“The unexamined life is not worth living.” —Socrates
Examined Life pulls philosophy out of academia and classrooms and puts it back on the streets.
In Examined Life, filmmaker Astra Taylor accompanies some of today’s most influential thinkers on a series of unique excursions through places and spaces that hold particular resonance for them and their ideas.
Un voyage philosophique issu de la quête de la réalisatrice pour mieux comprendre les paradoxes, les joies et les problèmes de la démocratie. Entremêlant les exemples contemporains de lutte pour la démocratie et des conversations avec les grands politicologues de l’heure, le film met à jour et fouille des thèmes intemporels, fait le lien entre le passé et le présent, suscite la réflexion et inspire.
Les «Hibakusha», ce sont les survivants d'Hiroshima et de Nagasaki, cette nouvelle classe d'êtres marginaux marqués par l'explosion nucléaire, livrés à toutes les maladies, empoisonnés jusque dans leurs gènes, traqués par l'oeil froid de la science. Quelques-uns acceptent de revivre leur douleur et de témoigner pour avertir l'humanité. Ce film nous mène à leur rencontre au Japon, sur les lieux ravagés par la bombe atomique, puis à New York, lors de la grande manifestation du Mouvement pour la paix, à l'occasion de la 2e Session de l'ONU pour le désarmement.
Œuvre cinématographique aussi sensible qu’hypnotique, La fin des terres sonde avec finesse et lucidité la conscience politique et identitaire de notre époque, du point de vue de millénariaux.
Avec de la débrouillardise, on peut faire face aux plus grands défis. Et quand il s’agit d’environnement, une résistance pacifique se manifeste.
Ce court métrage documentaire fait le portrait de l’Afrique du Sud, l’un des pays les plus importants du Commonwealth. Vers la fin des années 1950, sa population est aux prises avec des problèmes raciaux importants alors que se coudoient Noirs et Blancs.
Plus d’une décennie après la crise financière mondiale de 2007-2008, qu’en est-il de la mondialisation ? Le cinéaste-philosophe Jean-Daniel Lafond nous ouvre les portes du Forum économique international des Amériques, un gigantesque rassemblement annuel où économistes, financiers et politiciens s’expriment sur les grands enjeux de l’heure. Grâce aux témoignages privilégiés d’une vingtaine d’hommes et de femmes d’influence, La fin des certitudes se présente comme une méditation, à plusieurs voix, sur l’état du monde. Un documentaire d’observation qui tisse un bilan lucide de la mondialisation — avec les idéaux, les désillusions, les craintes et les espoirs qu’elle suscite — et plaide pour la naissance d’un nouvel humanisme, plus inclusif et équitable.
Investigation sur la transformation du langage issue de la COVID-19. Les interrelations sociales qui sont complètement bouleversées aujourd’hui laissent place à une réinterprétation de certains termes qui portent tout à coup une valeur mortifère. Le film est une messe funèbre en l’honneur du mot «contact».
Ce long métrage documentaire s’attaque au phénomène du profilage racial. À travers divers témoignages, la cinéaste d’origine tunisienne se penche sur les relations tendues entre policiers et groupes minoritaires à Montréal.
Documentaire sur le sida. Un essai profondément humain qui donne un autre point de vue : celui d'omnipraticiens, de chercheurs, de spécialistes en éthique, de philosophes et d'humanistes. La maladie y est omniprésente mais ne domine pas les propos. Elle sert de révélateur sur l'état de notre société. Une approche globale, inédite, qui va bien au-delà de la vie, bien au-delà de la mort, bien au-delà du sida.
Dans ce court métrage documentaire, une saignée de cochon en pleine campagne est sobrement filmée comme un rite initiatique. Le cinéaste Bogdan Stefan livre un touchant hommage à la transmission de gestes qui, partagés à travers les familles et les générations, deviennent également la source d’une véritable solidarité sociale.
Un film d'animation-choc sur les mines antipersonnel, qui dénonce notre barbarie tranquille. Chaque année des centaines d'hommes, de femmes et d'enfants sont blessés ou tués par les mines antipersonnel. Mon enfant, ma terre dénonce non seulement l'usage de cette arme barbare, mais aussi et surtout la complicité tranquille des pays industrialisés. Si une telle horreur existe, c'est que quelqu'un l'a conçue et fabriquée. Pouvons-nous imaginer la barbarie sous les traits de notre voisin? De notre père? Ou sous nos propres traits? Mon enfant, ma terre nous oblige à nous poser la question.
Les évaluations professionnelles et les guides pédagogiques pour cette œuvre sont réservés aux abonnés CAMPUS.
Des fonctionnalités conçues simplement pour les profs.En savoir plus
Déjà abonné? Connectez-vous