This feature documentary recounts the incredible odyssey of 22 men from China’s persecuted Uyghur minority who were detained in Guantánamo as terrorists. These Turkic-speaking Muslims, persecuted by the authorities in Beijing, escaped to the Middle East where they were captured and sold as terrorists to the American forces. From northern China to Guantánamo, Cuba, this new documentary by Patricio Henríquez charts the incredible odyssey of three of these “prisoners of the absurd,” linked to worldwide terror networks through no fault of their own.
Les «Hibakusha», ce sont les survivants d'Hiroshima et de Nagasaki, cette nouvelle classe d'êtres marginaux marqués par l'explosion nucléaire, livrés à toutes les maladies, empoisonnés jusque dans leurs gènes, traqués par l'oeil froid de la science. Quelques-uns acceptent de revivre leur douleur et de témoigner pour avertir l'humanité. Ce film nous mène à leur rencontre au Japon, sur les lieux ravagés par la bombe atomique, puis à New York, lors de la grande manifestation du Mouvement pour la paix, à l'occasion de la 2e Session de l'ONU pour le désarmement.
Version abrégée du documentaire Les Hibakusha, les survivants d'Hiroshima et de Nagasaki. Ils incarnent cette nouvelle classe d'êtres marginaux marqués par l'explosion nucléaire, livrés à toutes les maladies, empoisonnés jusque dans leurs gènes, traqués par l'œil froid de la science. Quelques-uns ont accepté de revivre leur douleur et de témoigner pour avertir l'humanité.
Sur la corde raide revient sur les raisons du refus canadien d’intervenir en Irak en 2003 aux côtés des États-Unis. Le film met en lumière le bras de fer politique qui s’est alors joué en coulisse avec un voisin du Sud qui a toujours fait preuve d’interventionnisme sur la scène internationale pour servir ses intérêts économiques et géostratégiques. Cette décision historique aurait pu être lourde de conséquences pour le Canada, et plusieurs acteurs de l’époque et analystes montrent le terrible prix à payer lorsque la diplomatie échoue à régler les conflits à travers le monde.
Rencontrer Soraida, c'est découvrir le véritable visage de la Palestine, un pays où les femmes ne sont pas toutes voilées, où les hommes ne parlent pas la langue de bois et où les enfants ne sont pas des bombes humaines : ils jouent à cache-cache, mais parfois, ce sont les soldats israéliens qui comptent jusqu'à dix. Soraida nous invite chez elle, et ose poser la question qui pointe sur nos lèvres : lorsque nous sommes écrasés, comment ne pas perdre notre humanité? Pour toute réponse, elle nous offre le récit de petites victoires et des résistances quotidiennes au conflit, qui nous plongent au coeur de l'expérience humaine, dans les replis les plus intimes de la vie d'une femme de Palestine. Un film intimiste de Tahani Rached, produit par l'Office national du film du Canada.
Le 65e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
La grand-mère de Torill Kove lui racontait souvent des histoires. L'une en particulier tournait autour du repassage des chemises du roi de Norvège. Et si ce détail insolite n'était que la pointe de l'iceberg? Peut-être avait-elle travaillé secrètement dans la résistance norvégienne...? ou avait-elle même pris la tête d'un mouvement de guérilla d'un genre nouveau! Tissant l'intrigue à partir de faits personnels, Torill Kove suit le fil d'une histoire familiale, qu'elle enjolive en chemin avec beaucoup de drôlerie. Elle rend de façon inventive la vie et le travail de sa grand-mère à Oslo, particulièrement pendant la Deuxième Guerre mondiale. Elle mêle avec brio et imagination les contes qu'elle lui racontait avec les événements historiques et la fantaisie et montre comment un épisode de la vie familiale peut atteindre au mythe.
Deux visions de la guerre, l'une «officielle» et l'autre «de propagande» et l'espoir que laisse entrevoir la collaboration entre les nations alliées.
Physique de la tristesse retrace la vie d’un inconnu naviguant à travers ses souvenirs de jeunesse en Bulgarie, lesquels le ramènent à la mélancolie et au déracinement croissants qui plombent son existence d’adulte au Canada.
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Ce long métrage documentaire raconte le parcours exceptionnel du philosophe Raymond Klibansky. Témoin privilégié de la mémoire, acteur de son temps, ce philosophe juif allemand traverse un siècle de turbulences, de guerres et de haine. Dans sa jeunesse, il fréquente Karl Jaspers, Erwin Panofsky, Marianne Weber, Ernst Cassirer et Albert Einstein. Très tôt, on le considère comme un savant et son oeuvre intellectuelle est internationalement reconnue. Puis survient l'imposture nazie. Il la dénonce... mieux, il la combat. Au coeur de sa vie, il occupe un poste important au sein des Services secrets britanniques durant la Seconde Guerre mondiale. Depuis, il se consacre à promouvoir la tolérance et sera de toutes les luttes pour la liberté.
Nous sommes en janvier 1954. La guerre de Corée est terminée. Les soldats onusiens détenus dans les camps de prisonniers sont maintenant libres de retourner dans leur patrie. Ceux qui refusent d'être rapatriés sont transférés en zone neutre où on leur donne quatre-vingt-dix jours pour reconsidérer leur décision. Parmi eux, vingt et un soldats américains décident de demeurer en Chine.
Aux États-Unis, le maccarthysme est à son apogée. De nombreux Américains croient que ces jeunes hommes ont subi un nouveau type de lavage de cerveau aux mains des communistes chinois. Mais que s'est-il réellement passé?
Alors que la guerre froide n'est plus qu'un souvenir, le cinéaste Shui-Bo Wang, dont le film Sunrise Over Tiananmen Square a été en nomination aux Oscars, a filmé l'aventure extraordinaire de ces Américains. À l'aide d'images inédites des camps chinois et d'interviews avec d'anciens prisonniers de guerre et des membres de leurs familles, Des G.I.'s qui ont choisi la Chine raconte l'histoire fascinante et méconnue de ces dissidents américains qui ont combattu pour leur pays et ont ensuite coupé tous les liens avec lui.
Documentaire retraçant le voyage qu'ont effectué en Allemagne, au cours de l'été 1965, trente Juifs d'Amérique parmi lesquels un Canadien, Bernard Laufer. Ils revoient Dachau, Auschwitz, Bergen-Belsen où ils ont échappé de justesse à la mort. En outre, sont présentés des séquences du procès de Francfort et des témoignages d'Allemands.
Narré par le comédien Gordon Tootoosis, le film jette un regard sur le sort réservé aux anciens combattant autochtones de la Deuxième Guerre mondiale après le conflit.
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