In this short documentary, three French-speaking women (from Senegal, Mexico and Belgium) examine their own experiences as immigrants in Vancouver, where they raise their children alone. With strength and resilience, these women take up the challenge of rebuilding their lives to provide a “new world of possibility” for their children, while seeking to find their place in Canadian society.
This film was made as part of the Tremplin program, in collaboration with Radio-Canada.
Dans ce court métrage documentaire, trois femmes francophones originaires du Sénégal, du Mexique et de la Belgique posent un regard sur leur expérience d’immigration à Vancouver, où elles élèvent seules leurs enfants. Avec force et résilience, ces femmes prennent le pari de reconstruire leur vie et d’offrir « cet autre possible » à leur enfant, tout en cherchant à faire leur place dans la société canadienne.
Ce film a été produit dans le cadre du concours Tremplin, en collaboration avec Radio-Canada.
Au chalet familial du lac Wakaw, en Saskatchewan, la réputée auteure-compositrice-interprète fransaskoise Alexis Normand nous convie à une discussion franche sur l’appartenance et le bilinguisme dans les Prairies. Entremêlant des extraits de vieux films familiaux à cette conversation actuelle, Assez French met en relief les combats et les victoires que comporte la reconquête de son identité canadienne francophone. Alors que parents, enfants et petits-enfants se rassemblent pour chanter, jouer et faire la fête, en français et en anglais, cet acte de transmission d’une langue devient enfin synonyme de joie et de liberté.
Empruntant la fluidité d'une chorégraphie, ce court métrage documentaire nous présente Sylvie Mazerolle, une jeune femme pour qui danser est un besoin essentiel. La sensibilité du personnage crève l'écran. À travers sa démarche, le film dresse aussi un état des lieux de la danse en Acadie. Actuellement établie à Vancouver, la jeune danseuse éprouve la nostalgie de son Acadie natale et cherche un projet qui l'en rapprocherait. Mais où qu'elle soit, elle continue de vivre sa passion, car son pays est la danse.
Ce film a été produit dans le cadre du concours Tremplin, en collaboration avec Radio-Canada.
Portrait documentaire d’Antonine Maillet, devenue célèbre en 1971 grâce au succès de La Sagouine. Trente ans après l’attribution du prix Goncourt à l’auteure pour son roman Pélagie-la-Charrette, Ginette Pellerin amène les spectateurs sur les lieux marquants de l’écrivaine. De Bouctouche à Montréal, en passant par Moncton et le Théâtre du Rideau Vert, le film offre un portrait de celle qui fait résonner la voix du peuple acadien dans le monde entier. Lectures d’extraits d’œuvres, confidences et entrevues avec des éditeurs, des professeurs, des journalistes, des comédiens, et Antonine, laissent un témoignage autobiographique exclusif.
Ce court métrage documentaire rend hommage à Édith Pinet, une sage-femme de 79 ans peu ordinaire, infirmière diplômée et « docteure de tous les maux », qui a présidé à la naissance de presque toute la population de la région de Paquetville, en Acadie. Quarante ans de métier, plus de trois mille bébés « délivrés » et sans en avoir perdu un! Parmi ces « patients » admiratifs venus témoigner, on remarque Édith Butler, chanteuse acadienne bien connue.
Ce documentaire brosse le portrait de la plus célèbre syndicaliste acadienne, Mathilda Blanchard. Par une judicieuse utilisation de documents d'archives, d'entrevues et de commentaires, ce film tente de percer le mystère Mathilda, en faisant revivre quelques-unes des grandes luttes qu'elle a menées pour la justice sociale.
Franco-manitobaine passionnée des arts et de la culture, Michelle Smith met ses talents et son entregent au service des organisations artistiques francophones de sa province, pour que sa langue et sa communauté perdurent et s’épanouissent.
Un jeune homme venu du Congo pour vivre au Canada nous parle des défis de s'adapter à une vie complètement différente.
Le plus grand film canadien de tous les temps. L'atmosphère d'une petite ville minière du Québec des années 1940, la veille de Noël. Insouciante pour quelques heures, la population, rassemblée au magasin général, oublie sa pauvreté. Aux aguets, Benoît, un garçon de quinze ans : il découvre le monde des adultes, celui des sensations, de la souffrance et des petites folies, qui, pour un instant, prennent un air de bonheur. Avec Jean Duceppe, Jacques Gagnon, Olivette Thibault, Monique Mercure, Lionel Villeneuve.
Dans ce court métrage mélangeant animation, fiction et documentaire, Jeffrey St. Jules reconstruit la dramatique histoire de ses grands-parents et le rude quotidien des camps de bûcherons frontaliers du nord de l’Ontario. Le récit se déroule le long des chemins cahoteux de l’existence sur lesquels sa famille s’est finalement trouvée projetée. Mêlant mythe et réalité, comédie et tragédie, le cinéaste rassemble dans cette œuvre en 3-D les fragments de son histoire personnelle. Il approfondit également le sentiment d’échec et les regrets associés au fait d’être un parent absent en interviewant avec douceur et sensibilité d’autres personnes séparées de leurs enfants. Mais en contrepoint au chagrin, ce film souvent désinvolte communique aussi la joie de vivre du milieu franco-ontarien rural.
Par l'entremise du regard inquisiteur et humoristique d'Irénée Fourré-Partout, ce long métrage documentaire présente une réalité que vivent bon nombre de francophones en milieu minoritaire : les mariages mixtes. Neuf fois sur dix, les enfants issus de ces unions s'avèrent incapables de s'exprimer en français. Des familles de l'Acadie et du Manitoba témoignent. Des familles où les langues s'entremêlent, parfois s'entrechoquent. Des familles qui tentent de trouver un terrain d'entente entre les deux solitudes, où les enfants pourront s'épanouir et affirmer leur identité.