Remise des notes par le directeur adjoint. Explications concernant le déroulement des choix d’options. Avertissement : l’école n’est pas tenue de garder ceux qui ont 16 ans. Mario veut passer l’été en Floride. Le F. 35 en maths. Commentaires de l’équipe du journal sur l’école. Le préprofessionnel évalue son travail de la semaine ; exposé des objectifs et des méthodes du professeur. Daniel désavoue son groupe. Commentaires du directeur adjoint sur les élèves, les enseignants et les parents. Réunion des parents avec les maîtres.
Chronique d'une polyvalente. Le F. 11 en arts plastiques : ce n'est pas un choix; Daniel fait une recherche en peinture. Le F. 26 en religion: analyse de l'emploi du temps. Le F. 35 en français : étude de la Petite Patrie; peu de connaissances en histoire. Nouvelles valeurs des jeunes. Richard est mis à la porte du cours d'anglais. Religion : matérialisme de la société, anonymat. Le F. 11 en information scolaire et professionnelle : nécessité de réussir les cours obligatoires. «Faire cuire un oeuf en anglais.»
Chronique d’une polyvalente. Les examens de fin d’étape. Comment tricher. Journées pédagogiques : discipline, horaires. Cours d’anglais : « I find this case unusual ». Le F. 35 corrige l’examen de français. Changement de notes refusé. Le F. 11 en religion. Richard et Mario au conseil de discipline : « La soupe est chaude. »
Long métrage documentaire sur le décrochage, la démotivation des élèves et les dépressions des profs. En pénétrant le quotidien des cas difficiles de l'établissement montréalais placé au dernier rang du classement des écoles secondaires, Denys Desjardins balaye nombre de préjugés sur la qualité de l'enseignement dans les quartiers défavorisés et sur la délinquance des jeunes qui y vivent. Un film tout d'ambiance qui relance avec intelligence et sensibilité le débat sur l'école publique.
Documentaire sur des élèves d'une école secondaire francophone en Ontario. Bon nombre d'entre eux, issus de la francophonie, en sont à leurs premiers balbutiements dans la langue de Shakespeare. En s'attachant aux pas de quelques-uns d'entre eux, la réalisatrice montre la diversité et l'ampleur des défis que ces jeunes venus d'ailleurs ont à relever chaque jour.
Le documentaire retrace certains jeunes rencontrés durant le tournage du premier film en 1979. Retrouvant ces enfants qui avaient 15 ans en 1978, le cinéaste les a mis en face de leur passé. Il a capté sur le vif leurs commentaires émus, et il a essayé avec eux d'analyser ce passé. Il les a vus dans leur présent et il a sondé avec eux leur avenir, avec ces désirs et ces espoirs qui ne sont déjà plus des rêves...De grandes retrouvailles remplies d'émotion.
Long métrage documentaire sur la technologie au service de l’enseignement dans les écoles dans les années 1960. Réalisé par Claude Jutra, ce film est divisé en trois parties : Les réformes, La technologie intervient et La notion de programme, ainsi que de Trois épisodes de la révolution, soit les environnements réactionnels, la logique précoce et les futurs services publics.
Documentaire explorant l'hypersexualisation de notre environnement ainsi que ses effets nocifs sur les jeunes. Nos enfants sont-ils poussés à devenir de petits adultes avant l'heure? La réalisatrice dénonce la culture malsaine dans laquelle baignent les enfants et les adolescents. Proposant plusieurs pistes d'action afin de lutter contre l'hypersexualisation et l'érotisation de l'enfance, le film nous invite à nous mobiliser pour mettre un terme à ce phénomène inquiétant.
Ce long métrage documentaire démontre que l'avenir du monde se joue peut-être dans une école primaire du Québec. Alors qu'un enseignant met à l'épreuve une nouvelle méthode pédagogique (Recherche-Action), qui vise à préparer les enfants à relever les défis environnementaux, des élèves d’une classe de 6e année apprennent à cerner, analyser et régler un problème se posant dans leur milieu. En nous rendant témoin de leur démarche, le réalisateur Fernand Dansereau nous rappelle que c'est encore dans l'humain qu'il faut chercher des raisons d'espérer.
Long métrage documentaire sur Norman Cornett, professeur à l’Université McGill, qui s’est acquis au fil des ans l’affection et le respect de beaucoup d’étudiants avec ses méthodes non conventionnelles. Manifestant une rigueur intellectuelle incontestable, il aborde les sujets les plus variés : soins palliatifs, improvisation en jazz, Premières nations, etc. Congédié en 2007, il est le protagoniste d’un hommage senti d’Alanis Obomsawin, figure marquante du cinéma autochtone que l’éducation et la jeunesse intéressent depuis longtemps.
Vers la fin des années 1990, la communauté acadienne de Moncton est marquée à jamais lorsque la mort frappe une école secondaire. Dans un film impressionniste tout en douceur, Samara retourne dans la ville qu’elle a fuie alors qu’elle était adolescente pour se replonger dans les souvenirs qui y sont toujours enfouis, en différents lieux ainsi que dans les boîtes poussiéreuses renfermant des journaux intimes, des photos et des cassettes VHS. 1999 n’est pas une histoire de fantômes, bien qu’elle soit peuplée de spectres. Les rues enneigées, les corridors et les vestiaires de l’école sont intacts, comme dans un rêve, mais l’absence laissée par la vague de suicides d’adolescents résonne encore de questions sans réponses, de traumatismes et de regrets. Samara rencontre des gens inspirants qui portent en eux une grande douleur et qui, 16 ans plus tard, peuvent enfin se conforter mutuellement en brisant un long silence. En fin de compte, le film entremêle différentes voix et suscite une réflexion collective sur l’intériorisation du deuil et sur la nécessité d’apprendre à affirmer son désir de survivre.
Ce long métrage documentaire suit durant une année scolaire l’apprentissage de la musique de trois élèves de l’école primaire du Sacré-Cœur, à Sherbrooke. Revenant là où il a lui-même appris le piano et le violoncelle, le réalisateur Michel Lam montre comment l’enseignement des arts peut contribuer de manière significative à l’éducation et à l’épanouissement de l’enfant.