This historical drama tells the story of Qin Shihuang, who unified China’s vast territory and declared himself emperor in 221 B.C. During his reign, he introduced sweeping reforms, built a vast network of roads and connected the Great Wall of China. From the grandiose inner sanctum of Emperor Qin's royal palace, to fierce battles with feudal kings, this film re-creates the glory and the terror of the Qin Dynasty, including footage of Qin's life-sized terra cotta army, constructed 2,200 years ago for his tomb. The First Emperor of China was shot entirely in IMAX.
Dans cette reconstitution historique ambitieuse réalisée en 1989, les réalisateurs Liu Hao Xue et Tony Ianzelo racontent l’ascension assurée de Qin Shihuang, dont la férocité et l’intelligence stratégique ont contribué à la création de l’Empire de Chine, dont il sera le premier empereur. Le système impérial qu’il a mis en place durera presque deux millénaires.
Film d'animation mettant en image une fable philosophique, qui engendre une réflexion sur l'homme, le pouvoir et le monde. «E» égale «E», rien n'est plus simple, direz-vous? Eh, bien non! En vérité, «E» ne sera jamais «E» si en décident autrement le tyran et sa police.
En 1937, des dizaines de milliers d’Haïtiens et de Dominicains d’origine haïtienne ont été exterminés par l’armée dominicaine sur la seule base du racisme à l’encontre des Noirs. Des décennies plus tard, en 2013, la Cour suprême de la République dominicaine retire la citoyenneté à toute personne ayant des parents haïtiens, avec effet rétroactif jusqu’en 1929, rendant ainsi plus de 200000 personnes apatrides. Le nouveau documentaire de la réalisatrice Michèle Stephenson suit la campagne d’une jeune avocate du nom de Rosa Iris, qui lutte contre la corruption des élus et pour la protection du droit à la citoyenneté pour tous.
Le Mois de l'histoire des Noirs : découvrez notre sélection de films
Dans ce long métrage documentaire, le réalisateur Masoud Raouf présente des entrevues avec d'anciens prisonniers politiques iraniens vivant maintenant au Canada et qui, comme lui, ont lutté pour la démocratie sous le régime brutal de l’Ayatollah Khomeni. Mariant des témoignages d'horreur, des séquences véridiques et une animation évocatrice magnifiquement rendue, le réalisateur rend hommage à la mémoire des victimes de la lutte et à l'endurance des survivants. En anglais avec sous-titres français.
Dans ce court métrage documentaire, la réalisatrice d’origine haïtienne Martine Duviella retrace le passé militant de ses parents, exilés d’Haïti en 1957, alors que le dictateur François Duvalier prend le pouvoir. C’est au Canada qu’ils trouvent leur terre d’exil. Dans les cafés du quartier Côte-des-Neiges, ils se rassemblent régulièrement avec d’autres jeunes intellectuels haïtiens et rêvent de refaire leur pays. À travers leur histoire, la cinéaste tente de sauver de l'oubli le passé d'une génération qui s'est sacrifiée pour tenter de délivrer Haïti.
Ce film a été produit dans le cadre du concours Tremplin, en collaboration avec Radio-Canada.
Ce long métrage documentaire propose la mémoire en remède à l'oubli. Car le temps presse. Une génération de jeunes Chiliens a grandi dans l'ignorance des faits entourant le coup d'État du 11 septembre 1973. Ce jour-là, le gouvernement socialiste démocratiquement élu de Salvador Allende est renversé par le général Pinochet. Ce jour-là, Juan devait se marier. Il a failli mourir en combattant les troupes du dictateur. En sa compagnie, Patricio Guzman retourne pour la première fois au Chili, 23 ans plus tard. Dans ses bagages, il apporte La bataille du Chili. À l'époque, le film avait fait le tour du monde, mais il reste interdit au Chili. Discrètement, le cinéaste le montre aux siens, le fait découvrir aux jeunes. Après la projection, une petite assemblée d'étudiants est en état de choc. Leur soif de vérité est inextinguible. Ils se sentent investis d'un devoir historique. Ce sont eux qui feront le Chili de demain.
