This witty short animation film introduces the theory of probability. We learn of its inception in the 17th century to settle a dispute over a game of dice, its relationship to predictability, and its application to everyday situations--like the chances of being involved in an accident.
This short film by Norman McLaren is a slow-motion study of the pas de deux adagio, one of the most exacting dances of classical ballet. A ballet originally choreographed by the Russian ballet master Asaf Messerer is performed for this film by the internationally known Canadian pair David and Anna Marie Holmes, to the music of Albinoni's Adagio.
Film d'animation décrivant les rebondissements inattendus que peut provoquer une banale « livraison spéciale ». L’histoire met en scène un mari, sa femme, un facteur et un perron enneigé.
Court métrage d'animation fantaisiste tout en couleurs, de Norman McLaren. Une poule tantôt Leghorn, tantôt Plymouth Rock, même un oeuf sur deux pattes, exécutent des quadrilles et des valses d'autrefois au son d'une musique populaire.
Entremêlé de métrages d'archives, ce court métrage d'animation raconte l'histoire d'une jeune femme qui repousse les prétendants qu'on lui destine parce qu'elle est imbue d'un maître draveur. Agile sur ses pieds grâce à son métier, ce dernier l'entraîne finalement dans une valse effrénée au rythme d'une chanson interprétée par les sœurs McGarrigle.
Vous aimez ce film? Affichez vos couleurs en vous procurant l'un de ces articles à son effigie!
Ce court métrage d’animation raconte aux enfants et aux adultes de l'ère des satellites la fascinante histoire de la découverte de la mesure du temps. À l'époque où il suffit d'appuyer sur un bouton pour tout connaître, qui soupçonnerait la longue patience qu'il a fallu à l'humanité pour calquer ses instruments de mesure sur les mécanismes invisibles d'un phénomène dont nous ignorons encore presque tout?
Le 15e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
Court métrage sur le fonctionnement de l’univers. Grâce à la photographie, à l'animation, aux effets spéciaux, le spectateur est entraîné dans un voyage au pays des étoiles. Aux confins de la Lune, de Mars, de Vénus, de Mercure, il atteindra Pluton, à 6,4 milliards de kilomètres du Soleil; il ira au-delà des myriades de soleils les plus proches, jusqu'aux nuages d'étoiles et aux nébuleuses. Ce film a été choisi par Stanley Kubrick pour la réalisation d'effets spéciaux dans son film 2001 : l'odyssée de l'espace.
Ce film d'animation fait la relation entre l'infiniment grand et l'infiniment petit en nous emmenant à ce qui pourrait être le point le plus éloigné de l'univers pour nous ramener à une des plus petites particules de la nature, l'atome d'une cellule humaine.
Court métrage d'animation fantaisiste sur le triangle équilatéral. Un ballet de formes géométriques, dont le déroulement est réglé en fonction du caprice de l'auteur, mais dans les limites de l'analyse géométrique. Les cadences à trois temps d'une valse sentimentale viennent alléger la rigueur de cette danse triangulaire. Film sans paroles.
Des images vont, viennent, reviennent, se dépassent et se superposent en cercle, en carré, en ellipse, en diagonale. Sous ce flot jaillissant, la rétine ne peut plus accomplir son travail et des images non gravées sur la pellicule surgissent et dansent sur l'écran. À travers les images réelles et virtuelles, le spectateur est invité à établir lui-même une certaine progression.
Des premières formes de vie sur Terre au monde d'aujourd'hui, Du big bang à mardi matin raconte avec un humour absurde l'aventure biologique de l'humanité. D'une puissante explosion cosmique surgit la matière à l'origine de l'évolution du minéral, du végétal et de l'animal. Défilent alors une suite de métamorphoses illustrant les ramifications de l'arbre généalogique humain. Du poisson au primate, en passant par le dinosaure et l'oiseau, tous se fondent habilement l'un dans l'autre jusqu'à l'apparition de l'Homo sapiens révélant les liens de parenté entre l'espèce humaine et toutes les formes de vie de l'univers. Film sans paroles.
Court métrage d’animation de Norman McLaren et de René Jodoin. Dans une sorte de jeu de mouvement, ils font virevolter des sphères blanches dans un ciel coloré en mouvance. Ces sphères s’alignent, se groupent et se multiplient, entrant parfois en collision l’une contre l’autre. Au piano, Glenn Gould exécute des extraits du « Clavecin bien tempéré » de Bach et donne au film son rythme et l'allure qui le caractérise.