A vivid recollection of the free west of the North American Indigenous Peoples and the vast herds of buffalo that once thundered across the plains. From paintings of the mid-1800s, the animation camera creates a most convincing picture of the buffalo hunt, both as the Indigenous People and, disastrously, the white hunters practised it.
De sa France natale, Jean-Luc Battuz entreprend un jour une démarche intérieure qui le mènera jusqu'au coeur de l'Amérique du Nord. À 28 ans, il fait aujourd'hui partie de la famille de Lonnie et Theresa Selam, qui l'ont adopté selon les traditions de la nation yakima, dans l'État de Washington.
Sous forme de carte postale vidéo, Evelyne Papatie raconte son voyage dans les forêts du Mato Grosso au Brésil. À travers les rites et coutumes de ses frères, les Ikepengs, Evelyne retrouve la fierté d'être une anishnabe.
Depuis 2004, le Wapikoni mobile donne aux jeunes des Premières nations du Québec l’occasion de s’exprimer par le biais de réalisations vidéo et musicales. Cet essai a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie du DVD - Sélection 2008 - Wapikoni mobile.
Au cœur de la forêt pluviale de Great Bear, avec pour toile de fond les magnifiques paysages de la Colombie-Britannique, un ancien chasseur assume son passé et envisage l’avenir avec espoir. Explorant l’évolution de la relation d’un homme avec la nature, La voie du chasseur relate la captivante histoire de Robert Moberg, un chasseur qui a troqué son fusil contre une caméra.
Ce documentaire porte sur l’étude des dinosaures et le travail des paléontologues. Qui sont ces personnes qui cherchent des ossements de dinosaures? Comment arrive-t-on à déterminer l'apparence qu'avaient ces créatures depuis longtemps disparues? Ces questions, et bien d'autres, trouvent une réponse limpide dans ce film captivant entrecoupé de séquences d'animation explicatives.
Les grandes étapes qui ont marqué les débuts d'une petite colonie canadienne-française, au Canada, sont relatées dans ce film, grâce à un commentaire riche en détails historiques et à des images d'une beauté formelle exceptionnelle. Si les luttes entre Français et Iroquois, Anglais et Français ont été rudes et sanglantes, elles se sont par contre révélées fécondes et elles ont servi à façonner le Québec d'aujourd'hui.
Animation sur la vie rude des voyageurs à l'époque de la traite des fourrures au Canada.
Ce court métrage documentaire de Bernard Gosselin raconte l'histoire des «voyageurs». Ces hommes simples et joyeux partaient rejoindre en canot les pays de l'Ouest canadien pour y faire la traite des fourrures. Stimulés par le seul désir de s'enrichir, ils ont contribué à découvrir le Canada, à l'époque où le commerce des fourrures constituait l'industrie la plus rentable pour la Nouvelle-France.
Paru en 1968 et souvent considéré comme le premier vidéoclip créé au Canada, The Ballad of Crowfoot a été réalisé par Willie Dunn, un chanteur folk et militant d’origine mi’kmaq-écossaise membre de la première équipe de production entièrement autochtone de l’ONF, la mémorable Indian Film Crew. Le film jette un regard acéré sur les trahisons coloniales, qu’illustrent un montage saisissant d’images d’archives et une ballade composée par le cinéaste lui-même sur le légendaire chef siksika (pied-noir) qui, au 19e siècle, a négocié le Traité no 7 au nom de la Confédération des Pieds-Noirs. Cette production qui marque les débuts de l’Indian Film Crew est aussi la première à avoir été réalisée par des Autochtones à l’ONF.
Une dramatisation inspirée des Relations des Jésuites. En 1638, dans le pays des Hurons, des missionnaires sont menacés d'une condamnation à mort et pendant la nuit, le plus jeune d'entre eux s'interrogera avec angoisse sur sa vocation et son action.
Il est à noter que le film Le festin des morts a été produit en 1965 et qu’il reflète les attitudes et la pensée de son époque. Certaines séquences pourraient sembler offensantes au public actuel, mais le film doit être vu comme un produit culturel de l’époque dont il est issu. La perspective de la population canadienne et celle de l’ONF ont évolué : depuis la création du film, nous avons pris conscience des droits, des réalités et des points de vue des peuples autochtones. En ajoutant sans cesse à sa riche collection de films réalisés par des Autochtones et mise à la disposition du public au Cinéma autochtone, l’ONF continue de s’employer à combattre les stéréotypes visant les Autochtones et à dépeindre avec exactitude la diversité des expériences que vivent leurs communautés.
Sombre allégorie sur la cupidité et sur la sanction spirituelle qu’elle engendre, J’aurai ta peau… se déroule à l’époque de la traite des fourrures. En 1823, le gouverneur de la plus importante entreprise de commerce des fourrures au monde parcourt son dominion pour en extraire les richesses toujours plus considérables que lui procure la fructueuse chasse hivernale. Car dans son implacable univers de profits et de pertes, on tue les animaux jusqu’à la limite de l’extinction. Mais un jour, l’équilibre du pouvoir bascule, et les forces de la nature imposent une fort coûteuse sanction. Saluant au passage Melville et Coleridge, les réalisateurs Carol Beecher et Kevin Kurytnik ont créé un saisissant mythe contemporain sur le prix de l’arrogance et de la cupidité.
Documentaire sur les Indiens aymaras vivant sur les rives du grand lac Titicaca, au coeur des Andes, en Bolivie. Ces Autochtones survivent grâce à leurs récoltes, aussi ces paysans d'altitude tentent-ils de ressusciter une technique ancestrale d'irrigation et de drainage de leurs terres.