Dans ce troisième court métrage documentaire de la série La cité idéale, l'historien américain Lewis Mumford illustre l’importance de maintenir un équilibre sain entre la ville et la campagne. Il met en garde contre une extension désordonnée de la ville qui peut nuire au bien-être physique, moral et intellectuel de ses habitant.
Dans ce quatrième court métrage documentaire de la série La cité idéale, l'historien américain Lewis Mumford réfléchit sur le cœur des grandes villes. Plus qu’un simple point de convergence pour les citadins de la périphérie, le centre de la ville est un carrefour d’échanges, un lieu de tous les possibles.
Dans ce sixième court métrage documentaire de la série La cité idéale, l'historien américain Lewis Mumford propose diverses pistes de solution pour mieux repenser et réaménager les villes actuelles et celles du futur.
Dans ce cinquième court métrage documentaire de la série La cité idéale, l'historien américain Lewis Mumford examine le problème de la surpopulation et des inégalités sociales dans les villes. Comment améliorer les standards de vie de tous les citadins?
La Toile d'araignée est un film en cinq parties sur la pratique des arts visuels au Québec. Cette première partie porte sur la création visuelle et l'enfant.
Téléfilm se questionnant sur les arts plastiques au Québec ainsi que sur le rôle de l'artiste dans la société actuelle. Peintres, sculpteurs, critiques d'art, directeurs de musées et de galeries, esthéticiens industriels reconnaissent qu'un fossé les sépare du peuple, mais croient qu'un jour, l'art pourra sortir de son isolement et envahir la place publique.
Hommage aux artistes d'ici et à la place qu'ils occupent dans notre société, La Toile blanche nous plonge au coeur de la création. Une quinzaine d'artistes, jeunes et moins jeunes, expriment leurs points de vue face à l'argent et au marché tout-puissant de l'art. Ils mettent en lumière les enjeux de leur production récente, leurs sources d'inspiration et les préoccupations écologiques, sociales et politiques qui les habitent.
Ce long métrage documentaire débute avec une carte postale en provenance de Vienne. Celle-ci déclenche une vaste opération visant à retrouver un mystérieux personnage: le peintre Évariste Quesnel. Dans une enquête qui recueille les propos de critiques d'art, de penseurs, de philosophes et d'artistes représentatifs s'esquisse un passionnant tableau qui nous permet de suivre, à la trace, les grandes étapes de l'histoire de l'art moderne au Québec.
Recréant les sons ambiants du jardin où Vincent Van Gogh a peint Les Iris, ce court métrage d'animation illustre, de manière progressive, la réalisation de la célèbre toile. Tandis que le tableau prend forme, une voix nous rappelle l'ascension fulgurante de cette œuvre à l'occasion de sa vente aux enchères par la firme Sotheby's à New York en 1987.
La Toile d'araignée est un film en cinq parties sur la pratique des arts visuels au Québec. La troisième partie porte sur la création intégrée à un mode de vie : «Les Créateurs Associés de Val-David».
Ce long métrage documentaire recueille l'essentiel de la pensée d'un bon nombre de peintres, sculpteurs, critiques d'art, architectes, directeurs de musées et de galeries que la rupture artistes-société inquiète. En outre, il donne au grand public l'occasion d'émettre ses opinions sur les œuvres dont la beauté et la signification échappent parfois. L'art pourra-t-il un jour sortir de son isolement? Plaidoyer en faveur du droit de tout être humain à l'expression, ce film réuni, entre autres, Armand Vaillancourt, Marcel Rioux, Gilles Hénault, Marcelle Ferron, Claude Jasmin et Jean-Paul Mousseau.
La Toile d'araignée est un film en cinq parties sur la pratique des arts visuels au Québec. Cette deuxième partie porte sur le scandale comme véhicule du message de la production visuelle.
La Toile d'araignée est un film en cinq parties sur la pratique des arts visuels au Québec. La quatrième partie porte sur la création en photographie et dans le cinéma d'animation.
Film spectaculaire tourné à l'occasion du premier symposium de sculpture en Amérique du Nord, tenu à Montréal, du 23 juin au 15 août 1964. La bande sonore du film est l'oeuvre de Pierre Mercure. Elle est constituée de sons concrets, de sons métaux et de sons provenant des cuivres de l'orchestre.
Invitation au voyage, ce long métrage trace un pont entre jadis et désormais à partir de souvenirs ciselés. Film personnel de Jacques Giraldeau, cette œuvre se déploie en une mosaïque de vestiges et d'images captés au fil des ans, au fil d'une vie. On y retrouve Évariste Quesnel, personnage énigmatique que l'on suit de Cuba à l'Île-aux-Grues, sans pouvoir le saisir, laissant telle une empreinte, l'endroit où il n'est plus. En sillonnant les fragments d'hier et d'aujourd'hui laissés pour la mémoire, le cinéaste inscrit l'art comme archive de la réalité. Où se vit, en quelque sorte, une fin de l'effritement du temps.
Une enquête sociologique passionnante sur le système de l'art, l'argent et les artistes. Le Tableau noir dévoile les rouages complexes de cette vaste machine à travers l'expérience personnelle et les réflexions critiques de divers spécialistes du milieu de l'art au Québec : collectionneurs, marchands, propriétaires de galeries, directeurs de musées, critiques, historiens d'art et artistes.
Documentaire sur le travail accompli par cinq étudiants en architecture. Leur projet, rénover une rue de Montréal, aidés par les résidents eux-mêmes. Un film propre à inspirer de salutaires leçons à ceux qui désirent oeuvrer auprès des classes sociales défavorisées des grandes villes.
Un film «fraternel» qui décrit en images et en dialogues saisissants la pauvreté matérielle et morale d'un petit village de la Gaspésie. Ce document recueilli d'après la méthode de l'animation sociale est inséré dans le contexte de certains milieux privilégiés de Montréal, faisant ressortir le mur d'indifférence et d'ignorance qui sépare, au Québec même, les bien-nantis des populations déshéritées.
Ce long métrage documentaire présente Montréal sous toutes ses coutures, dans tous ses replis... Montréal baignée dans toutes ses lumières, été comme hiver, revisitée par un cinéaste amoureux de ses rues, de ses ruelles, de ses quartiers, de ses parcs, de son fleuve, de ses églises, de ses édifices... Visages d'hier et d'aujourd'hui. Une ville disparate, de verre et de béton, façonnée par des architectes qui lui ont donné un corps et... une âme!
Inspiré d’une citation de William Shakespeare sur la vie « racontée par un idiot, pleine de bruit et de fureur, qui ne signifie rien », ce court métrage d’animation se penche sur les passions de l’humain et sa tendance à l’autodestruction. Le résultat, Opéra zéro, est un film complexe et fascinant fait à partir de papiers découpés, de dessins, de xérographie, de photographies, d’impressions et de gravures, animés à partir de plus 50 000 manipulations différentes.
Court métrage documentaire sur les attractions incontournables du Vieux-Montréal dans les années 1960. Promenade dans la rue de la Friponne, la petite rue Dickens, à la place Royale et au théâtre des Saltimbanques. Les édifices modernes se multiplient, défilent sous nos yeux, émergeant de ce monde historique et répondant à l’activité débordante de la ville. Film sans paroles.