A single IQ test and misguided 'science' irreparably changed the life of a 14-year-old Canadian girl. This documentary follows Leilani Muir's search for justice and explores how eugenics (improving hereditary qualities of a race through the control of reproduction) became acceptable in the early 1900s.
Please note: This film contains explicit language. Viewer discretion is advised.
Ce long métrage documentaire utilise des scènes de reconstitutions d’événements pour faire revivre une cause célèbre qui a ébranlé le Dr Henry Morgentaler entre 1970 et 1976. Le film n'est pas un débat sur l'avortement; il n'absout ni ne condamne le moyen utilisé par le Dr Morgentaler pour défier la loi. Il permet cependant au spectateur de mieux comprendre les répercussions juridiques de l'affaire et de mieux connaître le médecin qui a mis en jeu sa carrière et sa liberté pour un principe qu’il défendait, à savoir le droit des femmes à disposer de leur corps.
Le féminisme a façonné notre société. Mais jusqu’où nous a-t-il conduits et quelle en est la pertinence aujourd’hui? Status Quo? examine des enjeux majeurs tels la violence faite aux femmes, l’accès à l’avortement, les services de garde universels, et s’interroge sur les progrès réalisés quant à ces questions. Il propose des réponses provocantes et parfois choquantes. Mine de documents d’archives dynamiques et de saisissantes histoires contemporaines, Status Quo? est un film essentiel pour tous les Canadiens et Canadiennes.
Dans ce long métrage documentaire, la réalisatrice Rosie Dransfeld examine l’univers impitoyable et dangereux des travailleuses du sexe d’Edmonton. En cette ère post-Pickton, où l’impensable s’incarne dans une macabre réalité, des femmes fournissent volontairement à la police des échantillons d’ADN en vue d’une éventuelle identification.
Ce long métrage documentaire explore la question de la prostitution au Canada et dans le reste du monde en faisant entendre les points de vue souvent contradictoires des travailleuses du sexe, des décideurs, des juristes et des consommateurs masculins. À la lumière du jugement historique de la Cour suprême du Canada, ce documentaire très à propos examine le cas de la Suède et de la Nouvelle-Zélande et nous propose un compte rendu percutant de ce qui est vraiment en jeu.
Avertissement: Ce film traite d'un sujet controversé. Pour un public averti.
Suite à la sortie du film Sexe à vendre, le professeur Alan Young, avocat des demanderesses dans la cause Bedford c. Canada et participant du film, a communiqué avec l’ONF pour se plaindre du fait que le film rend compte de l’affaire de manière incomplète et inexacte. L’ONF reconnaît que la question constitutionnelle ne constitue pas l’objet du film. L’objectif du film est plutôt d’examiner la controverse actuelle au Canada touchant la décriminalisation de la prostitution, dont l’affaire Bedford constitue une des facettes. L’objectif est de créer un film encourageant les Canadiens à prendre part à un débat éclairé sur la prostitution dans une perspective nationale et internationale. L’ONF croit que le film atteint cet objectif. Dans l’esprit d’approfondir un débat en toute connaissance de cause sur ces questions, y compris le volet constitutionnel de la question, et en réponse aux préoccupations du professeur Young, l’ONF fournit les liens ci-dessous vers les mémoires soumis par les parties à la Cour suprême du Canada ainsi que les liens des jugements devant les trois cours canadiennes qui ont entendu l’affaire. Le troisième jugement, celui de la Cour suprême du Canada, a été rendu en décembre 2013, après l’achèvement du film. La Cour suprême a déclaré inconstitutionnelles les trois lois relatives à la prostitution contestées par le professeur Young, mais a suspendu l’effet de son jugement pour une année pour permettre au Parlement de décider s’il convient d’adopter de nouvelles lois, assurant ainsi que le débat sur la décriminalisation de la prostitution se poursuivra au Canada pendant un certain temps.
Mémoires déposés par les parties devant la Cour suprême du Canada
Jugements de la Cour supérieure de l’Ontario (tribunal de première instance), de la Cour d’appel et de la Cour suprême du Canada :
Canada (Procureur général) c. Bedford, 2013 CSC 72 (Cour suprême du Canada)
Canada (Procureur général) c. Bedford, 2012 ONCA 186 (Cour d’appel de l’Ontario)
Bedford c. Canada, 2010 ONSC 4264 (CanLII) (Cour supérieure de l’Ontario)
Documentaire sur la fécondation in vitro. Miracle de la science, symbole d'espoir, elle représente la solution inespérée pour bon nombre de couples infertiles qui désirent avoir un enfant. Le film jette un regard sur le succès apparent de la fécondation in vitro et propose une réflexion sur le désir de parentalité.
La femme peut-elle se réaliser entièrement tout en acceptant le plus difficile partage qu'implique la maternité? Tourné durant une grossesse réelle, basé sur le journal que la réalisatrice Anne Claire Poirier a elle-même tenu pendant l'une de ses grossesses, ce documentaire montre le corps de la femme enceinte, révèle ses émotions et ses angoisses. Ce film est le premier long métrage au sujet de la femme au Québec, réalisé en 1967, à la veille de la grande prise de conscience féministe.
Dans ce long métrage documentaire, des prisonnières parlent de leur enfance, de leur famille, de leur milieu et de leur incarcération. Elles ont écopé de longues peines pour fraude, trafic de stupéfiants ou meurtre. Leurs témoignages profondément émouvants nous engagent à réfléchir sur des notions telles que le bien, le mal, la justice, la responsabilité sociale et, indirectement, nous amènent à nous interroger sur le système carcéral canadien.
Ce long métrage documentaire fait le portrait d’hommes homosexuels ayant travaillé au sein de l’armée canadienne durant la Seconde Guerre mondiale. 60 ans après leur service militaire, certains décident de briser enfin le silence. Le film cherche à valider la valeureuse contribution de ces hommes qui se sont battus pour leur pays, tout en nous rappelant que le combat contre l'homophobie au sein de l'armée canadienne n'est peut-être pas encore gagné. En anglais avec sous-titres français.
Pourquoi ? C’est la question que pose courageusement la réalisatrice Danielle Sturk pour mieux comprendre le sujet difficile de la violence sexuelle chez les jeunes, en allant à la rencontre d’hommes, observateurs de leur entourage et de leur société, et de femmes survivantes d’agressions sous diverses formes. En résulte un film profondément subjectif, riche de réflexions personnelles diversifiées, qui veut stimuler un dialogue nécessaire afin de contribuer à ce que cesse cette violence genrée. Car les choses ne changent que si les gens en parlent et passent à l’action.
Ce long métrage de fiction s'attaque à un sujet que les mentalités collectives s'acharnent à considérer comme tabou : le viol de la femme, de l'individuel (le cas de Suzanne) au rituel (la clitoridectomie), en passant par celui de masse (les Vietnamiennes). Le film va cependant plus loin en forçant le spectateur à se poser les questions fondamentales. Pourquoi le viol existe-t-il? Est-ce le sort naturel des femmes d'être violées? Qu'est-ce que le viol abîme chez la femme? Et où se situe la justice des hommes?
Au Kenya, une fille sur trois est victime de violence sexuelle avant d’avoir 18 ans. Les plaintes déposées font rarement l’objet d’enquêtes policières. Mais 160 filles, dont Alicia, se sont regroupées et, avec l’aide d’une équipe multinationale de juristes dirigée par l’avocate canadienne Fiona Sampson et la travailleuse sociale kényane Mercy Chidi Baidoo, elles ont écrit une page d’histoire.
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