In Abitibi, hundreds of kilometres from the city, thousands of workers go North, as did Jos Montferrand and François Paradis. Working as brush cutters, these 21st-century lumberjacks discover Quebec's boreal forest. Far from their families, they spend 5 or 6 months a year in logging camps that mirror a new Quebec, those of French-Canadian descent and neo-Quebecers from Africa, Eastern Europe and Asia. All have come to earn a living in the forest. Filmmaker Stéphanie Lanthier invites us to spend an entire season inside this northern micro society. Using a direct cinema technique in the style of Pierre Perrault, she documents the lives of the brush cutters.
En Abitibi, à des centaines de kilomètres de la ville, des milliers de travailleurs montent au Nord, comme Jos Montferrand ou François Paradis. Ces bûcherons du XXIe siècle s’initient à la forêt boréale québécoise en exerçant le métier de débroussailleur.
Loin de leur famille, ils vivent cinq à six mois par an dans des camps de travail à l’image d’un Québec nouveau. S’y côtoient Québécois d’origine canadienne-française et Néo-Québécois issus d’Afrique, d’Europe de l’Est ou d’Asie, tous venus gagner leur vie dans le bois. C’est dans cette microsociété du Nord que la cinéaste Stéphanie Lanthier nous invite à pénétrer durant une saison entière.
Pratiquant le cinéma direct à la manière de Pierre Perrault, elle documente la vie des débroussailleurs, ces « exilés » de tous âges et de toutes nationalités qui partagent avec elle leur nostalgie, leur fierté ou leur fascination pour la forêt qui les entoure. Celle qui, de juin à octobre, se montrera tantôt menaçante, tantôt bénéfique pour ceux qui y habitent et tentent l’aventure.
Court métrage documentaire de la série Comment fait-on pour…, qui explique ce qui arrive au papier que l'on dépose dans nos boîtes de recyclage. Film sans paroles.
Ce documentaire dévoile les conséquences des incendies de forêt sur l'environnement. Contrairement à la croyance générale, ceux-ci jouent, dans certains cas, un rôle nécessaire pour le renouvellement et l'enrichissement du sol, ce qui entraîne un équilibre écologique bénéfique pour la vie animale. Filmé dans certains parcs nationaux les mieux connus du Canada.
Documentaire sur la situation forestière au Canada. Ce film qui rend accessibles toutes les informations nécessaires à la connaissance et à la compréhension du travail de forestiers. On y souligne le rôle des gouvernements et des milieux industriels et scientifiques. On y aborde enfin toutes les grandes questions inhérentes à la forêt et à son renouvellement.
Documentaire faisant la promotion de mesures de conservation du bassin hydrographique des Prairies. Ces mesures préconisent l’abattage sélectif des arbres, le reboisement scientifique, la protection contre les feux de forêt, la construction de routes et de ponts dans les chantiers, la surveillance des pâturages et la lutte contre les maladies et les insectes qui nuisent aux arbres. Avec la participation des gouvernements fédéral et albertain.
Documentaire sur l’exploitation de la forêt. Les inondations, l'érosion du sol et les étendues de terres improductives sont explorées en détail. Ce sujet on ne peut plus d‘actualité faisait déjà l’objet de préoccupations il y a 50 ans : la lenteur du reboisement en oppositon à la rapidité des méthodes d'abattage des arbres prouvait de façon éloquente l'urgence d'un retour à une exploitation plus rationnelle.
Documentaire qui vise à encourager les petits propriétaires forestiers du Nouveau-Brunswick à exploiter leurs « terres à bois » de façon rationnelle, tout en préservant cette richesse naturelle. Jean Richard, dont le lot est complètement déboisé par un étranger à qui il a cédé les droits de coupe, se rend vite compte que sa terre a perdu sa principale richesse. Aidé des conseils de son fils qui étudie dans une école forestière, il pratique la coupe sélective des arbres et constate qu'un lot boisé peut produire un revenu régulier. Des dessins animés illustrent des procédés de coupe en rotation.
Documentaire sur le phénomène du dépérissement des forêts. Alors que sur toute la partie est de l'Amérique du Nord, les arbres meurent et les sols sont empoisonnés par les pluies acides, le réalisateur s'interroge et propose certaines solutions. L'éminent scientifique et communicateur David Suzuki assure la narration du film, diffusé en anglais avec sous-titres français.
Documentaire montrant les ravages que le feu cause chaque année à la forêt canadienne malgré un ensemble de mesures préventives sans cesse en application. Par sa négligence, l'homme ne serait-il pas en partie responsable des feux de forêt? Tout en exposant les moyens modernes de les combattre, ce document tente d'éveiller la conscience individuelle à cette question.
Documentaire qui nous fait revivre la colonisation de l'Ouest canadien au début du siècle dernier. Les champs de blé rapportent plus que les mines d'or, car les sols gras des Prairies constituent une richesse inégalable. Puis, en 1930, vint la dépression économique. Le blé reste en entrepôt. Il n'y a plus d'acheteurs. Le commerce périclite et on entame davantage les ressources forestières des Prairies afin de trouver dans le commerce du bois de quoi subsister, sans se rendre compte de l'érosion du sol.
Pour avoir plus d’informations sur ce film, visitez le Blogue de l'ONF.
Avec Borealis, son nouveau long métrage documentaire, le célèbre réalisateur Kevin McMahon (L’eau, c’est la vie) pénètre dans les profondeurs de la forêt boréale pour y découvrir l’expression chorale de la vie dans les légendaires étendues sauvages du Canada. Comment les arbres arrivent-ils à évoluer, à communiquer, à survivre malgré les forces destructrices du feu, des insectes et de l’intrusion humaine? Borealis offre un portrait immersif des cycles de vie de la forêt, présenté selon la perspective des plantes et des animaux qui y vivent.
Âge 16 à 17 ans
Géographie - Ressources naturelles
Éducation civique/À la citoyenneté - Gouvernements provincial et fédéral
Moyen de discuter de la motivation et de la détermination de personnes qui viennent s'établir dans un nouveau pays. L'enseignant ou l’enseignante pourrait poser certaines questions aux élèves. D'où ces travailleurs immigrants puisent-ils leur ardeur au travail? Y a-t-il un lien entre cette ardeur et le fait de venir d’un autre pays? Même déterminés, ces débrousailleurs sont-ils toujours satisfaits des conditions de travail? Que réclament-ils du gouvernement et des responsables du secteur forestier plus spécifiquement?