This feature documentary follows up on 2 important NFB documentaries that captured the turbulent year of 1967, a time when social and cultural revolution, as well as generational change, were on everyone’s mind. The first, Christopher’s Movie Matinée, followed the travels of 14 Toronto teenagers over the course of the summer, while the second, Flowers on a One-way Street, documented the conflict between the hippies of the day and Toronto City Council, over the future of the Yorkville neighbourhood, then Canada's counter-culture capital. More than 2 decades later, the filmmakers have sought out some of the films' participants, not as an exercise in nostalgia but to discover what traces remain in the lives of those who most deeply felt the impact of the '60s
Court métrage documentaire sur le boulevard Saint-Laurent, à Montréal, une rue qui demeure, pour nombre d'immigrants, l'endroit où s'est amorcée leur vie nouvelle. Dans ce film, le cinéaste revisite la rue qui l'a accueilli à l'âge de huit ans lorsqu’il arriva au Canada avec ses parents; il la décrit telle qu'elle est aujourd'hui et telle qu'il se la rappelle : un port d'attache des groupes ethniques les plus variés.
Ce long métrage documentaire rend hommage aux braves soldats canadiens qui sont partis au combat durant la Guerre civile espagnole. Entre 1936 et 1939, les Brigades internationales, constituées de 40 000 volontaires provenant de 27 pays, sont envoyées en Espagne afin d'y freiner la montée du fascisme. Sur ce nombre, 1200 sont les Canadiens du bataillon Mackenzie-Papineau. Plus de la moitié ne sont jamais revenus au pays. Des vétérans nous racontent leur histoire.
Après avoir atteint le sommet avec un Prix d’excellence pour l’ensemble de ses réalisations, il faut redescendre sur terre… jusque dans les entrailles de l’agence de placement La vie après la vie, qui aide les lauréats et lauréates à se trouver de nouveaux engagements.
Ce court métrage documentaire raconte le passage du cinéaste Jean-Luc Godard à Rouyn-Noranda, en décembre 1968. Quelques mois plus tôt, en mai 1968, la France est secouée par des manifestations populaires et une poignée de cinéastes en colère interrompt le Festival de Cannes. Au Québec, la montée du nationalisme conduit à des affrontements au cours des festivités du 24 juin. C'est dans ce contexte que l'on organise « Les dix jours du cinéma politique » au Cinéma Verdi, à Montréal, qui accueille Jean-Luc Godard, auréolé du succès de ses films À bout de souffle (1959) et Pierrot le fou (1965). Loin de s'en tenir à des rencontres avec ses admirateurs, le cinéaste caresse un projet. Accompagné d’une équipe de cinéastes français et canadiens, il ira à Rouyn-Noranda, où la télévision lui donne carte blanche, et y fera la révolution...
Ce film est issu de la série Libres courts, qui rassemble des premières œuvres courts métrages documentaires.
Dans ce long métrage documentaire, le cinéaste Pierre Goupil, atteint de troubles bipolaires, raconte son rapport difficile à la maladie et revient sur son cheminement d’artiste au sein d’une société qui accepte mal les marginaux. Le film célèbre la création, les liens sociaux et la liberté de l’individu face à tous les pouvoirs qui asservissent.
À la faveur du sublime isolement volontaire qu’impose la pandémie de cet étrange printemps 2020, le cinéaste d’avant-garde Mike Maryniuk compose une ode surréaliste à la renaissance et à la réinvention. Juxtaposant des images d’archives à une animation réalisée à la main, il évoque un paysage onirique scintillant et utopique, un monde post-COVID façonné par les forces originelles de la nature… et sur lequel plane le spectre génial de Buster Keaton.
Un an après le début de la pandémie, quatre artistes du projet La courbe de l'ONF nous racontent comment leur quotidien a été affecté par cette crise sans précédent.
La courbe : des histoires de distanciation sociale qui nous rapprochent. Cliquez ici pour en voir plus.
À la façon des disc-jockeys qui revitalisent la musique actuelle en reformatant et en recyclant les sons, Luc Bourdon a procédé à un assemblage d'archives et d'extraits tirés de 120 films produits par l'ONF pour nous présenter la ville de Montréal des années 1950 et 1960.
À la fois documentaire, poème et essai, La mémoire des anges est une expérience unique permettant de revisiter l'histoire de Montréal, avec ses grandes figures, ses lieux emblématiques et ses citoyens ordinaires.
Un portrait impressionniste des années 1970 en images, en chansons et en musique.
Dans ce long métrage documentaire, huit jeunes adolescents inuit posent leur regard de cinéaste sur la vie contemporaine dans le Nord canadien et proposent un compte rendu pénétrant sur le passage à l'âge adulte à une époque de confusion et de désagrégation culturelle.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Invitation au voyage, ce long métrage trace un pont entre jadis et désormais à partir de souvenirs ciselés. Film personnel de Jacques Giraldeau, cette œuvre se déploie en une mosaïque de vestiges et d'images captés au fil des ans, au fil d'une vie. On y retrouve Évariste Quesnel, personnage énigmatique que l'on suit de Cuba à l'Île-aux-Grues, sans pouvoir le saisir, laissant telle une empreinte, l'endroit où il n'est plus. En sillonnant les fragments d'hier et d'aujourd'hui laissés pour la mémoire, le cinéaste inscrit l'art comme archive de la réalité. Où se vit, en quelque sorte, une fin de l'effritement du temps.