Étude et illustration du mouvement composé (lorsque deux catégories de mouvements apparaissent simultanément dans une seule action); explication des mouvements d'éléments articulés (comme chez les animaux et les humains); démonstration d'un geste humain où l'émotion va croissant; la stroboscopie en animation.
Ce film ne traite pas du mouvement (si par mouvement on entend déplacement dans un espace bi ou tridimensionnel), mais de changement: le changement dans la quantité et la couleur de la lumière sur un écran où tout le reste est statique. Normalement, l'animateur combine changement et action; ici le changement est étudié séparément.
Essai de transcription visuelle de cette forme musicale très ancienne qu'est le canon. Trois modes d'expression sont utilisés par l'auteur en vue d'atteindre l'animation de synthèse qu'il s'est proposée. La piste sonore est enrichie de musique enregistrée et de musique synthétique. Film sans paroles.
Le 18e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
Court métrage d'animation composé de trois contes festifs réalisés par des artistes et animateurs de l’ONF. Hôte parfait et fort sympathique, le bouffon traditionnel ouvrira ce divertissement des Fêtes et à la fin, tirera le rideau sur l'histoire d'un homme qui, au moyen d'un vaisseau spatial, cueillera la plus belle étoile au firmament.
Un film d'animation, dans lequel le «boogie» exécuté par Albert Ammons et le «doodle», ou griffonnage, dessiné par Norman McLaren, s'unissent pour constituer un tourbillon de rythmes et de couleurs.
Réalisé pour la série Chants populaires, une série de films sur des chansons folkloriques canadiennes-françaises. Dessins à la gouache, sur fond noir, photographiés au zoom et superposés pour donner l'effet du mouvement d'un canot sur des lacs et des rivières. Diffusé dans le cadre de Chants populaires nº 5 et de Chants populaires nº 6. En combinant la technique du travelling avant à des paysages peints à la tempéra, Norman McLaren a réussi à insuffler une étonnante fluidité à ce court métrage d’animation, mettant en images la chanson folklorique M’en revenant de la jolie Rochelle. Produit pour la série Chants populaires, l’animation C’est l’aviron déploie toute la magie de McLaren, qui crée l’illusion d’une longue descente de rivière en canot.
Dans ce court métrage documentaire, Norman McLaren met en abyme son propre film New York Lightboard en captant les réactions des New-Yorkais à Times Square lorsqu’ils aperçoivent un panneau-réclame animé présentant le Canada d’une amusante façon. Film sans paroles.
L’un des films abstraits dont l’image et le son ont été peints directement sur la pellicule et que Norman McLaren a réalisés, à New York, avec l’objectif de les vendre au musée Guggenheim.
Le titre et l'avant-propos de ce film, donnés en huit langues, annoncent une oeuvre expérimentale de Norman McLaren, réalisée à l'aide de motifs dessinés directement sur la pellicule avec une plume ordinaire et de l'encre. Étoiles et bandes exécutent des acrobaties au son d'une musique martiale.
Film d'animation montrant McLaren qui tente de souhaiter la bienvenue à l'auditoire lors d'un festival de films. Un microphone qui possède sa vie et sa volonté l'en empêche. McLaren finira par animera les objets de façon magique.
Un des deux films tridimensionnels réalisés par McLaren. Animation image par image de découpages de papier photographiés et d'éléments tracés directement sur la pellicule. Son tracé à la main composé et enregistré sur deux bandes distinctes pour écoute stéréophonique.
Explication des procédés employés dans le dessin du son synthétique. Les vibrations sonores sont reproduites sur la pellicule en motifs de formes et de largeurs variables, qui se transforment à leur tour en sons sous la cellule photoélectrique. Cette technique est utilisée dans les courts métrages Points et Boucles.