When their son is accused of murdering his sister, a mother and father face perhaps the most awful decision any parent could have to make: whether to break with their son or accept him back into the family. With astonishing footage shot over a ten-year period, from minutes after the crime was committed to the present, the film follows the family's evolving relationships.
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John Kastner, couronné à 4 reprises aux Emmy, et réalisateur de Life with Murder, signe ce long métrage documentaire sur la maladie mentale, la violence et le droit des victimes. Bénéficiant d’un accès extraordinaire à un établissement psychiatrique judiciaire, le cinéaste et son équipe nous montrent comment les psychiatres traitent les criminels qui présentent des troubles mentaux importants. Ces patients qu’on aurait, il n’y a pas si longtemps, considérés comme incurables et si dangereux qu’il aurait fallu les incarcérer à vie peuvent aujourd’hui être relâchés et réintégrés au sein de la communauté.
Pour avoir plus d’informations sur ce film, visitez le Blogue de l'ONF.
Qu’advient-il des personnes atteintes de maladie mentale qui commettent des crimes violents? Où sont-elles gardées? Comment sont-elles traitées? Pendant 18 mois, le cinéaste gagnant de quatre prix Emmy John Kastner a obtenu un accès sans précédent à l’une de ces institutions médicolégales (autrefois appelées asiles pour criminels aliénés) : le Centre de santé mentale de Brockville. À travers ce long métrage documentaire, Kastner brosse le portrait de quatre patients — deux hommes et deux femmes — qui luttent pour prendre leur vie en main afin de réintégrer une société dans laquelle ils sont généralement craints et diabolisés.
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Une famille conformiste indo-canadienne d’une petite ville de la Colombie-Britannique porte un épouvantable secret : trois sœurs ont subi dès l’enfance les agressions sexuelles d’un proche plus âgé. Après avoir gardé le silence durant près de 25 ans, elles choisissent de révéler la vérité, non seulement pour protéger d’autres jeunes parentes, mais surtout pour donner l’exemple à leurs propres filles.
Long métrage de fiction sur l’adolescence au Canada durant les années 1960, la vie en marge de la société, l’apprentissage des responsabilités et l’affirmation de soi. Existe-t-il d’autres valeurs que l’argent, le confort, la sécurité et la respectabilité? C’est ce que se demande Peter, 18 ans, qui quitte son domicile familial de Toronto pour apprendre à vivre sans le soutien de ses parents. Amoureux de Julie, il doit faire un choix pénible et lutter contre les règles établies.
Le 52e film d’Alanis Obomsawin raconte comment la vie de Jordan River Anderson a déclenché un combat pour que les enfants inuits et des Premières Nations bénéficient de soins de santé, de services sociaux et de services d’enseignement public égaux à ceux du reste de la population canadienne.
Pendant les vacances, un adolescent se retrouve seul à flâner dans les rues de sa petite ville, tous ses amis ayant suivi leurs parents à la campagne. Il croise près de chez lui un inquiétant personnage, revendeur de drogue en quête de clients, qui le convainc de s'initier aux paradis artificiels. L'adolescent découvre un univers à la fois séduisant et terrifiant, qui le ramènera souvent chez son voisin. Pour se procurer de la drogue, il vide sa tirelire, monnaye ses objets préférés et s'en prend finalement au sac à main de sa mère, dont le portefeuille est à sec. Le revendeur se montre sans scrupules. Incapable de payer, l'adolescent se laisse convaincre de commettre un vol. Le tandem est surpris par les policiers, mais le garçon parvient à s'échapper. L'incident déclenchera chez lui une réflexion salutaire. Un film d'animation sans paroles faisant partie du Volet 3 de la collection Droits au coeur destiné aux jeunes de 12 ans et plus.
Dans ce court métrage d’animation de la cinéaste Michèle Cournoyer, une fillette aime la musique à un point tel qu'elle néglige ses responsabilités domestiques. Son père la réprimande. En cachette, elle transporte alors ses « instruments » au jardin. Son père reconnaîtra finalement ses dons. Inspiré par l'article 29 de la Convention des Nations Unies relative aux droits de l'enfant, cette œuvre illustre le droit de l'enfant à développer pleinement ses dons et ses aptitudes. Film sans paroles.
Un jeune garçon n'a plus de temps pour lui-même tant ses parents lui ont organisé un horaire chargé : école, leçons particulières de tennis, natation, peinture, devoirs, pratiques de piano, alouette! Inspiré par l'article 31 de la Convention des Nations Unies relative aux droits de l'enfant, ce court métrage illustre le droit de l'enfant au repos et aux loisirs.
Frank Robinson violente son épouse verbalement et physiquement, ce qui a pour effet de perturber profondément leurs fils Billy et Freddy. Un film de fiction qui cerne la souffrance des adolescents aux prises avec les situations d'un quotidien devant lequel ils se sentent impuissants. Mais le sont-ils vraiment?
Le film d'Anne Claire Poirier se veut une réflexion sur le sens profond des faits et événements entourant la mort violente de sa fille Yanne, jeune toxicomane assassinée en octobre 1992. Ce film nous entraînera dans la rue avec ceux qui interviennent auprès des toxicomanes, prostituées et sidéens pour ultimement interroger nos attitudes collectives face à cette problématique. Un cri du coeur devant une dérive collective.
Ce film d'animation place les enfants de 5 à 8 ans devant une situation familière : dans la cour de l'école, des grands oppriment les petits. Mais, surprise, ces petits-là ne se laissent pas faire et la défense constructive triomphe de la loi du plus fort. Film sans paroles.