Portrait documentaire de Marcelle Ferron, l'une des figures dominantes de l'art contemporain au Québec et au Canada. On y apprend qu'enfant, la maladie l'a obligée à effectuer de fréquents séjours dans une chambre d'hôpital triste et sombre, ce qui a fait naître chez elle une passion pour la lumière et la couleur. Dans Moi, je fais de l'art comme Marcelle Ferron, les élèves sont exposés à de l'art abstrait contemporain et découvrent l'univers lumineux de Ferron. Inspirés, ils créent leurs propres oeuvres, jouant avec la texture et la transparence de la cellophane et de la peinture. Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, lequel jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
Portrait documentaire d'Emily Carr, l'une des artistes canadiennes les plus réputées et les plus aimées. Peintre, écrivaine et esprit libre, elle fut profondément influencée par les forêts côtières de la Colombie-Britannique et par l'art et la culture autochtones de la côte du Nord-Ouest. Dans Moi, je fais de l'art comme Emily Carr, les enfants explorent l'univers inusité de l'artiste et les sources d'inspiration de ses paysages envoûtants.Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
Documentaire sur les plus grands peintres du Québec : Suzor-Côté, Clarence Gagnon, Marc-Aurèle Fortin, Alfred Pellan, Henri Masson, Jean-Paul Lemieux et André Biéler.
Court métrage documentaire réalisé autour de deux thèmes principaux : la découverte de l'art moderne, à Paris, par l'artiste et sa volonté de le faire connaître au Canada. Le film expose également sa démarche et sa réponse à la question : « Qu'est-ce que l'art moderne? »
Long métrage documentaire sur Jean-Jules Soucy, artiste originaire de La Baie au Saguenay, lequel possède une forte imagination et un grand sens de l’humour. Il utilise les objets de son quotidien – pelures d’oignons, serpillières industrielles, sacs en papier, cartons de lait – pour en faire des œuvres d’art rigolotes et lucides. Drôle d’artiste ou artiste drôle, Soucy aime les jeux de mots et les images qui font réfléchir aux (sérieux) problèmes socio-environnementaux.
Fascinant portrait d'un peintre et d'un sculpteur doué d'une rare fougue créatrice, ce long métrage documentaire ravive le souvenir de Marc-Aurèle de Foy Suzor-Coté, un artiste de premier plan au nom familier, mais à l'œuvre trop souvent oubliée. Réalisé par Serge Giguère, Suzor-Coté est le premier film consacré à ce créateur québécois, originaire d'Arthabaska.
Documentaire sur Paul-Émile Borduas. Au-delà de quarante ans de peinture, Borduas est le chef de file de toute une génération. Ce film, citant de nombreux textes du peintre, est une véritable ouverture sur la peinture moderne et sur la vie tout simplement.
Recréant les sons ambiants du jardin où Vincent Van Gogh a peint Les Iris, ce court métrage d'animation illustre, de manière progressive, la réalisation de la célèbre toile. Tandis que le tableau prend forme, une voix nous rappelle l'ascension fulgurante de cette œuvre à l'occasion de sa vente aux enchères par la firme Sotheby's à New York en 1987.
Documentaire consacré à l'artiste-peintre Miyuki Tanobe, Québécoise d'adoption, originaire du Japon. Elle peint à l'aide de techniques orientales anciennes des scènes du Québec traditionnel qui se vendent comme des pièces de collection. Personnage attachant qui a vaincu la servitude féminine de l'Orient et conquis son autonomie personnelle sous le soleil d'Occident, elle nous livre un personnage attachant.
Ron Noganosh est un sculpteur et un artiste-installateur de grande réputation, qui transforme des objets du quotidien - enjoliveurs rouillés, pièces d'ordinateur, plumes - en objets d'art aussi amusants et ingénieux qu'évocateurs.
S'inspirant des sculptures de Ron créées à partir d'objets trouvés, les élèves découvrent comment transformer des rebuts en objets d'art. Des thèmes sur l'identité personnelle et culturelle se dégagent alors qu'ils développent leurs habiletés et leur confiance en eux, tout en découvrant un monde de possibilités créatrices.
Placé sous le signe du respect de l'environnement et de l'identité culturelle, Moi, je fais de l'art comme Ron Noganosh propose aux enfants une nouvelle façon de créer des objets d'art et d'exprimer avec force leur point de vue sur le monde.
Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
Le sculpteur Kai Chan nous met au défi de voir la beauté dans des choses ordinaires. Artiste en arts visuels de grande renommée, Chan a l'incroyable capacité de transformer les matières les plus banales - des fragments d'arbres ou des sacs à provision en plastique - en de magnifiques oeuvres d'une extrême délicatesse.
Dans Moi, je fais de l'art comme Kai Chan, il partage sa philosophie artistique de l'économie et de la répétition avec de jeunes artistes qui créent d'extraordinaires structures en 3D d'une grande complexité, en utilisant des matières simples et en appliquant des techniques de base.
À la fois ludique et puissant, Moi, je fais de l'art comme Kai Chan démythifie le processus créatif et nous incite à nous arrêter pour prendre le temps de regarder autrement le monde qui nous entoure.
Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
Téléfilm se questionnant sur les arts plastiques au Québec ainsi que sur le rôle de l'artiste dans la société actuelle. Peintres, sculpteurs, critiques d'art, directeurs de musées et de galeries, esthéticiens industriels reconnaissent qu'un fossé les sépare du peuple, mais croient qu'un jour, l'art pourra sortir de son isolement et envahir la place publique.
Âge 9 à 12 ans
Guide pédagogique - Guide 1
Domaine des arts - Arts plastiques
Santé/Formation personnelle - Solutionner des problèmes et résoudre des conflits
Ce film s'intègre parfaitement à un cours d’arts plastiques mais aussi à un cours sur la santé personnelle. D'après vous, ce processus est-il bénéfique pour la gestion des émotions négatives? On pourrait demander aux élèves, comme devoir, de créer lorsqu'ils ressentent une émotion particulière et d’évaluer, par la suite, au moyen d'un questionnaire, l'évolution de l'émotion en question.