The Van Doos in Afghanistan is a documentary that propels you directly into the heart of the action among the soldiers serving with the Royal 22e Régiment. Private Stéphane Perreault is passionate about his profession in the infantry. He talks about what made him decide to enlist and how proud he is to serve in the military as part of the French-speaking Royal 22e Régiment. He plans to carry on his work for a long time to come.
Le 22e Régiment en Afghanistan est un documentaire qui nous transporte en Afghanistan, à la rencontre des militaires du Royal 22e Régiment. Dans cet extrait, Stéphane Perreault, simple soldat passionné par son métier dans l’infanterie, raconte ce qui l’a décidé à s’engager. Il est fier d’être militaire et d’appartenir au régiment francophone du Royal 22e Régiment et compte poursuivre son travail pendant longtemps encore.
Le 22e Régiment en Afghanistan est un documentaire qui nous transporte en Afghanistan, à la rencontre des militaires du Royal 22e Régiment. Dans cet extrait, on rencontre le caporal Maxime Émond-Pépin, qui a été grièvement blessé à une jambe et a perdu un œil au cours de sa première mission en 2009. Malgré ses blessures, il est de retour en Afghanistan, où il a été réintégré à son bataillon. Il raconte son parcours et l’importance, pour lui, de revenir dans l’infanterie.
Le 22e Régiment en Afghanistan est un documentaire qui nous transporte en Afghanistan, à la rencontre des militaires du Royal 22e Régiment. Dans cet extrait, le capitaine Pascal Croteau, officier de l’arme blindée en appui au Groupe tactique du 1er bataillon du Royal 22e Régiment, et le sergent Patrick Auger, commandant adjoint de peloton, racontent leur travail pour sécuriser la route de Mushan. De plus en plus d’Afghans, confiants, l’empruntent désormais.
Le 22e Régiment en Afghanistan est un documentaire qui nous transporte en Afghanistan, à la rencontre des militaires du Royal 22e Régiment. Dans cet extrait, on suit le capitaine Stéphane Guillemette sur le terrain, à la recherche d’engins explosifs improvisés ou de caches d’armes des insurgés. Ces patrouilles quotidiennes du district de Panjwaye exigent des soldats une vigilance continue.
Long métrage documentaire réalisé à l’occasion du 100e anniversaire du Royal 22e Régiment. C’est en 1914, dans la tourmente de la Première Guerre mondiale, que le gouvernement canadien autorise la formation du seul bataillon francophone qui participera aux combats de la Grande Guerre. Celui-ci s’illustrera non seulement en Europe et en Corée, mais aussi en ex-Yougoslavie et en Afghanistan. Alliant témoignages, lettres de combattants et images d’archives, le cinéaste Claude Guilmain fait revivre à l’écran une page méconnue de notre histoire. Je me souviens : 100 ans du Royal 22e Régiment est une vibrante élégie à la mémoire de ceux et celles qui nous ont quittés.
Le 22e Régiment en Afghanistan est un documentaire qui nous transporte en Afghanistan, à la rencontre des militaires du Royal 22e Régiment. Dans cet extrait, les militaires se recueillent en silence à la mémoire de leur compagnon d’armes, le caporal Yannick Scherrer. Son cercueil est porté dans l’avion qui le mènera en terre canadienne, pour son dernier repos.
Le 22e Régiment en Afghanistan est un documentaire qui nous transporte en Afghanistan, à la rencontre des militaires du Royal 22e Régiment. Dans cet extrait, le lieutenant-colonel Michel-Henri St-Louis et le major François Dufault constatent le chemin parcouru depuis le début de l’intervention militaire en Afghanistan. Ils sont lucides et bien conscients que tout est fragile, mais sont fiers du travail accompli par les soldats canadiens.
Ce documentaire donne directement la parole aux militaires du Royal 22e Régiment – tous francophones. Surnommés Van Doos par les anglophones, ils ont été filmés alors qu’ils étaient en Afghanistan, en mars 2011. Avec une sincérité et un franc-parler peu communs, ils se confient simplement, et parlent d’eux et de leur travail, entre une mission de patrouille et les activités sur la base militaire. Les images et les propos recueillis transmettent toute l’importance et la complexité des enjeux sur le terrain, et témoignent d’une réalité méconnue.
Sur la corde raide revient sur les raisons du refus canadien d’intervenir en Irak en 2003 aux côtés des États-Unis. Le film met en lumière le bras de fer politique qui s’est alors joué en coulisse avec un voisin du Sud qui a toujours fait preuve d’interventionnisme sur la scène internationale pour servir ses intérêts économiques et géostratégiques. Cette décision historique aurait pu être lourde de conséquences pour le Canada, et plusieurs acteurs de l’époque et analystes montrent le terrible prix à payer lorsque la diplomatie échoue à régler les conflits à travers le monde.
Un film d'animation-choc sur les mines antipersonnel, qui dénonce notre barbarie tranquille. Chaque année des centaines d'hommes, de femmes et d'enfants sont blessés ou tués par les mines antipersonnel. Mon enfant, ma terre dénonce non seulement l'usage de cette arme barbare, mais aussi et surtout la complicité tranquille des pays industrialisés. Si une telle horreur existe, c'est que quelqu'un l'a conçue et fabriquée. Pouvons-nous imaginer la barbarie sous les traits de notre voisin? De notre père? Ou sous nos propres traits? Mon enfant, ma terre nous oblige à nous poser la question.
Trois reportages de la série Coup d’œil réalisée au début des années 1950. Le premier porte sur le transport vers l'est des récoltes des Prairies, le second sur les progrès de la médecine, grâce auxquels bien des opérations sont devenues un simple travail de routine, et enfin, le troisième porte sur un projet de vingt-neuf maisons construites par un groupe d'anciens combattants près d'Ottawa.
Âge 15 à 18 ans
Langues - Anglais, langue seconde
Santé/Formation personnelle - Identité
Sciences humaines - Le Canada dans le monde contemporain
Sciences humaines - Québec/Relations fédéral
Le soldat Perreault parle de ses motivations maintenant qu’il s’est engagé dans l’armée et peut satisfaire son goût de l’aventure. Selon les élèves, qu’est-ce qui le motive? Le soldat Perreault parle de certains des stéréotypes accolés aux militaires et dit comment son régiment les fait éclater. Il explique que le fait de parler français permet d’empêcher l’infiltration; de quelle autre façon la langue contribue-t-elle à définir l’identité du régiment?