This documentary offers a glimpse into the 1997 federal election in the Halifax electoral district. Two strong female politicians, Liberal candidate Mary Clancy and NDP party leader Alexa McDonough, are caught in a tight competition in one of the most contested races in the country. Director Meredith Ralston follows the two women around the campaign trail for weeks, getting inside an election that was often described as “nasty.” Both larger than life and hungry to win, in quieter moments Clancy and McDonough reveal the strains and contradictions of their chosen careers. Why Women Run highlights the accomplishments of women in politics and the problems many women face participating in the political process.
Kahentiiosta était à Kanehsatake, du début à la fin de la crise. Le film décrit ce qu'elle y a vécu, puis surtout sa comparution au tribunal parce que le Procureur général n'acceptait pas son nom mohawk et enfin sa vie et celle d'autres «warriors» au camp militaire de Farnham.
Ce long métrage documentaire propose une réflexion sur le cheminement des femmes en politique. Depuis l'obtention, en 1940, du droit de vote et d'éligibilité des femmes, seulement une quarantaine d’entre elles tout au plus ont réussi à siéger à l'Assemblée nationale, à Québec. Tourné durant la campagne à la présidence du Parti québécois à l'automne 1985, Histoire à suivre… propose des entrevues avec plusieurs de ces politiciennes, dont Pauline Marois, Louise Harel et Lise Payette.
Long métrage documentaire sur la politique québécoise. Pendant près de quatre ans, le réalisateur Manuel Foglia a pointé sa caméra sur Daniel Turp, député péquiste de la circonscription de Mercier, et Charlotte L’Écuyer, députée libérale de Pontiac, tous deux élus pour la première fois en 2003. De la vie parlementaire à l’Assemblée nationale, au porte-à-porte dans les comtés, elle n’est pas simple, la démocratie.
L'histoire du nationalisme québécois, depuis quarante ans, à travers le regard et l'expérience de Pauline Julien, chanteuse, et Gérald Godin, poète et politicien, tous deux engagés depuis vingt-cinq ans à promouvoir la cause de l'indépendance du Québec. À l'image du couple qu'il met en scène, ce film d'amour et de passion rappellera aux uns et fera découvrir aux autres les événements qui ont jalonné l'évolution du grand mouvement nationaliste que toute une génération de Québécois a laissé en héritage à celle qui lui a succédé. (Ce film a été fait à partir du film anglais A Song for Quebec.
Documentaire faisant la promotion de mesures de conservation du bassin hydrographique des Prairies. Ces mesures préconisent l’abattage sélectif des arbres, le reboisement scientifique, la protection contre les feux de forêt, la construction de routes et de ponts dans les chantiers, la surveillance des pâturages et la lutte contre les maladies et les insectes qui nuisent aux arbres. Avec la participation des gouvernements fédéral et albertain.
Documentaire qui interroge la nécessité du recours à l'énergie nucléaire au Québec. A-t-on besoin du nucléaire, énergie coûteuse et dangereuse, dans une province peu peuplée, pourtant championne mondiale de l'hydroélectricité? Le film dresse le bilan d’une table ronde qui synthétise le pour et le contre, et il pose un regard neuf sur le panorama énergétique, industriel, économique, historique et politique du Québec.
Les 11 et 20 juin 1981, la Sûreté du Québec mène des rafles dans la réserve de Restigouche, en Gaspésie. En cause : les droits ancestraux de pêche au saumon des Micmacs. Les restrictions que le gouvernement québécois tente d'imposer sur cette pêche, source d'alimentation et de revenus pour les Micmacs, ont soulevé colère et consternation. Lancé en 1984, ce compte rendu coup de poing de l'intervention policière a fait connaître Alanis Obomsawin à l'international. Le film comprend un échange mémorable entre le ministre des Pêches, Lucien Lessard, qui a ordonné les rafles, et la réalisatrice. Des décennies plus tard, Jeff Barnaby, réalisateur de Rimes pour jeunes goules, citera ce film comme source d'inspiration. « Pour moi, ce documentaire a cristallisé l'idée que les films peuvent être une forme de contestation sociale... Tout a commencé là, avec ce film. »
Le 1er avril 1949, Terre-Neuve devenait la dixième province canadienne. Ses richesses sont nombreuses : la ville historique de Saint-Jean, le grand centre de l'industrie du papier Corner Brook, les gisements de fer de l'île Bell, les mines du Labrador, ses aérodromes... Et comme les valeurs humaines des habitants composent aussi la richesse d'un pays, nous faisons la connaissance du pêcheur terre-neuvien Fred Greely et de sa famille.
Documentaire sur la politique de McKenzie King en ce qui a trait à la conscription pendant la Deuxième guerre mondiale. Dans un premier temps, le premier ministre du Canada tente d'éviter la conscription, craignant de provoquer une guerre civile au pays. En effet, les Canadiens anglais estiment pour la plupart que les jeunes gens doivent être envoyés au front, alors qu'une majorité de Canadiens français s'y oppose farouchement. Les moyens dilatoires ne suffisant plus, King se voit forcé de prendre une décision. Le film juxtapose les plans d'archives et les extraits de la série dramatique The King Chronicle réalisée par Donald Brittain.
Certaines scènes comportent du langage vulgaire.
Une véritable fièvre s'est emparée de Londres au printemps 1953. On cogne du marteau, on hisse drapeaux et banderolles; la cité redevient le centre du monde. Tout n'est que symphonie de couleurs, de nuances légères, qui sied à une jeune reine. Devant la Maison canadienne, des ouvriers construisent d'immenses estrades où prendront place des milliers de spectateurs venus de tous les pays du Commonwealth et de l'Empire. Puis, c'est le grand matin. À l'abbaye de Westminster, Élisabeth II est sacrée reine. Les quarante et un canons du parc St-James et les soixante et un de la Tour de Londres tonnent. La reine quitte l'abbaye pour se rendre au palais de Buckingham, au centre d'un extraordinaire cortège, et sous les acclamations d'un million de personnes.
Film destiné aux 400 000 employeurs canadiens pour les informer des services offerts par les centres de main-d'oeuvre du Canada.