Amalgame de photos d’archives et d’images trouvées ou nouvelles, Ocre rouge propose une interprétation personnelle et impressionniste de ce que représente le fait d’être Micmac à Terre-Neuve et de grandir dans une culture du déni.
Court métrage d’animation inspiré de la légende micmaque, Petit Tonnerre examine l’humour autochtone. Nous suivons Little Thunder qui, à contrecœur, quitte sa famille pour entreprendre un long voyage en canot qui fera de lui un homme.
Ce court documentaire impressionniste se penche sur la création d’une couverture à boutons en intégrant l’exécution d’une danse traditionnelle à l’art du peuple heiltsuk de la Côte Ouest.
Ce court métrage d'animation relate l’histoire vécue de l’étrange rencontre que fait une famille crie par une nuit neigeuse et d’une communication qui transcende les mots.
Ce film d’animation assistée par ordinateur évoque l’expérience de rouler en solitaire, le soir, sur une route de campagne sans éclairage. Le faisceau des phares perce la nuit, créant des ombres vacillantes qui obscurcissent tout, hors du chemin.
Le cinéaste inuk Jobie Weetaluktuk combine séquences d’archives et nouvelles images pour mettre en lumière différentes formes d’appropriation de sa culture au cours de l’histoire.
Éblouissante démonstration d’animation image par image, Les danseurs de l’herbe illustre avec éclat la majesté de la danse du cerceau, une tradition symbolisant l’unité de toutes les nations.
Cette animation fantaisiste fidèle à l’esprit des classiques de l’ONF suit le guérisseur Marche-dans-la-forêt à l’occasion d’une marche dans les bois qui conduit à la découverte d’un univers secret fascinant.
Feu portant entrelace l'animation et le réel pour illustrer la manière dont le feu de notre esprit se transmet d’un campement, et d’une génération à l’autre.
Une adolescente exprimant sa fierté ethnique sur le chemin de l’école devient une source d’inspiration pour sa communauté et sa culture.
Trappeur est un magnifique court métrage qui saisit la dignité tranquille d’une journée dans la vie d’un trappeur du Nord.
Dans ce long métrage documentaire signé par le réalisateur autochtone Brian J. Francis, des participants à la cérémonie de la danse sacrée du soleil passent quatre jours sans boire ni manger, puis transpercent la chair de leur poitrine dans une offrande au Créateur. Un point de vue privilégié sur la spiritualité des Premières Nations d’Amérique du Nord et la transmission unique d’une tradition culturelle de la nation Elsipogtog à la nation Mi’gmaqs.
Âge 14 à 17 ans
Diversité - Identité
Histoire et éducation à la citoyenneté - Culture et mouvements de pensée (1500 à nos jours)
Médias - Production de films et de vidéos
Études autochtones - Identité/Société
Comparez la signification des scènes d’ouverture avec la série de portes révélant divers repères, à la scène finale montrant le protagoniste debout aux côtés de sa fille. Explorez ce qui confère une unité à la narration du film dans cette présentation multimédia. Le rouge joue un rôle subtil, mais non moins important dans la description de l’identité. Expliquez comment l’utilisation de la couleur dans Ocre rouge illustre la fierté des peuples autochtones, mais révèle également des problèmes liés au conflit culturel.