In this edition of the Eye Witness series from 1947, we track the first shipment of milk heading out to Europe's starving children, witness millions of bushels of grain being loaded onto a boat on Hudson's Baby headed for Britain, and, in BC, we watch acres of seed being grown, tested, and loaded for the gardens of the world.
Court métrage réalisé en 1949 sur la faune et la flore de la péninsule de l'Ungava, dans le Nord-Ouest canadien. Un anthropologue, un botaniste, un géologue et un géographe, accompagnés de guides autochtones, nous racontent leur expédition.
Documentaire qui explore la faune et la flore de l'archipel de la Reine-Élisabeth. En découvrant la vie animale foisonnante et la floraison abondante du lieu, on ne peut qu'être émerveillé des beautés de cette contrée où, en apparence, rien ne semble pouvoir survivre à huit mois de gel intense.
Dans son laboratoire, l’océanographe expérimente la température et la salinité déterminant la survie dans l’estuaire du St-Laurent de la micro-algue Protoceratium reticulatum. Dans les allers-retours entre le visible et l’invisible, la cinéaste accompagne le chercheur dans ses recherches autour du dinoflagellé, splendide organisme monstre microscopique responsable entre autres des marées rouges.
Ce long métrage documentaire est une évocation historique qui emprunte les pas du frère Marie-Victorin, fondateur du Jardin botanique de Montréal (1931). Fascinant univers visuel et sonore, ce film nous initie aux rudiments des sciences naturelles, de la recherche botanique et des grandes explorations floristiques. En compagnie de ce professeur universitaire et religieux anticonformiste, nous apprenons à herboriser sur une longue route menant à travers les îles et les terres de cet immense jardin vert d'Amérique qu'est le Québec.
L'érection d'une ville ne saurait s'accomplir sans une guerre acharnée à la végétation. Ce film nous convoque à l'agonie d'une forêt d'où émergera une cité moderne. Anéantissement total de la verdure, mais en apparence seulement. Le vert survivra, égayant les parcs et les parterres. La plupart des rues grandiront à l'ombre. L'herbe poussera toujours entre les pavés.
Pamphlet cinématographique réalisé par Gilles Groulx à un moment de fièvre populaire exceptionnelle au Québec, quelques mois après le front commun des trois syndicats québécois les plus importants (CSN, FTQ, CEQ) face au gouvernement québécois. Œuvre personnelle et militante d'un cinéaste québécois engagé, sa philosophie s’oppose à la « société de consommation » perçue comme la suprême incarnation du mal.
Documentaire retraçant les faits saillants qui ont marqué l'automne 1970, au Québec. La caméra suit les hommes et les événements dans l'énorme casse-tête politicosocial suscité par l'enlèvement de deux hommes. Le film ne va pas sans un important rappel historique des faits qui sous-tendent l'action entreprise par le Front de libération du Québec.
Documentaire sur Michel Chartrand et cinquante ans de vie politique et d'action syndicale au Québec à travers lui. Ayant consacré sa vie à défendre les droits des travailleurs, ce passionné de justice sociale s'y révèle homme de cœur, complexe et généreux, amateur de poésie et de fine cuisine.
Ce long métrage documentaire fait un parallèle audacieux entre la campagne électorale de 1970, au Québec, et celle de Maurice Duplessis, en 1936. Grâce à des extraits soumis à un montage serré, le cinéaste, presque pamphlétaire, examine le bouillonnement d'espoir suscité par les élections provinciales de 1970 et pose la question : la Révolution tranquille a-t-elle vraiment changé quelque chose au Québec? Est-il possible que se lève un homme nouveau, en politique, au Québec?
Pour avoir plus d’informations sur ce film, visitez le Blogue de l'ONF.
Véritable chronique d'une année qui s'annonçait capitale dans l'histoire du Québec et du Canada, ce long métrage documentaire se penche sur l'après-Meech en convoquant certains personnages publics et historiques. Une œuvre qui incite à la réflexion politique.
Ce film, tourné en 1969, traite d'une certaine vision contestataire du Québec de l'époque. C'est une remise en question radicale des façons d'être de toute une collectivité que le cinéaste exprime dans un style des plus directs. (Ce film est sorti en salles en 1975.)