Black Mother Black Daughter explores the lives and experiences of black women in Nova Scotia, their contributions to the home, the church and the community and the strengths they pass on to their daughters.
Documentaire donnant la parole à deux immigrantes d'origine arabe, qui ont été violentées par leur mari et qui ont décidé de raconter leur histoire. Le film propose une réflexion sur le processus d'intégration à de nouvelles valeurs sociales, notamment le droit des femmes à l'égalité.
Par la force de la parole de femmes reprenant le pouvoir sur leur vie après avoir subi de la violence conjugale, Sortir de l’ombre braque la lumière sur les récits de vie émancipateurs de Québécoises inspirantes originaires de l’Afrique. Loin des préjugés, le film brise les tabous en donnant accès à un univers intime méconnu et témoigne du formidable sentiment de puissance que provoquent la fin de l’isolement et l’acceptation de soi. Une plongée lumineuse au cœur d’une quête de guérison personnelle, d’une humanité universelle. Il s’agit du troisième documentaire de la réalisatrice d’origine togolaise Gentille M. Assih.
Écoutez la discussion autour du documentaire organisée pour les 12 jours d’action contre les violences faites aux femmes: Sortir de l’ombre | Discussion sur la violence conjugale
Consultez la mini-leçon pour trouver des activités conçues pour aider le personnel enseignant à mener des discussions en salle de classe.
Si vous êtes à risque, voici comment visionner le film de façon plus discrète. Fermez d’abord cette page et effacez votre historique de navigation. Ouvrez ensuite une nouvelle fenêtre privée (plutôt que d’ouvrir simplement une nouvelle fenêtre), puis collez l’adresse suivante dans la fenêtre privée : https://www.onf.ca/film/sortir-de-lombre/. Ceci évitera que la page du film s’affiche dans votre historique de navigation.
Roselène contemple. Mary médite. En toile de fond, il y a les longues heures, la pandémie, le travail de soins périlleux et exigeant. À travers une succession rythmée d’images d’archives et contemporaines, cet essai rappelle et confond le milieu institutionnel et le moment de recueil. Suggérant la continuité historique de la violence des politiques de travail et leurs répercussions sur les femmes noires, Sòl évoque une prière prononcée en plein quart de nuit, une méditation.
Ce film fait partie de la collection La courbe : des histoires de distanciation sociale qui nous rapprochent. Cliquez ici pour en voir plus.
À l'aide de vidéos faites avec son téléphone, une réalisatrice d'origine syrienne livre un regard sur Montréal, sa ville d'adoption, à ses grands-parents qui sortent rarement de chez eux.
Documentaire sur le parcours difficile de deux jeunes femmes immigrantes au Québec. L'une est arabe et libanaise, l'autre est juive et tunisienne. À cette histoire d'une amitié rare, se greffent les témoignages émouvants d'hommes et de femmes d'horizons et de générations différentes. Un documentaire riche en couleurs sur l'adaptation à un nouveau pays.
Voici l’histoire profondément personnelle que relate en ses mots Namrata Gill, l’une des nombreuses inspiratrices issues de « la vraie vie » du film Heaven on Earth de Deepa Mehta. Après avoir courageusement mis fin à une relation de violence qui persistait depuis six ans, Namrata Gill entreprend une étonnante carrière.
Renee Thompson essaie de se tailler une place dans l’univers des grands mannequins à New York. Elle est belle, ambitieuse et possède la démarche des mannequins. Or, elle est noire et dans cet univers, la femme blanche représente le canon de la beauté. Les agences recrutent rarement des mannequins de race noire. Et lorsqu’elles le font, elles veulent des filles qui ressemblent à « des blanches saucées dans le chocolat ».
Ce film a été produit dans le cadre du projet La tête de l’emploi par l’Office national du film du Canada, avec la participation de Ressources humaines et développement des compétences Canada.
Deux Montréalaises, en apparence très différentes l'une de l'autre, parlent de leur vie, des choix qu'elles ont faits. La plus jeune, Catherine, Québécoise de souche, rêve d'avoir des enfants sans négliger sa carrière de claveciniste. L'aînée, Céleste, d'origine portugaise, a sacrifié l'amour de ses enfants pour faire fortune en Amérique; au fil des ans et des ménages, elle est devenue millionnaire. Chacune, à sa manière, recherche le bonheur.
Une jeune mère à qui l’on vient de diagnostiquer un trouble de la personnalité limite écrit à sa fille une lettre sur le cheminement collectif qu’amorce sa famille vers l’acceptation.
Lorsqu’un berceau ancien fait son entrée dans la demeure qu’elle partage avec sa conjointe des dernières années, Victoria Mata, la cinéaste Tiffany Hsiung se trouve happée par un tourbillon d’émotions. Le berceau relate la tendre et touchante histoire de son combat personnel au croisement de l’orientation sexuelle et de l’identité culturelle, combat auquel s’ajoute le fardeau intergénérationnel d’avoir un bébé dans le cadre social rigide du mariage et de la famille.
L'une est opératrice de machine à coudre, l'autre est domestique et la troisième, travailleuse à la pièce dans une manufacture. Trois femmes, trois récits, trois rêves, un lien commun : elles sont de couleur, elles sont immigrées, et elles gagnent leur vie avec courage et dignité. Sur le ton de la confidence, elles décrivent leurs aspirations, leurs réalisations et leur combat continuel au sein d'une société qui a encore bien du mal à intégrer les nouveaux arrivants.