Réalisé avec des milliers de fragments de linoléum, ce film d'animation utilise l'allégorie pour concrétiser une certaine idée de l'homme à travers sa vie présente, son passé et l'univers énigmatique dans lequel il évolue. Film sans paroles.
Un film allégorique sur la condition humaine avec des images qui s'apparentent à l'art d'un Kandinsky ou d'un Klee et qui, mêlant étroitement le surréalisme et l'abstraction, préfigurent un monde en voie de déclin.
Court métrage d'animation réalisé par Bretislav Pojar dont le nom est apparu au palmarès des plus grands festivals du monde. Balablok met en scène des cubes qui se rendent compte qu'il existe des êtres de même nature qu'eux mais différents d'aspect, les Ronds. S'ensuivront l'étonnement, la moquerie et la bagarre jusqu'à ce qu'ils deviennent tous des Hexagones. Reviendront la paix et la bagarre, thèmes sur lesquels le spectateur est invité à réfléchir.
Le 36e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
Court métrage d’animation captivant réalisé à l’aide d’une multitude de perles colorées. On y raconte les lois de la nature, ainsi que les besoins de domination et de pouvoir des différentes espèces. Entre combats et guerres, ce film nous montre de chaudes luttes où les plus forts se battent contre les plus faibles afin d’assurer leur survie et nous porte à réfléchir sur la véritable nature humaine.
Ce court métrage d’animation sans paroles se veut une évocation poétique de l’interdépendance entre les quatre éléments, l’homme et l’univers. Réalisé avec du dessin au trait, Cycle passe de l’échelle de l’infiniment petit à l’infiniment grand à travers un personnage en constante métamorphose.
Inspiré d’une citation de William Shakespeare sur la vie « racontée par un idiot, pleine de bruit et de fureur, qui ne signifie rien », ce court métrage d’animation se penche sur les passions de l’humain et sa tendance à l’autodestruction. Le résultat, Opéra zéro, est un film complexe et fascinant fait à partir de papiers découpés, de dessins, de xérographie, de photographies, d’impressions et de gravures, animés à partir de plus 50 000 manipulations différentes.
Animation expérimentale qui questionne la vie, la mort, l'au-delà. À l'aide de cas d'espèces, de récentes études et d'anciens mythes, la mort y est dépeinte comme une expérience stupéfiante, mais également méthodique, où sont passées en revue les expériences individuelles passées. Film sans paroles.
Dans un rythme endiablé, ce film d'animation nous amène à observer la vie, les hommes et les choses dans ce qu'ils ont de changeant et d'éphémère. À partir d'une figure de base à peine identifiable, nous assistons à une suite ininterrompue de métamorphoses. Elles se produisent d'ailleurs à une cadence folle. Les formes, toujours mobiles et joliment mises en relief par l'emploi de l'encrage, témoignent avec insistance de l'inévitable processus des développements et changements dans l'homme et son entourage, même le plus immédiat. Le dynamisme du temps impose cette activité qui ne cesse jamais.
Une petite fille pas comme les autres doit trouver sa voie pour s'affirmer face à son entourage. Alliant fantaisie et poésie, ce court métrage d'animation a le charme intemporel d'une fable sur la différence et l'affirmation de soi. Grâce à la rugosité de la texture des gravures, la cinéaste crée un univers de contrastes que vient renforcer une bande sonore cadencée.
Ce film a été coproduit dans le cadre du programme Artiste en résidence de Folimage, en association avec l’ONF. Les techniques utilisées sont la photocopie, l’encre de Chine et la gravure sur papier glacé. Une fiche pédagogique est offerte au www.onf.ca/guides
Court métrage d'animation le plus célèbre de Norman McLaren pour lequel il remporte un Oscar®. Le film raconte l'histoire de deux voisins vivant dans l'amitié et le respect jusqu'à ce qu'une fleur pousse à la ligne mitoyenne de leurs propriétés. S'ensuit une querelle qui mènera les deux voisins au tombeau.
Troisième volet d’une trilogie sur les relations entre l’art et le pouvoir, le court métrage d’animation Gloria Victoria se déploie sur les décombres encore fumants de la furie du 20e siècle. Du front russe à la révolution chinoise, de Dresde à Guernica, les grands oiseaux noirs survolent les charniers tandis que les vampires et les faucheuses s’avancent au son d’un boléro tiré de la Symphonie Leningrad de Chostakovitch. Le cinéaste Theodore Ushev s’impose une fois de plus en virtuose du collage et du recyclage, et convoque ici le surréalisme et le cubisme pour orchestrer un éclatant cauchemar pour la paix.
Film d'animation sur la condition humaine où sont illustrés, de façon symbolique, les différents états d'âme que connaît un individu, de la naissance à la mort. Film sans paroles.
Âge 11 à 14 ans
Langues - Anglais, langue seconde
Langues - Français, langue seconde
Éthique et culture religieuse - Valeurs morales
Parce que ce court-métrage d’animation laisse beaucoup de place à l’interprétation étant donné qu’il n’y a pas de paroles, les élèves devront constituer une trame narrative véhiculant un message relié à un thème choisi par l’élève. Ce faisant, il sera amené à repérer les différents thèmes à aborder. De plus, il pourra appliquer ses compétences à rédiger un texte qui respecte les balises du schéma narratif.