La Toile d'araignée est un film en cinq parties sur la pratique des arts visuels au Québec. La troisième partie porte sur la création intégrée à un mode de vie : «Les Créateurs Associés de Val-David».
Ce long métrage documentaire recueille l'essentiel de la pensée d'un bon nombre de peintres, sculpteurs, critiques d'art, architectes, directeurs de musées et de galeries que la rupture artistes-société inquiète. En outre, il donne au grand public l'occasion d'émettre ses opinions sur les œuvres dont la beauté et la signification échappent parfois. L'art pourra-t-il un jour sortir de son isolement? Plaidoyer en faveur du droit de tout être humain à l'expression, ce film réuni, entre autres, Armand Vaillancourt, Marcel Rioux, Gilles Hénault, Marcelle Ferron, Claude Jasmin et Jean-Paul Mousseau.
Film spectaculaire tourné à l'occasion du premier symposium de sculpture en Amérique du Nord, tenu à Montréal, du 23 juin au 15 août 1964. La bande sonore du film est l'oeuvre de Pierre Mercure. Elle est constituée de sons concrets, de sons métaux et de sons provenant des cuivres de l'orchestre.
Long métrage documentaire sur Jean-Jules Soucy, artiste originaire de La Baie au Saguenay, lequel possède une forte imagination et un grand sens de l’humour. Il utilise les objets de son quotidien – pelures d’oignons, serpillières industrielles, sacs en papier, cartons de lait – pour en faire des œuvres d’art rigolotes et lucides. Drôle d’artiste ou artiste drôle, Soucy aime les jeux de mots et les images qui font réfléchir aux (sérieux) problèmes socio-environnementaux.
Ce court métrage documentaire est un voyage intime et évocateur au plus profond du cœur, de l’esprit et du regard de Georgia O’Keeffe, d’Emily Carr et de Frida Kahlo – trois des artistes les plus remarquables du 20e siècle. Reprenant les mots de ces femmes, extraits de leur correspondance et de leurs journaux, le film met au jour trois démarches de création très personnelles dans toute leur subtile et fascinante diversité. En 30 minutes méticuleusement préparées et réalisées avec art, Désert Vent Feu présente par la photographie la vision qui inspire l’œil du peintre.
Ce long métrage documentaire débute avec une carte postale en provenance de Vienne. Celle-ci déclenche une vaste opération visant à retrouver un mystérieux personnage: le peintre Évariste Quesnel. Dans une enquête qui recueille les propos de critiques d'art, de penseurs, de philosophes et d'artistes représentatifs s'esquisse un passionnant tableau qui nous permet de suivre, à la trace, les grandes étapes de l'histoire de l'art moderne au Québec.
Téléfilm se questionnant sur les arts plastiques au Québec ainsi que sur le rôle de l'artiste dans la société actuelle. Peintres, sculpteurs, critiques d'art, directeurs de musées et de galeries, esthéticiens industriels reconnaissent qu'un fossé les sépare du peuple, mais croient qu'un jour, l'art pourra sortir de son isolement et envahir la place publique.
Recréant les sons ambiants du jardin où Vincent Van Gogh a peint Les Iris, ce court métrage d'animation illustre, de manière progressive, la réalisation de la célèbre toile. Tandis que le tableau prend forme, une voix nous rappelle l'ascension fulgurante de cette œuvre à l'occasion de sa vente aux enchères par la firme Sotheby's à New York en 1987.
Invitation au voyage, ce long métrage trace un pont entre jadis et désormais à partir de souvenirs ciselés. Film personnel de Jacques Giraldeau, cette œuvre se déploie en une mosaïque de vestiges et d'images captés au fil des ans, au fil d'une vie. On y retrouve Évariste Quesnel, personnage énigmatique que l'on suit de Cuba à l'Île-aux-Grues, sans pouvoir le saisir, laissant telle une empreinte, l'endroit où il n'est plus. En sillonnant les fragments d'hier et d'aujourd'hui laissés pour la mémoire, le cinéaste inscrit l'art comme archive de la réalité. Où se vit, en quelque sorte, une fin de l'effritement du temps.
Portrait documentaire d'Emily Carr, l'une des artistes canadiennes les plus réputées et les plus aimées. Peintre, écrivaine et esprit libre, elle fut profondément influencée par les forêts côtières de la Colombie-Britannique et par l'art et la culture autochtones de la côte du Nord-Ouest. Dans Moi, je fais de l'art comme Emily Carr, les enfants explorent l'univers inusité de l'artiste et les sources d'inspiration de ses paysages envoûtants.Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, qui jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
Portrait documentaire de Marcelle Ferron, l'une des figures dominantes de l'art contemporain au Québec et au Canada. On y apprend qu'enfant, la maladie l'a obligée à effectuer de fréquents séjours dans une chambre d'hôpital triste et sombre, ce qui a fait naître chez elle une passion pour la lumière et la couleur. Dans Moi, je fais de l'art comme Marcelle Ferron, les élèves sont exposés à de l'art abstrait contemporain et découvrent l'univers lumineux de Ferron. Inspirés, ils créent leurs propres oeuvres, jouant avec la texture et la transparence de la cellophane et de la peinture. Moi, je fais de l'art est une série de six courts métrages, lequel jette un regard d'enfant sur un groupe éclectique d'artistes canadiens en arts visuels.
Ce court métrage documentaire nous fait connaître les adeptes du mouvement automatiste, une forme d’art abstrait créée à Montréal par Paul-Émile Borduas. Les Automatistes expliquent la nature de ce mouvement artistique d’avant-garde au narrateur Bruce Ruddick lorsque celui-ci passe un moment dans leur atelier, visite le peintre Paterson Ewen chez lui et se joint aux habitués de l’Échouerie, lieu de rendez-vous des artistes. Robert Hubbard, conservateur en chef du Musée des beaux-arts du Canada, s’exprime sur l’art non figuratif en général et l’automatisme en particulier.
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