Ce long métrage documentaire propose une réflexion sur le cheminement des femmes en politique. Depuis l'obtention, en 1940, du droit de vote et d'éligibilité des femmes, seulement une quarantaine d’entre elles tout au plus ont réussi à siéger à l'Assemblée nationale, à Québec. Tourné durant la campagne à la présidence du Parti québécois à l'automne 1985, Histoire à suivre… propose des entrevues avec plusieurs de ces politiciennes, dont Pauline Marois, Louise Harel et Lise Payette.
Un grand documentaire sur le Québec et un éditorial cinématographique virulent à l’occasion du référendum de mai 1980 sur la souveraineté-association. Couvrant les événements, le cinéaste sort la défaite référendaire du Parti québécois de son contexte local et la confronte au jugement de l'Histoire, en la soumettant au feu d'une critique acerbe sous la forme de citations extraites de l'œuvre de Nicolas Machiavel (magnifiquement interprété par Jean-Pierre Ronfard).
Ce long métrage documentaire brosse le portrait d’une importante dynastie politique du Québec. Daniel Johnson, ministre dans le cabinet de Maurice Duplessis avant de prendre la tête de l’Union nationale, devient premier ministre de la province, dans les années 1960. Ses deux fils, Pierre Marc et Daniel, suivent ses traces. Alliant photos, films d’archives et entrevues, le film souligne la passion qui anime les trois Johnson pour la chose politique, mais aussi les profondes divergences idéologiques entre les deux frères, notamment sur le plan de la place du Québec dans le Canada.
Long métrage documentaire faisant partie d'une série de trois. Ce dernier chapitre porte sur les carrières politiques de René Lévesque et de Pierre Elliott Trudeau de 1977 à 1988. En anglais, avec sous-titres français.
René Lévesque et Pierre Elliott Trudeau, deux des politiciens les plus marquants de l'histoire du Canada, sont au cœur de cette série. Ce long métrage documentaire déroule la toile de fond de la lutte opposant les deux hommes et leur idéologie et, ce faisant, aide à faire la lumière sur l'une des grandes crises de l'histoire canadienne.
Les Champions : surprenantes destinées présente les premières années, depuis la période universitaire au début des années 1950 jusqu'à 1967, année où Lévesque quitte le Parti libéral et où Trudeau devient ministre fédéral de la Justice.
Long métrage documentaire de Jacques Godbout sur le destin historique de son héros d’enfance, son grand-oncle Adélard. Comment peut-on disparaître de la mémoire collective quand on a été premier ministre du Québec de 1939 à 1944? Voilà pourtant le sort d’Adélard Godbout. Son cas est particulièrement troublant. Voilà le précurseur de la révolution tranquille, celui qui donne au Québec l'instruction gratuite et obligatoire, le droit de vote des femmes, Hydro-Québec et des lois du travail, mais, chrétien et humaniste convaincu, il est aussi pour la guerre contre la barbarie nazie. Les ultranationalistes auront sa peau, puis sa mémoire.
Long métrage documentaire sur la politique québécoise. Pendant près de quatre ans, le réalisateur Manuel Foglia a pointé sa caméra sur Daniel Turp, député péquiste de la circonscription de Mercier, et Charlotte L’Écuyer, députée libérale de Pontiac, tous deux élus pour la première fois en 2003. De la vie parlementaire à l’Assemblée nationale, au porte-à-porte dans les comtés, elle n’est pas simple, la démocratie.
René Lévesque et Pierre Elliott Trudeau, deux des politiciens les plus marquants de l'histoire du Canada, sont au cœur de cette série de trois documentaires.
Les champions : la façade du pouvoir s'attache aux années 1967 à 1977, une décennie marquée par trois victoires électorales de Trudeau, la crise d'Octobre et l'ascension au pouvoir du Parti québécois.
Véritable chronique d'une année qui s'annonçait capitale dans l'histoire du Québec et du Canada, ce long métrage documentaire se penche sur l'après-Meech en convoquant certains personnages publics et historiques. Une œuvre qui incite à la réflexion politique.
Pamphlet cinématographique réalisé par Gilles Groulx à un moment de fièvre populaire exceptionnelle au Québec, quelques mois après le front commun des trois syndicats québécois les plus importants (CSN, FTQ, CEQ) face au gouvernement québécois. Œuvre personnelle et militante d'un cinéaste québécois engagé, sa philosophie s’oppose à la « société de consommation » perçue comme la suprême incarnation du mal.
Après la bataille des plaines d'Abraham, le 13 septembre 1759, le monde ne sera plus jamais le même. Tout pays est fondé sur un mythe, le Canada est né de cette guerre entre la France et l'Angleterre où les deux généraux qui s'affrontaient, le marquis de Montcalm et James Wolfe, sont morts de leurs blessures.
Ce long métrage documentaire fait un parallèle audacieux entre la campagne électorale de 1970, au Québec, et celle de Maurice Duplessis, en 1936. Grâce à des extraits soumis à un montage serré, le cinéaste, presque pamphlétaire, examine le bouillonnement d'espoir suscité par les élections provinciales de 1970 et pose la question : la Révolution tranquille a-t-elle vraiment changé quelque chose au Québec? Est-il possible que se lève un homme nouveau, en politique, au Québec?
Pour avoir plus d’informations sur ce film, visitez le Blogue de l'ONF.