How can refugee children integrate into Quebec’s school system, given the unspeakable violence they’ve experienced? Following a psychologist specializing in conflict-related trauma, Unspoken Tears pays tribute to the admirable resilience and survival strategies of these “small adults,” whose spirit the bombs and camps have not completely crushed, at a time when it is vital to raise awareness in Western societies of migration-related issues and children’s rights.
Comment réussir l’intégration scolaire des enfants réfugiés au Québec, en tenant compte des violences indicibles qu’ils ont vécues ? En suivant une psychologue spécialisée dans les traumatismes de guerre, Je pleure dans ma tête rend hommage à l’admirable résilience et aux stratégies de survie de ces « petits adultes » que les bombes et les camps n’ont pas totalement brisés, à une époque où il est crucial de sensibiliser les sociétés occidentales aux enjeux liés à la migration et aux droits des enfants.
Physique de la tristesse retrace la vie d’un inconnu naviguant à travers ses souvenirs de jeunesse en Bulgarie, lesquels le ramènent à la mélancolie et au déracinement croissants qui plombent son existence d’adulte au Canada.
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Documentaire filmé dans une école multiethnique de Montréal, où une vingtaine de jeunes de deux blocs rivaux se livrent à un affrontement inoubliable et salutaire.
Court métrage d’animation de la série Les petits conteurs. Tiré d'un livre, chaque film reprend un célèbre conte interculturel pour enfants. Dans cet épisode, Christopher déteste son nom et en change pour celui de Tiger. Puis, il en trouve un autre encore meilleur... Lorsqu'il a de la difficulté à encaisser le chèque que sa tante lui a donné pour son anniversaire, il comprend enfin combien son véritable nom est spécial!
Documentaire explorant la tradition pacifiste mennonite, vieille de 400 ans, à travers le déchirement moral d’une population du sud du Manitoba, lorsque le Canada prend part à la Seconde Guerre mondiale. L’auteur mennonite Rudy Wiebe nous livre des témoignages des objecteurs de conscience, des anciens combattants et d’une nouvelle génération de mennonites canadiens.
Élevée dans un camp de réfugiés de Cisjordanie alors que sa mère était en prison, Walaa compte bien devenir policière dans les Forces de sécurité palestiniennes : un défi de taille pour une jeune fille réfractaire aux règles.
Après avoir participé aux soulèvements populaires contre Bachar Al-Assad, Adnan Al-Mahamid a dû fuir la Syrie avec Basmah, sa femme, et leurs quatre enfants. Établie à Montréal depuis plusieurs années, cette famille a ouvert ses portes au réalisateur Pascal Sanchez. S’ils ont pu s’acclimater relativement rapidement au cours paisible de la vie montréalaise, Adnan et Basmah craignent toujours pour les proches dont ils sont sans nouvelles. Malgré les milliers de kilomètres qui les séparent de la guerre, celle-ci ne les quitte pas. Elle surgit par bouffées au détour d’une conversation, d’un appel par Skype ou d’un fil Facebook. Loin de Bachar raconte le quotidien émouvant d’une famille aux prises avec les tourments d’un conflit dont on ne voit malheureusement pas la fin.
Ils arrivent seuls et traumatisés dans un pays qui leur est complètement étranger. Étonnamment, certaines provinces, dont l’Ontario, ne disposent d’aucun système gouvernemental de prise en charge des réfugiés mineurs non accompagnés. Le documentaire Les enfants de tout le monde dépeint de façon éloquente une année dans la vie de deux de ces jeunes réfugiés, Joyce et Sallieu. De prime abord, ils ressemblent à tous les autres adolescents, mais l’introverti Sallieu a quitté la Sierra Leone déchirée par la guerre après avoir vu sa mère se faire assassiner tandis que Joyce, une pétillante jeune fille, a fui la République démocratique du Congo pour échapper à la vie de prostitution à laquelle la destinait sa famille. Ces deux jeunes se construisent courageusement une nouvelle vie à Toronto et nous parlent ouvertement tant de la perte d’êtres chers que de ce qu’ils souhaitent s’acheter au centre commercial. Tandis qu’ils tentent de trouver leur équilibre devant les pressions d’être des adolescents normaux tout en étant engagés dans le processus de demande d’asile, ce sont les conseils et le soutien d’une poignée de gens qui font une réelle différence dans le quotidien de ces enfants. Des enfants qui en fin de compte sont les nôtres à tous, comme le démontre avec éloquence la réalisatrice Monika Delmos.
Ce long métrage documentaire raconte le parcours exceptionnel du philosophe Raymond Klibansky. Témoin privilégié de la mémoire, acteur de son temps, ce philosophe juif allemand traverse un siècle de turbulences, de guerres et de haine. Dans sa jeunesse, il fréquente Karl Jaspers, Erwin Panofsky, Marianne Weber, Ernst Cassirer et Albert Einstein. Très tôt, on le considère comme un savant et son oeuvre intellectuelle est internationalement reconnue. Puis survient l'imposture nazie. Il la dénonce... mieux, il la combat. Au coeur de sa vie, il occupe un poste important au sein des Services secrets britanniques durant la Seconde Guerre mondiale. Depuis, il se consacre à promouvoir la tolérance et sera de toutes les luttes pour la liberté.
Montréal, le 9 septembre 2002 : au moment où s'amorce la session d'automne à l'Université Concordia, l'annonce de la visite prochaine sur le campus de l'ancien premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, sensé prononcer un discours, attise les passions. Le soir même, «les émeutes de Concordia » défraient la manchette internationale, de CNN à al-Jazeera. Écrit et réalisé par Ben Addelman et Samir Mallal, deux diplômés de l'Université Concordia, ce long métrage documentaire suit trois jeunes militants du campus pendant l'année la plus formatrice de leur vie. Nourris par les compositions de la vedette hip-hop Buck 65, ils tracent un portrait caustique du milieu étudiant et rappellent l'importance de l'ouverture d'esprit.
Documentaire qui saisit sur le vif des jeunes sur leurs planches à roulettes. Aussi populaire en 1965 qu’en 2009, ce sport sur une jambe ou deux offre un beau spectacle mais une loi l’interdit dans la rue. Le cinéaste a capté leur soif de liberté.
Âge 16 à 18 ans
Mini-Leçon - Je pleure dans ma tête (Les traumas par les mots) : Secondaire Capsule Mandjey Mini-Leçon - Je pleure dans ma tête (Les traumas par les mots) : Primaire Capsule Arezki
Diversité - Diversité dans les communautés
Santé/Formation personnelle - Solutionner des problèmes et résoudre des conflits
Éducation civique/À la citoyenneté - Droits humains