This short documentary focuses on a man-made island that became the first federal sanctuary for wildlife in Canada. Situated an hour east of Edmonton, it houses one of the world's densest collections of wildlife, maintained by Parks Canada. Elk Island offers a glimpse of the behind-the-scenes activity of the island.
Dans ce long métrage documentaire, Bernard Gosselin nous raconte l'histoire de l’île d’Anticosti et nous montre des images de ce coin de pays fabuleux de la région du golfe du Saint-Laurent. Anticosti, c'est la surabondance au pays de la démesure. Surabondance de chevreuils, de saumons, d'oiseaux, de fossiles, d'arbres et de mystères. Démesure de naufrages, d'aménagements, de canyons, de riffs, d'histoire et de destinée. C'est aussi un village, Port-Menier et ses 347 habitants.
Court film d’animation sans paroles utilisant la technologie numérique pour montrer au spectateur le point de vue d’un huard. Celui-ci exécute un plongeon vertigineux dans les flots à la poursuite de poissons, s'élance hors de l'eau vers le ciel, puis survole les routes encombrées, les intempéries et les agglomérations tentaculaires qui défigurent la nature, avant de se poser doucement sur un lac isolé. Son univers devient alors magique, tel un rêve surréaliste et coloré.
Sur un mode poétique, la cinéaste dépeint la Terre comme étant une demeure dans laquelle évoluent tous les êtres; elle en célèbre la beauté et évoque les fléaux qui la menacent. Des images fortes (puisées à même les archives de l'ONF) et une trame sonore signée Loreena McKennitt livrent un puissant message à tous les peuples. Documentaire sans paroles.
C'est la féerique bataille de couleurs et de formes que se livrent des flocons de neige. Tombant avec grâce, ils se heurtent rapidement les uns aux autres, provoquant par là un enchevêtrement tel qu'ils en perdent leur identité propre au profit d'une forme nouvelle tout aussi belle que la première, teintée d'une riche couleur, fruit d'un adroit mélange. Neige, une fantaisie agréable, un spectacle pour l'oeil. Film sans paroles.
Une solution aqueuse semble triste et morne, mais dans son opacité réside une déclaration d’autodétermination et le besoin fondamental d’ombre et de lumière. Il s’agit du premier film professionnel de Jo Meuris.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 1, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal. Le thème central de cette première édition était « L’eau et notre rapport à celle-ci ».
La quête du bleu perdu amène un enfant dans les hautes sphères célestes où se poursuit, en images, un dialogue savoureux entre les personnages célèbres de ce lieu qui expriment leur déception d'être privés, par l'écran de fumée, du spectacle de l'enfer. L'enfant finit par comprendre que le bleu est maintenant réservé au paradis et que le nouvel enfer, c'est la Terre polluée sur laquelle il est né.
Court métrage d'animation proposant une réflexion sur la conservation de nos richesses naturelles et de notre environnement. Des scientifiques à l’emploi d’une multinationale créent une nouvelle forme de vie qui doit servir à débarrasser les mers de la pollution causée par le pétrole. Cet organisme vivant, appelé bouffe-pétrole, devient responsable de la pire crise énergétique de toute l’histoire.
Documentaire sur le Biodôme de Montréal, créé de toutes pièces par une jeune équipe de scientifiques multidisciplinaires et passionnés. Le film observe l'effervescence qui l'animait durant les travaux de cette réalisation révolutionnaire.
Court métrage documentaire percutant sur l'Île-du-Prince-Édouard. On y apprend que l’île détient le record canadien d'hospitalisations dues à l'asthme. La réalisatrice soulève ces questions à l’ère d’une civilisation industrielle ravageuse.
Documentaire sur les conséquences sociales et environnementales de la multiplication rapide des mégaporcheries. Abandonnés par l'état, des groupes de citoyens élèvent la voix et se réapproprient la démocratie. Grains de sable inattendus dans une machine bien huilée par le dogme néolibéral, ils revendiquent une société à échelle humaine.
Documentaire sur le phénomène du dépérissement des forêts. Alors que sur toute la partie est de l'Amérique du Nord, les arbres meurent et les sols sont empoisonnés par les pluies acides, le réalisateur s'interroge et propose certaines solutions. L'éminent scientifique et communicateur David Suzuki assure la narration du film, diffusé en anglais avec sous-titres français.