Nous sommes en janvier 1954. La guerre de Corée est terminée. Les soldats onusiens détenus dans les camps de prisonniers sont maintenant libres de retourner dans leur patrie. Ceux qui refusent d'être rapatriés sont transférés en zone neutre où on leur donne quatre-vingt-dix jours pour reconsidérer leur décision. Parmi eux, vingt et un soldats américains décident de demeurer en Chine.
Aux États-Unis, le maccarthysme est à son apogée. De nombreux Américains croient que ces jeunes hommes ont subi un nouveau type de lavage de cerveau aux mains des communistes chinois. Mais que s'est-il réellement passé?
Alors que la guerre froide n'est plus qu'un souvenir, le cinéaste Shui-Bo Wang, dont le film Sunrise Over Tiananmen Square a été en nomination aux Oscars, a filmé l'aventure extraordinaire de ces Américains. À l'aide d'images inédites des camps chinois et d'interviews avec d'anciens prisonniers de guerre et des membres de leurs familles, Des G.I.'s qui ont choisi la Chine raconte l'histoire fascinante et méconnue de ces dissidents américains qui ont combattu pour leur pays et ont ensuite coupé tous les liens avec lui.
Ce court métrage documentaire fait le portrait de l’Afrique du Sud, l’un des pays les plus importants du Commonwealth. Vers la fin des années 1950, sa population est aux prises avec des problèmes raciaux importants alors que se coudoient Noirs et Blancs.
Ils arrivent seuls et traumatisés dans un pays qui leur est complètement étranger. Étonnamment, certaines provinces, dont l’Ontario, ne disposent d’aucun système gouvernemental de prise en charge des réfugiés mineurs non accompagnés. Le documentaire Les enfants de tout le monde dépeint de façon éloquente une année dans la vie de deux de ces jeunes réfugiés, Joyce et Sallieu. De prime abord, ils ressemblent à tous les autres adolescents, mais l’introverti Sallieu a quitté la Sierra Leone déchirée par la guerre après avoir vu sa mère se faire assassiner tandis que Joyce, une pétillante jeune fille, a fui la République démocratique du Congo pour échapper à la vie de prostitution à laquelle la destinait sa famille. Ces deux jeunes se construisent courageusement une nouvelle vie à Toronto et nous parlent ouvertement tant de la perte d’êtres chers que de ce qu’ils souhaitent s’acheter au centre commercial. Tandis qu’ils tentent de trouver leur équilibre devant les pressions d’être des adolescents normaux tout en étant engagés dans le processus de demande d’asile, ce sont les conseils et le soutien d’une poignée de gens qui font une réelle différence dans le quotidien de ces enfants. Des enfants qui en fin de compte sont les nôtres à tous, comme le démontre avec éloquence la réalisatrice Monika Delmos.
Un voyage philosophique issu de la quête de la réalisatrice pour mieux comprendre les paradoxes, les joies et les problèmes de la démocratie. Entremêlant les exemples contemporains de lutte pour la démocratie et des conversations avec les grands politicologues de l’heure, le film met à jour et fouille des thèmes intemporels, fait le lien entre le passé et le présent, suscite la réflexion et inspire.
Sur la corde raide revient sur les raisons du refus canadien d’intervenir en Irak en 2003 aux côtés des États-Unis. Le film met en lumière le bras de fer politique qui s’est alors joué en coulisse avec un voisin du Sud qui a toujours fait preuve d’interventionnisme sur la scène internationale pour servir ses intérêts économiques et géostratégiques. Cette décision historique aurait pu être lourde de conséquences pour le Canada, et plusieurs acteurs de l’époque et analystes montrent le terrible prix à payer lorsque la diplomatie échoue à régler les conflits à travers le monde.
Âge 16 à 18 ans
Histoire - Histoire mondiale
Histoire et éducation à la citoyenneté - Civilisation néolithique à la renaissance
Sciences humaines - Comparaison entre les civilisations
Éducation civique/À la citoyenneté - Idéologies