Film d'animation sur les transformations saisonnières et les «réflexions philosophiques» d'un arbre canadien.
Court métrage dans lequel l’auteur-compositeur Félix Leclerc raconte, dans une langue savoureuse, l’aventure fantastique que vivent chaque année les draveurs de la vallée de l'Outaouais. Perche ou bâton de dynamite au bout des bras, ils font franchir aux billots, des centaines de kilomètres de rivières, de chutes et de lacs. Un métier dur, impitoyable, rempli de poésie.
Entremêlé de métrages d'archives, ce court métrage d'animation raconte l'histoire d'une jeune femme qui repousse les prétendants qu'on lui destine parce qu'elle est imbue d'un maître draveur. Agile sur ses pieds grâce à son métier, ce dernier l'entraîne finalement dans une valse effrénée au rythme d'une chanson interprétée par les sœurs McGarrigle.
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Ce très court métrage d’animation raconte l’évolution des techniques employées dans l’industrie forestière de la région côtière de la Colombie-Britannique. Employant un ton humoristique, un narrateur évoque les tentatives infructueuses d’un bûcheron maladroit et furieux, qui tente tant bien que mal d’abattre un gigantesque arbre comme on en retrouve sur la côte ouest canadienne.
Court métrage documentaire de la série Sur le vif sur la coupe du bois en Colombie-Britannique. Dans cette région du pays, la hauteur des arbres des forêts rend les opérations forestières bien différentes de celles de l'Est du pays.
Documentaire sur la situation forestière au Canada. Ce film qui rend accessibles toutes les informations nécessaires à la connaissance et à la compréhension du travail de forestiers. On y souligne le rôle des gouvernements et des milieux industriels et scientifiques. On y aborde enfin toutes les grandes questions inhérentes à la forêt et à son renouvellement.
Court métrage documentaire, classique du cinéma direct, témoignant de la vie de 165 bûcherons isolés dans les forêts enneigées du Haut-Saint-Maurice.
Documentaire sur l'expérience de coopération et de culture du sapin de Noël taillé par les producteurs de l'Association coopérative de Rivière-du-Portage, dans le nord-est du Nouveau-Brunswick.
Au Québec, sur les bords du Saint-Laurent entre Sept-Iles et Saint-Tite-des-Caps, les jeunes gens du pays s'engagent, pour attendre le temps des labours dans les chantiers, comme bûcherons l'automne, charretiers l'hiver et draveurs au printemps.
Ce film fait partie de la série documentaire intitulée Au pays de Neufve-France.
Document sur la prise de conscience et la révolte du peuple des zones forestières au Québec. Mise en question de l'exploitation abusive et aliénante des forêts par les grandes entreprises modernes centrées sur le profit maximal. Plaidoyer pour la forêt comme gagne-pain de la majorité et comme milieu propice à la dignité et au bonheur de l'homme. Un film qui donne la parole au peuple.
En Abitibi, à des centaines de kilomètres de la ville, des milliers de travailleurs montent au Nord, comme Jos Montferrand ou François Paradis. Ces bûcherons du XXIe siècle s’initient à la forêt boréale québécoise en exerçant le métier de débroussailleur.
Loin de leur famille, ils vivent cinq à six mois par an dans des camps de travail à l’image d’un Québec nouveau. S’y côtoient Québécois d’origine canadienne-française et Néo-Québécois issus d’Afrique, d’Europe de l’Est ou d’Asie, tous venus gagner leur vie dans le bois. C’est dans cette microsociété du Nord que la cinéaste Stéphanie Lanthier nous invite à pénétrer durant une saison entière.
Pratiquant le cinéma direct à la manière de Pierre Perrault, elle documente la vie des débroussailleurs, ces « exilés » de tous âges et de toutes nationalités qui partagent avec elle leur nostalgie, leur fierté ou leur fascination pour la forêt qui les entoure. Celle qui, de juin à octobre, se montrera tantôt menaçante, tantôt bénéfique pour ceux qui y habitent et tentent l’aventure.
Hommage ultime à la nature et au plein-air, ce court métrage documentaire suit deux canoéistes qui pagaient lentement le long de la rivière Lièvre, à l’automne. Sur une adaptation française de Nada Stipkovic du poème « Morning on the Lièvre » d'Archibald Lampman, des images d'une rare beauté nous révèlent le charme de cette rivière du sud-ouest du Québec.