universel qui rappelle à tous qu’on n’est jamais mieux que chez soi.
Présentée par l’ONF, Canal+ et Sacrebleu, la collection Chroniques du 9e art rend hommage à la grande affinité entre deux formes d’art : la bande dessinée et le cinéma d’animation. À travers 4 histoires de 3 minutes tirées du quotidien, elle révèle le style et l’imaginaire fascinant de créateurs québécois (Guy Delisle, Zviane) et français (Aude Picault, Lewis Trondheim, Jean Matthieu Tanguy) renommés. Découvrez l’humour, la créativité et la fantaisie de ces bédéistes devenus réalisateurs. La dent Pourquoi la petite souris n’a-t-elle pas récupéré la dent laissée sous l’oreiller? Le Québécois Guy Delisle renoue avec son célèbre «?mauvais père?» pour illustrer avec humour la paternité. Une fenêtre sur le quotidien, signée Chroniques du 9e art.
Dans ce court métrage d’animation autobiographique, Diane Obomsawin (dit Obom) raconte avec humour et lucidité les grandes étapes de son enfance, vécue entre Montréal et la France. De l’Expo 67 au divorce de ses parents, en passant par ses années passées au lycée, la cinéaste dessine le portrait de sa famille et expose la relation qu’elle entretient avec les lieux et les événements qui ont marqué sa jeunesse.
Film d'animation dévoilant le récit d'une relation hors de l'ordinaire, toute de tendresse et de complicité. Ce film témoigne des bouleversements physiques et psychologiques qui se vivent, pour un grand-papa et son petit-fils, au fil des ans. Voilà ainsi posée une douce réflexion sur le caractère changeant des choses et de la vie.
New York, 1905. L’inventeur visionnaire Nikola Tesla fait un ultime appel à J.P. Morgan, son mécène de jadis… Inspiré de faits réels, ce court métrage électrisant est une spectaculaire explosion audiovisuelle puisant son énergie autant dans le documentaire animé que dans les références au cinéma d’avant-garde.
Imparfaite, l’animation d’Andrea Dorfman, illustre avec élégance le rapport du personnel à l’universel. Portant moins sur la compatibilité entre une fille et un garçon, que sur la capacité de cette fille de s’accepter avec ses imperfections, Imparfaite célèbre à la fois la naissance de l’amour et celle du film lui-même.
Un pilote de guerre traumatisé atterrit en catastrophe par la fenêtre de son appartement. En rentrant du travail, son épouse découvre qu’il a maintenant une turbine d’avion à la place du visage et qu’il est tombé amoureux du ventilateur de plafond de la cuisine. Pour sauver leur mariage qui bat de l’aile, elle décide qu’elle ne laissera plus son humanité se mettre en travers de leur amour.
Les évaluations professionnelles et les guides pédagogiques pour cette œuvre sont réservés aux abonnés CAMPUS.
Des fonctionnalités conçues simplement pour les profs.En savoir plus
Déjà abonné? Connectez-vous