This short film introduces kids to sculptor Ron Noganosh, who transforms items like rusted hubcaps and computer parts into art. Inspired by Ron's found-object sculptures, a group of primary school students discover how to turn "junk" into art. Part of the
Ron Noganosh est un sculpteur et un artiste-installateur de grande réputation, qui transforme des objets du quotidien - enjoliveurs rouillés, pièces d'ordinateur, plumes - en objets d'art aussi amusants et ingénieux qu'évocateurs.
S'inspirant des sculptures de Ron créées à partir d'objets trouvés, les élèves découvrent comment transformer des rebuts en objets d'art. Des thèmes sur l'identité personnelle et culturelle se dégagent alors qu'ils développent leurs habiletés et leur confiance en eux, tout en découvrant un monde de possibilités créatrices.
Placé sous le signe du respect de l'environnement et de l'identité culturelle, Moi, je fais de l'art comme Ron Noganosh propose aux enfants une nouvelle façon de créer des objets d'art et d'exprimer avec force leur point de vue sur le monde.
Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
Série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels. Andrew Qappik est un graveur inuit de renommée mondiale vivant à Pangnirtung, au Nunavut. D'abord inspiré par les images des bandes dessinées qu'il lisait quand il était enfant, Andrew puise aujourd'hui ses sujets dans les histoires, les traditions et les événements quotidiens de son univers.
Dans Moi, je fais de l'art comme Andrew Qappik, il fascine les élèves en créant sous leurs yeux une gravure en relief en utilisant une pierre à savon comme support. Puis, c'est au tour des enfants. Explorant l'imagerie symbolique d'Andrew, ils créent dans la mousse de polystyrène une gravure en relief représentant leur autoportrait.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Maud Lewis puisait dans ses souvenirs les plus heureux pour peindre des images tout à fait charmantes inspirées de son univers. Souffrant d'incapacité physique depuis sa jeunesse, la célèbre artiste néo-écossaise tirait un immense plaisir à peindre des scènes de la vie rurale sur des toiles, des cartes de souhait et même sur les murs de la minuscule pièce qui lui servait de maison.
Dans Moi, je fais de l'art comme Maud Lewis, des élèves de 6e année s'inspirent de sa vie et de son oeuvre hors du commun. Avec l'aide de l'artiste en art populaire Kyle Jackson, ils peignent un tableau représentant leur quartier du centre-ville.
Instructif, profondément touchant et animé par la magie de la création Moi, je fais de l'art comme Maud Lewis témoigne du pouvoir et du plaisir tout simple de l'art populaire.
Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
Portrait documentaire d'Emily Carr, l'une des artistes canadiennes les plus réputées et les plus aimées. Peintre, écrivaine et esprit libre, elle fut profondément influencée par les forêts côtières de la Colombie-Britannique et par l'art et la culture autochtones de la côte du Nord-Ouest. Dans Moi, je fais de l'art comme Emily Carr, les enfants explorent l'univers inusité de l'artiste et les sources d'inspiration de ses paysages envoûtants.Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
Portrait documentaire de Marcelle Ferron, l'une des figures dominantes de l'art contemporain au Québec et au Canada. On y apprend qu'enfant, la maladie l'a obligée à effectuer de fréquents séjours dans une chambre d'hôpital triste et sombre, ce qui a fait naître chez elle une passion pour la lumière et la couleur. Dans Moi, je fais de l'art comme Marcelle Ferron, les élèves sont exposés à de l'art abstrait contemporain et découvrent l'univers lumineux de Ferron. Inspirés, ils créent leurs propres oeuvres, jouant avec la texture et la transparence de la cellophane et de la peinture. Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, lequel jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
Le sculpteur Kai Chan nous met au défi de voir la beauté dans des choses ordinaires. Artiste en arts visuels de grande renommée, Chan a l'incroyable capacité de transformer les matières les plus banales - des fragments d'arbres ou des sacs à provision en plastique - en de magnifiques oeuvres d'une extrême délicatesse.
Dans Moi, je fais de l'art comme Kai Chan, il partage sa philosophie artistique de l'économie et de la répétition avec de jeunes artistes qui créent d'extraordinaires structures en 3D d'une grande complexité, en utilisant des matières simples et en appliquant des techniques de base.
À la fois ludique et puissant, Moi, je fais de l'art comme Kai Chan démythifie le processus créatif et nous incite à nous arrêter pour prendre le temps de regarder autrement le monde qui nous entoure.
Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
Cinquantième film de la réalisatrice Alanis Obomsawin, Le chemin de la guérison rend compte de l’enrichissement d’une communauté crie du Manitoba grâce à l’éducation. À Norway House, l’école Helen Betty Osborne bénéficie d’un financement dont jouissent peu d’établissements autochtones. L’œuvre transmet un message d’espoir : avec un encadrement scolaire adéquat, intégrant leur histoire, leur langue et leur culture, les jeunes Autochtones peuvent réaliser leurs aspirations.
Aussi disponible dans le coffret DVD Alanis Obomsawin, un héritage
Kwa'nu'te est un chant de paix qui invoque chez certains autochtones le pouvoir de la création, une façon de faire revivre les esprits et de leur rendre hommage en tentant d'apporter, grâce à eux, un peu d'apaisement dans un monde de plus en plus tourmenté. Les huit artistes micmacs et malécites du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-Écosse dépeints dans ce film partagent tous à divers degrés cette conscience spirituelle.
Ce court métrage documentaire relate les événements entourant le retour définitif du totem G'psgolox chez lui, à Kitamaat. Dans Le totem d'origine de G'psgolox, tourné pour l'ONF en 2003, le cinéaste Gil Cardinal documentait le long combat de la nation Haisla de la Colombie-Britannique pour récupérer un totem mortuaire retrouvé dans un musée à Stockholm, en Suède. Malgré d'intenses efforts, les Haisla n'avaient pas réussi à rapatrier leur totem. Or, en 2007, le musée suédois décide de rendre le précieux objet à ses propriétaires légitimes.
À l’âge de 22 ans, le sculpteur d’origine haïda Robert Davidson a grandement contribué à changer l’histoire des gens de sa communauté. Grâce au soutien de sa famille, il a pu sculpter le tout premier totem du village de Old Masset en près d’un siècle. Avec des animations spectaculaires, des entrevues touchantes et des images d’archives, Maintenant plus que jamais dépeint le portrait de trois générations des clans de l’Aigle et du Corbeau qui ont travaillé ensemble à ériger le totem à la manière de leurs ancêtres jusqu’à ce qu’il trône, fort et fier.
Ce court métrage documentaire nous fait connaître les adeptes du mouvement automatiste, une forme d’art abstrait créée à Montréal par Paul-Émile Borduas. Les Automatistes expliquent la nature de ce mouvement artistique d’avant-garde au narrateur Bruce Ruddick lorsque celui-ci passe un moment dans leur atelier, visite le peintre Paterson Ewen chez lui et se joint aux habitués de l’Échouerie, lieu de rendez-vous des artistes. Robert Hubbard, conservateur en chef du Musée des beaux-arts du Canada, s’exprime sur l’art non figuratif en général et l’automatisme en particulier.
Âge 9 à 12 ans
Domaine des arts - Arts plastiques
Domaine des arts - Arts visuels
Études autochtones - Les arts
Qu’est-ce que les élèves ont appris à propos de l’art? De la culture? Dirigez une discussion de classe sur le fait d’utiliser l’art pour raconter une histoire. Invitez les élèves à faire de l’art à partir d’objets trouvés et demandez-leur d’expliquer leur œuvre à leurs parents et à leurs camarades de classe.