This feature drama tells the story of the illegal landing of a boatload of Southeast Asians on Canada's east coast in 1986. Based on an actual incident, the film follows 8 Sri Lankan Tamils who find temporary sanctuary in an isolated outport in Newfoundland after being rescued from certain death at sea by a group of fishermen. A warm portrayal of an unusual encounter between 2 cultures worlds apart.
Documentaire dressant le portrait de Mark Rowswell, un Canadien faisant carrière d’humoriste en Chine sous le pseudonyme Dashan. Maîtrisant parfaitement la langue du pays et passionné par sa culture, il est devenu un peu par hasard une véritable personnalité du show business chinois. Une industrie qu’il dit non comparable à celle des Américains, puisque l’humour ne se traduit pas.
Réalisé par l’humoriste québécois Guy Nantel, le film a été produit par l’ONF à la suite de sa victoire de la Course destination monde à la télévision de Radio-Canada en 1993-1994.
This short film by Norman McLaren is a slow-motion study of the pas de deux adagio, one of the most exacting dances of classical ballet. A ballet originally choreographed by the Russian ballet master Asaf Messerer is performed for this film by the internationally known Canadian pair David and Anna Marie Holmes, to the music of Albinoni's Adagio.
Corps fugaces: empreinte est un film stéréoscopique en 3D de 4 minutes qui se penche sur les thèmes de la perte, du souvenir et de la guerre en faisant appel à la danse contemporaine et à l’animation. Réalisé par Marlene Millar, Crystal Pite et Philip Szporer, le film met à l’honneur la chorégraphie de la star canadienne de la danse Crystal Pite et le savoir-faire de l’animateur lauréat Théodore Ushev.
Attention: Bien que le film ait été tourné en 3D, il est seulement disponible en 2D sur le site de l’ONF, en visionnage continu.
In this animated short, simple geometric forms as thin and flat as playing cards constantly form and re-form to the sound of the koto, a 13-stringed Japanese instrument.
This short animated film is an impressionistic reflection on the creative process. Using black-and-white photographs (representing reality), overlaid with animated colour drawings (representing fantasy), it illustrates the artist as he braves creative storms, indulges spontaneous bursts of inspiration and learns, by trial and error, to harness his creative powers.
Court métrage d'animation fantaisiste tout en couleurs, de Norman McLaren. Une poule tantôt Leghorn, tantôt Plymouth Rock, même un oeuf sur deux pattes, exécutent des quadrilles et des valses d'autrefois au son d'une musique populaire.
Céline Baril nous entraîne dans un voyage sur trois continents à partir d’une idée aussi simple qu’originale : donner la parole aux «Davids» de ce monde. De tous les âges et tous les métiers, de cosmologue à recycleur, ces 24 Davids composent un écosystème ludique qui se déploie dans toutes les sphères de la connaissance. Vaste laboratoire poétique et politique, le film interroge les mystères de l’univers et les défis du vivre-ensemble et offre une expérience cinématographique d’une tonifiante liberté.
Lire l’entrevue avec Céline Baril
Ce documentaire donne la parole aux réfugiés de la communauté vietnamienne de Montréal, tout en faisant le récit de l'expérience qu'ils ont vécue. Ont-ils réussi cependant à s'intégrer parfaitement à la société qui les a accueillis?
À Brampton, en Ontario, l'aîné Ollie Coombs enregistre les faits et gestes de son petit frère Nicolas (15 ans) et de sa petite sœur Natalie (11 ans), alors qu’ils attendent l’annonce des politiques provinciales de «retour en classe» pour l’année scolaire à venir. Le film, dans lequel Ollie les interviewe au sujet de l’école et des conséquences de la pandémie, donne un aperçu du quotidien d’une des nombreuses familles qui peuplent les banlieues du Grand Toronto.
Après avoir travaillé à l’étranger pendant cinq ans, le cinéaste Ajahnis Charley rentre chez lui à Oshawa, en Ontario, en période d’isolement. Il revient pour retrouver sa famille et s’est donné pour mission de lui faire certaines révélations très personnelles. La situation donne lieu à d’étonnantes conversations avec sa mère et ses trois sœurs d’où émerge un récit teinté d’humour, mais non moins déchirant sur ce besoin que nous avons de chercher l’amour et l’acceptation auprès de notre famille.
Alors que le monde réapprend à vivre en pleine pandémie, pour nombre de personnes LGBTQ+ arabophones à Montréal, c’est juste une période comme les autres. Lorsqu’on a échappé à la violence homophobe dans son pays d’origine et vécu un douloureux projet migratoire, ou qu’on fait encore face à des préjugés sociaux liés à des conflits interculturels et intergénérationnels, survivre à l’isolement social n’a rien d’inhabituel.