In this short film from the Canada Vignettes series, a map of Canada morphs into human forms that share the country's natural resources to the rhythm of a dance.
This short film by Norman McLaren is a slow-motion study of the pas de deux adagio, one of the most exacting dances of classical ballet. A ballet originally choreographed by the Russian ballet master Asaf Messerer is performed for this film by the internationally known Canadian pair David and Anna Marie Holmes, to the music of Albinoni's Adagio.
Dans ce très court film d’animation impressionniste réalisé en crayon sur papier, la cinéaste Lise-Hélène Larin raconte la métamorphose d’une carte géographique du Canada en des silhouettes incarnant les différentes provinces et territoires du pays. D’un petit pas de danse, ces formes humaines découvrent des richesses naturelles qu’elles se partagent au rythme d’une ronde.
Empruntant la fluidité d'une chorégraphie, ce court métrage documentaire nous présente Sylvie Mazerolle, une jeune femme pour qui danser est un besoin essentiel. La sensibilité du personnage crève l'écran. À travers sa démarche, le film dresse aussi un état des lieux de la danse en Acadie. Actuellement établie à Vancouver, la jeune danseuse éprouve la nostalgie de son Acadie natale et cherche un projet qui l'en rapprocherait. Mais où qu'elle soit, elle continue de vivre sa passion, car son pays est la danse.
Ce film a été produit dans le cadre du concours Tremplin, en collaboration avec Radio-Canada.
Court métrage d'animation fantaisiste tout en couleurs, de Norman McLaren. Une poule tantôt Leghorn, tantôt Plymouth Rock, même un oeuf sur deux pattes, exécutent des quadrilles et des valses d'autrefois au son d'une musique populaire.
Corps fugaces: empreinte est un film stéréoscopique en 3D de 4 minutes qui se penche sur les thèmes de la perte, du souvenir et de la guerre en faisant appel à la danse contemporaine et à l’animation. Réalisé par Marlene Millar, Crystal Pite et Philip Szporer, le film met à l’honneur la chorégraphie de la star canadienne de la danse Crystal Pite et le savoir-faire de l’animateur lauréat Théodore Ushev.
Attention: Bien que le film ait été tourné en 3D, il est seulement disponible en 2D sur le site de l’ONF, en visionnage continu.
Documentaire dressant le portrait de Mark Rowswell, un Canadien faisant carrière d’humoriste en Chine sous le pseudonyme Dashan. Maîtrisant parfaitement la langue du pays et passionné par sa culture, il est devenu un peu par hasard une véritable personnalité du show business chinois. Une industrie qu’il dit non comparable à celle des Américains, puisque l’humour ne se traduit pas.
Réalisé par l’humoriste québécois Guy Nantel, le film a été produit par l’ONF à la suite de sa victoire de la Course destination monde à la télévision de Radio-Canada en 1993-1994.
In this animated short, simple geometric forms as thin and flat as playing cards constantly form and re-form to the sound of the koto, a 13-stringed Japanese instrument.
This short animated film is an impressionistic reflection on the creative process. Using black-and-white photographs (representing reality), overlaid with animated colour drawings (representing fantasy), it illustrates the artist as he braves creative storms, indulges spontaneous bursts of inspiration and learns, by trial and error, to harness his creative powers.
Ce court documentaire impressionniste se penche sur la création d’une couverture à boutons en intégrant l’exécution d’une danse traditionnelle à l’art du peuple heiltsuk de la Côte Ouest.
Vistas est une série de 13 courts métrages sur le thème de la Nation produits par l'Office national du film du Canada, en collaboration avec la chaîne APTN.
Film composé de deux suites tirées du répertoire de la célèbre troupe folklorique non-autochtone Les Feux follets. 1re suite : La Plaine. Cérémonie autochtone de fiançailles. Arrivent des jeunes filles et des jeunes garçons avides de les conquérir. Fiançailles et réjouissances. 2e suite. La Discothèque. Les Beatniks qui se livrent à une danse endiablée.
Veuillez noter que cette production a été réalisée en 1966 et qu’elle illustre les comportements et les opinions de son temps. Certaines séquences pourraient sembler offensantes au public actuel, mais le film doit être vu comme un produit culturel de l’époque dont il est issu. La perspective de la population canadienne et celle de l’ONF ont évolué : depuis la création du film, nous avons pris conscience des droits, des réalités et des points de vue des peuples autochtones. En ajoutant sans cesse à sa riche collection de films réalisés par des Autochtones et mise à la disposition du public au Cinéma autochtone, l’ONF continue de s’employer à combattre les stéréotypes visant les Autochtones et à dépeindre avec exactitude la diversité des expériences que vivent leurs communautés.
« L’une des métaphores fondamentales de la danse est la transformation, tout simplement », explique Peggy Baker alors que son image se fond dans une rafale de dessins aux contours flous et de giclées d’encre. Conçu à la suite d’un entretien particulier avec la renommée danseuse et chorégraphe canadienne, Peggy Baker en quatre phrases mêle astucieusement animation et documentaire, recourant à diverses techniques pour rendre hommage à l’œuvre que nous lègue Peggy Baker.