Le 22e Régiment en Afghanistan est un documentaire qui nous transporte en Afghanistan, à la rencontre des militaires du Royal 22e Régiment. Dans cet extrait, on suit le capitaine Stéphane Guillemette sur le terrain, à la recherche d’engins explosifs improvisés ou de caches d’armes des insurgés. Ces patrouilles quotidiennes du district de Panjwaye exigent des soldats une vigilance continue.
Ce documentaire donne directement la parole aux militaires du Royal 22e Régiment – tous francophones. Surnommés Van Doos par les anglophones, ils ont été filmés alors qu’ils étaient en Afghanistan, en mars 2011. Avec une sincérité et un franc-parler peu communs, ils se confient simplement, et parlent d’eux et de leur travail, entre une mission de patrouille et les activités sur la base militaire. Les images et les propos recueillis transmettent toute l’importance et la complexité des enjeux sur le terrain, et témoignent d’une réalité méconnue.
Le 22e Régiment en Afghanistan est un documentaire qui nous transporte en Afghanistan, à la rencontre des militaires du Royal 22e Régiment. Dans cet extrait, le capitaine Pascal Croteau, officier de l’arme blindée en appui au Groupe tactique du 1er bataillon du Royal 22e Régiment, et le sergent Patrick Auger, commandant adjoint de peloton, racontent leur travail pour sécuriser la route de Mushan. De plus en plus d’Afghans, confiants, l’empruntent désormais.
Le 22e Régiment en Afghanistan est un documentaire qui nous transporte en Afghanistan, à la rencontre des militaires du Royal 22e Régiment. Dans cet extrait, le lieutenant-colonel Michel-Henri St-Louis et le major François Dufault constatent le chemin parcouru depuis le début de l’intervention militaire en Afghanistan. Ils sont lucides et bien conscients que tout est fragile, mais sont fiers du travail accompli par les soldats canadiens.
Le 22e Régiment en Afghanistan est un documentaire qui nous transporte en Afghanistan, à la rencontre des militaires du Royal 22e Régiment. Dans cet extrait, Stéphane Perreault, simple soldat passionné par son métier dans l’infanterie, raconte ce qui l’a décidé à s’engager. Il est fier d’être militaire et d’appartenir au régiment francophone du Royal 22e Régiment et compte poursuivre son travail pendant longtemps encore.
Le 22e Régiment en Afghanistan est un documentaire qui nous transporte en Afghanistan, à la rencontre des militaires du Royal 22e Régiment. Dans cet extrait, les militaires se recueillent en silence à la mémoire de leur compagnon d’armes, le caporal Yannick Scherrer. Son cercueil est porté dans l’avion qui le mènera en terre canadienne, pour son dernier repos.
Hommage aux combattants canadiens de la Première Guerre mondiale, ce long métrage documentaire fait la chronique du conflit à travers les mots de six participants. Dans un montage habile, le film présente des extraits d'époque, des photos, des passages manuscrits de lettres et de journaux de bord. La mise en scène de Claude Guilmain redonne à ces artefacts du siècle dernier une dimension humaine et insuffle à ces images anonymes une vie et une intensité qui nous font vivre ce conflit de l’intérieur.
Le 22e Régiment en Afghanistan est un documentaire qui nous transporte en Afghanistan, à la rencontre des militaires du Royal 22e Régiment. Dans cet extrait, on rencontre le caporal Maxime Émond-Pépin, qui a été grièvement blessé à une jambe et a perdu un œil au cours de sa première mission en 2009. Malgré ses blessures, il est de retour en Afghanistan, où il a été réintégré à son bataillon. Il raconte son parcours et l’importance, pour lui, de revenir dans l’infanterie.
Documentaire empreint de dignité où l'on visite les tombes de plus de 100 000 Canadiens morts au champ de bataille pendant les deux guerres mondiales. Ce film met en contraste les lieux des batailles et les cimetières paisibles où reposent les artisans d'une paix durement conquise. Filmé à Hong Kong, en France et en Sicile, ce documentaire montre la place que les nôtres ont gardé dans toutes les mémoires.
Tourné pendant toute la durée d’un déploiement en Afghanistan, ce long métrage documentaire lève le voile sur le sort de milliers de jeunes Canadiens ayant des parents soldats. À travers le quotidien d'enfants et d'adolescents de quatre familles de militaires se révèlent les particularités de la vie à la base des Forces canadiennes de Petawawa. Chaque jour, chacun doit négocier avec l’absence, les perspectives d'avenir incertaines et l’idée de la mort qui pèse lourdement.
Long métrage documentaire réalisé à l’occasion du 100e anniversaire du Royal 22e Régiment. C’est en 1914, dans la tourmente de la Première Guerre mondiale, que le gouvernement canadien autorise la formation du seul bataillon francophone qui participera aux combats de la Grande Guerre. Celui-ci s’illustrera non seulement en Europe et en Corée, mais aussi en ex-Yougoslavie et en Afghanistan. Alliant témoignages, lettres de combattants et images d’archives, le cinéaste Claude Guilmain fait revivre à l’écran une page méconnue de notre histoire. Je me souviens : 100 ans du Royal 22e Régiment est une vibrante élégie à la mémoire de ceux et celles qui nous ont quittés.
Long métrage documentaire présentant un portrait troublant de quatre volontaires occidentaux risquant leur vie pour lutter auprès des Kurdes contre le groupe armé État islamique, le long métrage documentaire Ma guerre s’interroge sur les motivations complexes qui se cachent derrière le besoin de s’approprier un conflit.
Âge 15 à 18 ans
Géographie - Géographie humaine
Sciences humaines - Comparaison entre les civilisations
Sciences humaines - Le Canada dans le monde contemporain
L’extrait illustre les risques liés aux opérations quotidiennes en Afghanistan; il fait aussi un compte rendu de première main sur les dangers des engins explosifs improvisés et des mesures qui doivent être prises pour les éviter. En groupe, les élèves parlent de l’ironie d’utiliser les cimetières pour y cacher des engins explosifs. Ils réfléchissent au commentaire de l’Afghan sur l’engagement des militaires russes et canadiens dans son pays : est-il satisfait de l’intervention des forces canadiennes dans son pays ou seulement lorsqu’il compare la situation aux conditions qui prévalaient du temps des Russes?