A neon glimpse into a personal world within an urban landscape. From FOMO to JOMO, The Fake Calendar is an artist’s expression of how people come up with interesting and creative ways to avoid social functions in favour of their own private space.
Produced as part of the 12th edition of the NFB’s Hothouse apprenticeship.
Une jeune femme célèbre sa solitude au sein d’un monde urbain. De la FOMO (peur de rater quelque chose) à la JOMO (joie de manquer quelque chose), Le fabuleux calendrier rappelle qu’il existe des moyens astucieux de contourner les obligations sociales pour prioriser son espace intime.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 12, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal.
Cinq femmes autochtones, venant de diverses régions du Canada, parlent de leur expérience de vie. Ce qu'elles ont en commun? Une profonde appréciation des valeurs de leur culture et la fierté d'avoir réussi dans la voie qu'elles ont choisie. À l'aide de photos d'archives, le film rappelle également le rôle historique des femmes autochtones dans leur société, et présente une vision optimiste de leurs possibilités d'avenir.
Des dizaines d’années avant la tenue de la Commission de vérité et réconciliation, Shirley Bear défiait les récits colonialistes répressifs avec ses inspirantes représentations imagées de la féminité autochtone. Catherine Martin trace le portrait de cette artiste malécite connue sous le nom de Minqon Minqon (Arc-en-ciel Arc-en-ciel).
Avec humanité et lucidité, ce long métrage documentaire montre comment des parents autochtones du nord du Yukon, menés par Glenna Tetlichi, une des chefs de la nation Vuntut Gwitchin d’Old Crow, et Jean-Marie Mouchet, père oblat octogénaire, ont pris en main leur avenir et celui de leurs enfants. Un bel exemple d’engagement et de persévérance. Une piste de solution aux problèmes des jeunes.
Dans son premier long métrage documentaire, sorti en 1977, Alanis Obomsawin rend hommage à la place centrale des femmes et des mères dans les cultures amérindiennes. Album de témoignages féminins autochtones, le film dépeint ces cultures matriarcales fortes, auxquelles on a tenté d'imposer pendant des siècles des habitudes et coutumes étrangères. Suivant le cycle de la vie des femmes autochtones de la naissance à la vieillesse en passant par l'enfance, la puberté, l'âge adulte et la maturité, il montre comment ces femmes se sont battues pour retrouver un sentiment d'égalité, inculquer la fierté de leur culture à leurs enfants et transmettre leurs histoires aux nouvelles générations.
Long métrage documentaire réalisé par Alanis Obomsawin, qui retourne à son village natal d’Odanak. En récoltant des témoignages d’anciens et en discutant avec des acteurs importants de la communauté, la réalisatrice dresse un portrait de son peuple, reflétant les luttes menées par les différentes nations autochtones qui habitent le territoire. Travail de mémoire et d’espoir.
Ce court métrage documentaire montre le rôle essentiel qu’ont joué les mères iroquoises durant les événements politiques du 28 février 2006 à Caledonia, en Ontario. En ce jour historique, des membres de la Confédération iroquoise ont érigé des barricades sur une route pour empêcher des travaux de construction sur des terres qui, affirment-ils, leur appartiennent légitimement. Une réflexion sur la résistance, la société et l’histoire des femmes autochtones.
Ce court métrage documentaire expose sous un angle très personnel l’insoutenable déchirement que représente la recherche d’un être cher porté disparu. Kyle Kematch et Katherena Vermette ont tous deux connu cet immense chagrin. L’une des sœurs de Kyle est disparue il y a plus de 5 ans. Il travaille aujourd’hui pour l’organisme bénévole Drag the Red, qui mène des recherches dans la rivière Rouge afin de trouver des indices qui auraient un lien avec des membres disparus de la communauté autochtone. Katherena est une poète et une auteure dont toutes les œuvres s’inspirent d’un drame familial survenu il y plus de 20 ans. Bien que les circonstances de la perte que chacun d’eux a subie diffèrent, Kyle et Katherena incarnent la beauté, la dignité, la résilience et le militantisme né du besoin d’agir.
À un moment charnière de sa vie, celui de la naissance de son premier bébé, Sybèle revient vivre à Pikogan, la réserve où elle a passé son enfance. Elle veut faire connaître à son fils les traditions algonquines, mais craint que ce milieu où règne la consommation d?alcool et de drogues ne soit nocif pour elle-même et pour son enfant. Pour lui offrir une vie meilleure, devra-t-elle s?éloigner à nouveau? Une réflexion lucide sur la situation des jeunes mères algonquines.
Depuis 2004, Wapikoni mobile donne aux jeunes Autochtones l?occasion de s?exprimer au moyen de réalisations vidéo et musicales. Ce documentaire a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie du Dvd - Sélection 2007 - Wapikoni mobile.
Ce court métrage de fiction raconte l'histoire d'une relation homosexuelle tumultueuse, envahissante et dévastatrice. Quand l’une se suicide, l’autre reste aux prises avec le questionnement, la honte, le cauchemar. Peur de l’appel du vide, peur du monde, peur de poser le même geste fatal. Une détresse palpable, un monologue intérieur bouleversant. Cette œuvre poétique a été tournée chez les Atikamekws dans la communauté de Manawan.
Depuis 2004, Wapikoni mobile donne aux jeunes Autochtones l’occasion de s’exprimer au moyen de réalisations vidéo et musicales. Ce film a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie du coffret DVD - Sélection 2007 - Wapikoni mobile.
Dans ce long métrage documentaire, la cinéaste Reaghan Tarbell part à la découverte de ses racines en retraçant l'histoire de la communauté mohawk de Brooklyn (New York). Du début du XXe siècle aux années 1960, les Mohawks de Kahnawake, au Québec, ont participé sans interruption à la construction des gratte-ciels de la métropole américaine. Plusieurs s’y sont établis, créant une sous-culture autochtone citadine au cœur de Brooklyn. La cinéaste leur rend hommage.