A Monster's Calling is a humorous animated film about the nature of personal anxieties, and body image. An "under-the-bed" monster wanders through a slumbering household, wreaking typical monster havoc. First a little girl, then an older brother, and finally the teenaged big sister. It's surprising, to both the monster and to us, what frightens each of them. A film without words.
Comment réussir l’intégration scolaire des enfants réfugiés au Québec, en tenant compte des violences indicibles qu’ils ont vécues ? En suivant une psychologue spécialisée dans les traumatismes de guerre, Je pleure dans ma tête rend hommage à l’admirable résilience et aux stratégies de survie de ces « petits adultes » que les bombes et les camps n’ont pas totalement brisés, à une époque où il est crucial de sensibiliser les sociétés occidentales aux enjeux liés à la migration et aux droits des enfants.
Deux marmottes ennemies font des ravages! Une fois leur soif de destruction apaisée... que se passera-t-il? Parviendront-elles à s'entendre? Avec humour, ce court métrage d’animation propose d'explorer des solutions de réconciliation. Jeunes et moins jeunes y trouveront matière à réflexion.
Court métrage d’animation de la série Les petits conteurs. Tiré d'un livre, chaque film reprend un célèbre conte interculturel pour enfants. Dans cet épisode, Christopher déteste son nom et en change pour celui de Tiger. Puis, il en trouve un autre encore meilleur... Lorsqu'il a de la difficulté à encaisser le chèque que sa tante lui a donné pour son anniversaire, il comprend enfin combien son véritable nom est spécial!
Ghyslain Raza, le « Star Wars Kid », sort du silence afin de réfléchir à notre soif de contenu et au droit à l’oubli à l’ère numérique.
Court métrage de fiction mettant en vedette les comédiennes Geneviève Bujold et Louise Marleau. Deux adolescentes vont pour la première fois au carnaval d'hiver de Québec. Leurs rapports ambigus et doux-amers avec un jeune garçon leur apportent à toutes les deux l'émotion délicieuse et la désillusion d'un premier amour.
Court métrage d’animation dessiné à l'encre noire. D’un trait vif, les images dépouillées se bousculent en une suite de métamorphoses à la fois troublantes et saisissantes : danseuse nue dans un bar, une jeune femme se remémore un moment de sa vie. Enfant, elle a reçu la visite d'un homme qui l'a agressée sexuellement. Périple intérieur douloureux , Le chapeau nous fait partager la douleur d'une femme à la mémoire maculée qui s'offre au regard des hommes.
Oncle Thomas – La comptabilité des jours aborde la relation privilégiée de Regina Pessoa avec son oncle. Ce film est un cri d’amour puissant envers cet homme marginal qui aura été déterminant dans la vie de la cinéaste, en plus d’avoir été son étincelle artistique. Un splendide hommage à ce poète du quotidien.
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Renee Thompson essaie de se tailler une place dans l’univers des grands mannequins à New York. Elle est belle, ambitieuse et possède la démarche des mannequins. Or, elle est noire et dans cet univers, la femme blanche représente le canon de la beauté. Les agences recrutent rarement des mannequins de race noire. Et lorsqu’elles le font, elles veulent des filles qui ressemblent à « des blanches saucées dans le chocolat ».
Ce film a été produit dans le cadre du projet La tête de l’emploi par l’Office national du film du Canada, avec la participation de Ressources humaines et développement des compétences Canada.
Dans ce court métrage de la bédéiste et cinéaste d’animation québécoise Diane Obomsawin (alias Obom), Charlotte, Mathilde, Marie et Diane racontent avec franchise et candeur leurs premières histoires d’amour. Du coup de foudre à sens unique à l’attirance mutuelle, pour chacune d’entre elles, le moment de l’éveil sexuel a rejoint une prise de conscience identitaire : la découverte du désir homosexuel!
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Entremêlant l'animation, le documentaire et les souvenirs personnels, ce court métrage est un récit touchant et humoristique sur l'espoir et la tolérance devant la peur et les stéréotypes. Au camp d’été juif, le jeune Hart, neuf ans, est loin de s’attendre à devoir jouer une partie de basket-ball contre les anciens élèves d’un enseignant accusé de négationnisme.
Dans ce long métrage documentaire, le réputé réalisateur et directeur photo Vic Sarin nous plonge au coeur d'une enquête fascinante sur l'histoire du colorisme – la discrimination intra-ethnique fondée sur les nuances de peau. De l'Asie à l'Amérique du Sud, Sarin va à la rencontre d'individus directement touchés par cette problématique, à commencer par une entrepreneure philippine qui fait des affaires d’or dans l’industrie milliardaire du blanchiment de la peau. Vie pigmentée entraîne le spectateur dans un étonnant tour du monde où l’on remonte aux sources mêmes d’un dysfonctionnement social d’autant plus sournois qu’il est tout en nuances.
Âge 10 à 15 ans
Guide pédagogique - Guide 1
Diversité - Identité
Médias - Image corporelle
Santé/Formation personnelle - Santé mentale/Stress/Suicide
La perspective la plus effrayante, pour les jeunes, réside peut-être dans les attentes irréalistes avec lesquelles ils doivent composer. Demandez aux élèves d’examiner ce qui effraie le monstre. Pourquoi les rêves des enfants le dérangent-ils? Que trouve-t-il effrayant? Est-il possible que quelque chose soit effrayant et que nous n’en ayons même pas conscience? Les élèves peuvent discuter de certaines des attentes irréalistes qui les touchent. Le fait d’être stressé et anxieux équivaut-il un peu à vivre une sorte de cauchemar?