Skin for Skin is a dark allegory of greed and spiritual reckoning set during the early days of the fur trade.
In 1823, the Governor of the largest fur-trading company in the world travels across his Dominion, extracting ever-greater riches from the winter bounty of animal furs. In his brutal world of profit and loss, animals are slaughtered to the brink of extinction until the balance of power shifts, and the forces of nature exact their own terrible price.
With nods to Melville and Coleridge, directors Kevin D.A. Kurytnik & Carol Beecher have created a visually stunning contemporary myth about the cost of arrogance and greed.
Sombre allégorie sur la cupidité et sur la sanction spirituelle qu’elle engendre, J’aurai ta peau… se déroule à l’époque de la traite des fourrures. En 1823, le gouverneur de la plus importante entreprise de commerce des fourrures au monde parcourt son dominion pour en extraire les richesses toujours plus considérables que lui procure la fructueuse chasse hivernale. Car dans son implacable univers de profits et de pertes, on tue les animaux jusqu’à la limite de l’extinction. Mais un jour, l’équilibre du pouvoir bascule, et les forces de la nature imposent une fort coûteuse sanction. Saluant au passage Melville et Coleridge, les réalisateurs Carol Beecher et Kevin Kurytnik ont créé un saisissant mythe contemporain sur le prix de l’arrogance et de la cupidité.
Animation sur la vie rude des voyageurs à l'époque de la traite des fourrures au Canada.
Les grandes étapes qui ont marqué les débuts d'une petite colonie canadienne-française, au Canada, sont relatées dans ce film, grâce à un commentaire riche en détails historiques et à des images d'une beauté formelle exceptionnelle. Si les luttes entre Français et Iroquois, Anglais et Français ont été rudes et sanglantes, elles se sont par contre révélées fécondes et elles ont servi à façonner le Québec d'aujourd'hui.
Ce court métrage documentaire de Bernard Gosselin raconte l'histoire des «voyageurs». Ces hommes simples et joyeux partaient rejoindre en canot les pays de l'Ouest canadien pour y faire la traite des fourrures. Stimulés par le seul désir de s'enrichir, ils ont contribué à découvrir le Canada, à l'époque où le commerce des fourrures constituait l'industrie la plus rentable pour la Nouvelle-France.
Une dramatisation inspirée des Relations des Jésuites. En 1638, dans le pays des Hurons, des missionnaires sont menacés d'une condamnation à mort et pendant la nuit, le plus jeune d'entre eux s'interrogera avec angoisse sur sa vocation et son action.
Il est à noter que le film Le festin des morts a été produit en 1965 et qu’il reflète les attitudes et la pensée de son époque. Certaines séquences pourraient sembler offensantes au public actuel, mais le film doit être vu comme un produit culturel de l’époque dont il est issu. La perspective de la population canadienne et celle de l’ONF ont évolué : depuis la création du film, nous avons pris conscience des droits, des réalités et des points de vue des peuples autochtones. En ajoutant sans cesse à sa riche collection de films réalisés par des Autochtones et mise à la disposition du public au Cinéma autochtone, l’ONF continue de s’employer à combattre les stéréotypes visant les Autochtones et à dépeindre avec exactitude la diversité des expériences que vivent leurs communautés.
Paru en 1968 et souvent considéré comme le premier vidéoclip créé au Canada, The Ballad of Crowfoot a été réalisé par Willie Dunn, un chanteur folk et militant d’origine mi’kmaq-écossaise membre de la première équipe de production entièrement autochtone de l’ONF, la mémorable Indian Film Crew. Le film jette un regard acéré sur les trahisons coloniales, qu’illustrent un montage saisissant d’images d’archives et une ballade composée par le cinéaste lui-même sur le légendaire chef siksika (pied-noir) qui, au 19e siècle, a négocié le Traité no 7 au nom de la Confédération des Pieds-Noirs. Cette production qui marque les débuts de l’Indian Film Crew est aussi la première à avoir été réalisée par des Autochtones à l’ONF.
Dans ce court métrage d'animation inspiré de l'opéra Madame Butterfly de Puccini, Butterfly est une marionnette vivant seule sur une île jusqu'à ce que débarque le beau marin Pinkerton. À la suite de leur union passionnée, le bateau blanc du marin s'en va, mais la marionnette porte en elle le désir de voir réapparaître son amant. D'autant plus qu'au creux de son ventre un océan de vie se développe et qu'arrive, sur le rivage du corps de Butterfly, un petit poisson sans défense qui, en grandissant, devient un enfant magnifique. Mais lorsque Pinkerton revient, il brise les espoirs de Butterfly en lui arrachant son enfant. Elle ne trouvera alors de réconfort que dans la mort. Mais comment mourir quand on n'est qu'une poupée?
A Monster's Calling is a humorous animated film about the nature of personal anxieties, and body image. An "under-the-bed" monster wanders through a slumbering household, wreaking typical monster havoc. First a little girl, then an older brother, and finally the teenaged big sister. It's surprising, to both the monster and to us, what frightens each of them. A film without words.
Récit dramatique relatant la traversée de l'Atlantique jusqu'à la Baie James par Henry Hudson et son équipage. S'il se termina par une faillite, le dernier voyage de Henry Hudson n'en jeta pas moins les bases de la future colonisation de l'Ouest canadien.
Court métrage documentaire réalisé par Denys Arcand sur les fondateurs de Montréal. Comment est née Ville-Marie? Quelle était la vision religieuse d'un de ses fondateurs, Paul de Chomedey de Maisonneuve? Quelle influence y exercèrent les communautés religieuses? Tout en faisant la large part à l’œuvre de Jeanne-Mance, de Marguerite-Bourgeois et autres âmes d'élite, ce film montre les difficultés qu'ont dû surmonter les Montréalistes, comme ils se nommaient eux-mêmes, aux premières heures de la colonie.