Inutile de fuir la ville, car là se retrouvent les problèmes du pays tout entier. L'avenir de Montréal ne comporte pas que des inconnus : on n'a qu'à regarder maintes villes américaines, qui nous ont précédés sur le terrain, pour découvrir les choix qui s'offrent. Ainsi, on sait que les villes-dortoirs ne constituent qu'un refuge temporaire et illusoire. Tôt ou tard, il faudra en venir à regarder la ville bien en face et à soigner à sa racine même le cancer qui la ronge, pour en faire une entité propice au bonheur de l'homme.
Inutile de fuir la ville, car là se retrouvent les problèmes du pays tout entier. L'avenir de Montréal ne comporte pas que des inconnus : on n'a qu'à regarder maintes villes américaines, qui nous ont précédés sur le terrain, pour découvrir les choix qui s'offrent. Ainsi, on sait que les villes-dortoirs ne constituent qu'un refuge temporaire et illusoire. Tôt ou tard, il faudra en venir à regarder la ville bien en face et à soigner à sa racine même le cancer qui la ronge, pour en faire une entité propice au bonheur de l'homme.
Ce court métrage documentaire du cinéaste et écrivain Jacques Godbout propose diverses pistes de réflexion pour mieux réaménager nos villes. Bâtir un paysage urbain à la mesure de nos rêves et de nos besoins de citadins de manière à contrer le développement désordonnée, la décrépitude, ainsi que la pollution sonore, visuelle et atmosphérique.
Dans ce cinquième court métrage documentaire de la série La cité idéale, l'historien américain Lewis Mumford examine le problème de la surpopulation et des inégalités sociales dans les villes. Comment améliorer les standards de vie de tous les citadins?
Dans ce troisième court métrage documentaire de la série La cité idéale, l'historien américain Lewis Mumford illustre l’importance de maintenir un équilibre sain entre la ville et la campagne. Il met en garde contre une extension désordonnée de la ville qui peut nuire au bien-être physique, moral et intellectuel de ses habitant.
Dans ce sixième court métrage documentaire de la série La cité idéale, l'historien américain Lewis Mumford propose diverses pistes de solution pour mieux repenser et réaménager les villes actuelles et celles du futur.
Dans ce deuxième court métrage documentaire de la série La cité idéale, l'historien américain Lewis Mumford explique de quelles manières la voiture a façonné les villes et les régions qui les entourent.
Ce court métrage documentaire est le premier d'une série animée par l'historien américain Lewis Mumford, spécialiste des villes. Inspirée de son ouvrage La cité à travers l'histoire, cette série explore avec lucidité le problème de l'extension des métropoles. Dans cet épisode, l'historien examine les origines de la ville. Les forces qui l'ont créée il y a cinq mille ans et les forces qui la détruisent maintenant.
Dans ce quatrième court métrage documentaire de la série La cité idéale, l'historien américain Lewis Mumford réfléchit sur le cœur des grandes villes. Plus qu’un simple point de convergence pour les citadins de la périphérie, le centre de la ville est un carrefour d’échanges, un lieu de tous les possibles.
Court métrage documentaire sur le Griffintown des années 1970, un quartier alors ignoré et dévasté. Une population réduite mais opiniâtre s'acharne à y vivre. Un professeur d'architecture de l'Université McGill y a installé sa classe et collabore à la lutte du comité de citoyens. Le sort du quartier, lié à la tyrannie de l'industrie au niveau du zonage, préfigure, dit-on, une menace qui plane sur le tissu urbain de toute une ville.
Documentaire sur la revitalisation d'un complexe d'habitations dans un quartier populaire de Montréal. Des logements modernes ont maintenant remplacé les maisons anciennes affaissées et surpeuplées. Il y a de l'air frais, de la lumière, de l'espoir. Les Habitations Jeanne-Mance, une façon hardie de rénover une cité : un exemple parfait de la collaboration qui peut exister aux niveaux fédéral, provincial et municipal.
Tournés dans le secteur Milton-Parc, à Montréal, où se situe le vaste projet de démolition-reconstruction Concordia, ces films campent le conflit qui oppose une certaine conception technocratique, moderniste et autoritaire du progrès, et l'intérêt de simples résidents désirant conserver un vieux quartier à l'atmosphère «humaine» et aux loyers modiques. La question se pose d'une participation populaire véritable au progrès ambiant et, à la limite, on se demande: «Comment change-t-on les villes?»
Guide pédagogique - Guide 1